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vendredi 28 août 2015

Un autre commentaire agréable ....


le 26 août 2015
Dans ce roman haletant, Sylvain Scapa nous invite à partager son expérience du
milieu hospitalier en qualité de médecin psychiatre, en nous régalant d’un thriller haletant 
dans lequel il va dénoncer des magouilles des laboratoires pharmaceutiques, 
des trafics de dons d’organes et autres scandaleuses expérimentations. 

Les deux personnages principaux, le docteur Ludwig Jelicoe et son assistante Ambre, 
se trouvent emportés, presque malgré eux, à la suite du mystérieux décès d’un patient,
dans une enquête qui va se révéler dangereuse et édifiante, et qui, chapitre après chapitre, 
va resserrer les liens affectifs, puis affectueux, du médecin et sa belle assistante. 

Révélations, thriller haletant, passionnante histoire d’amour tout en finesse et pudeur,
tous les éléments sont là pour nous faire adorer ce roman.

Et surtout, il y a ce que j’appellerai le « style Scapa ». 

Un style efficace, des phrases courtes, dépouillées, allant à l’essentiel. 
Sylvain Scapa écrit comme on parle, sans chercher à donner dans les belles tournures 
si souvent employées par des écrivains qui n’ont rien à raconter et qui font se pâmer
les adorateurs de belles lettres, quitte à s’endormir à la page deux. 
Avec lui, au moins, on ne s’ennuie pas. Son livre est proche du scénario de film. 
Chaque scène est découpée, présentée, dessinée comme si elle était prête à être filmée. 
Oui, on imagine bien ce que l’adaptation au cinéma pourrait donner.

Pour ma part, je recommanderai chaudement cette trilogie à ceux et celles qui n’ont pas envie
 de s’ennuyer en lisant un livre : c’est sobre, plaisant, efficace et ça vous emporte. 
Et le jackpot : un roman très instructif, vu qu'on en apprend de belles sur les dessous du
 milieu médical. C'est jouissif !
Et il y a les deux autres tomes !


Bravo et merci, monsieur SCAPA, pour cette plongée dans le milieu de la psychiatrie 

hospitalière, ainsi que dans l’océan de votre riche imagination.


Merci Marie... Les bons commentaires sont rares, trop de livres à lire...

Un C7 ?

Un petit extrait du T2, remanié !!!


9.


Chang et Hugo sont revenus à Cuba depuis quelques semaines. Elle a été surprise quand il lui a annoncé leur destination réelle, son but puis la durée possible du séjour. Il l’a rassurée. Toutes ses affaires personnelles même celles de son domicile, y compris ses ordinateurs professionnel ou portable ont été transférées à La Havane. Le loyer de son appartement sera réglé par Untitled (sa société) en attendant de savoir ce qu’elle décidera d’en faire. On lui rapporte aussi son scooter qui sera immatriculé avec une plaque VIP ainsi que tous ses carnets d’observation.

Pour le moment, sans travail ou Hugo, elle se sent seule parfois. Son piano lui manque… Hugo lui a expliqué qu’un piano, un C7 de Yamaha, à queue va arriver dans quelques semaines par cargo du Japon. Ce ne sera pas un Steinway A-188, il n’aurait pas supporté le climat. De plus pour en avoir un, c’est six mois à un an, d’attente, sauf en occasion. Et le prix d'une belle voiture.


Chang rêve éveillée.

Un C7 ! Un piano à queue, avec un toucher de velours. Pas exactement le son d’un Steinway, mais c’est quand même grandiose. Et pas plus cher que l'autre.

Elle donnera un petit concert privé au groupe qui les entoure et les aide à s'adapter, et compte sur la présence d’un des frères Castro, au moins. Et peut être une petite réception ? Les cubains adorent la fête, et ce serait l’occasion de nouer des liens, de se faire des relations...

A plus...

vendredi 14 août 2015

Tome 4 Page 99 !

Bon à la demande unanime d'une personne je vous donne la page 99 du Tome 4.
(La pagination n'étant pas définitive, veuillez m'en excuser !)...


28.

— Quel genre de sabotages? Demande Ludwig.
— Oh, des vannes dont les fils de sécurité sont sectionnés puis scotchés bout à bout. Une inspection visuelle rapide ne montre pas la rupture du conducteur électrique. Si on commande l’inversion des vannes, ça risque d’exploser. Sinon, des altérations de programmes informatiques de surveillance. De la graisse dans des sorties de robinet apportant de l’oxygène sous pression. Du sable dans des filtres. Des extincteurs vidés. Des caméras de surveillance à moitié débranchées. Tout et n’importe quoi.
« Chaque « sabotage » individuellement, peut être géré. Mais pas si on doit s’occuper d’une dizaine d’incidents spontanés ou provoqués, en simultané.»
« Des canots de survie entaillés en partie au cutter. Des rations alimentaires périmées. Des aimants posés un peu partout. Des modifications du calibrage des instruments de mesure. J’en passe…
— C’est un travail énorme, remarque Ludwig.
« Et les nationalités des cadres?
— Le groupe « Global » emploie plus de 100 nationalités différentes. Par commodité, tout le monde parle anglais. C’est la langue universelle sur les plateformes, sauf en Chine.
« Nous avons bien sûr essayé de trouver des similitudes. Nos suspects viennent tous du continent américain ou britannique.
« Ils ont tous un parcours excellent sur d’autres sites. Nous avons vérifié. Ils sont bien payés. Et nous ne comprenons pas pourquoi ils font cela…
— Le fric n’est pas la motivation?
— Les cadres « suspects » sont payés au moins une fois et demie leur salaire habituel, comme expatrié, eux aussi. C’est-à-dire pas mal quand même.
— Ils travaillent peut-être pour leurs compagnies pétrolières d’origine, faire baisser la production française, ce qui leur permet, face à l’OPEP par exemple, de continuer à vendre plus cher leur pétrole.
« Mais dans le cas de notre groupe « Global », la production angolaise est de l’ordre de 5 ou 6 % de ce que la France importe. »


A suivre... 




mardi 11 août 2015

Un bon commentaire !

Cher écrivain fractaliste et quantique,
Ne t'inquiète pas des critiques des intellectuels conventionnels : tous les prétendus connaisseurs en art étroits de la casquette riaient de Van Gogh, Lautrec, Gauguin, Pissarro et autres impressionnistes du temps où leur style novateur n'arrivait pas à se frayer un passage dans leur esprit étroit. Il en sera peut-être un jour de même pour toi.
Je pense que ton style si particulier est excellent. Le seul truc qui est gênant, c'est une orthographe et un français parfois un peu maltraités, une ponctuation souvent fantaisiste posée ça et là comme si c'était au hasard, et des régionalismes répétés qui mériteraient avantageusement d'être remplacés après une courte recherche (dictionnaire des synonymes). Donc, un simple petit travail qui demanderait deux ou trois relectures à voix haute et sans trop se presser. C'est fou tout ce qu'on peut déceler comme erreurs avec une lecture à voix haute. Et ça leur fermerait leur clapet !
Et je suis sûre que ta trilogie crèverait le plafond et que beaucoup se laisseraient aller à copier ce style si personnel et original.
Pour moi, chacun des trois tomes est excellent. L'histoire te prend et t'emporte. Elle mérite d'être soignée dans sa forme. Personne n'aurait pu l'écrire à part toi qui connaît si bien ce milieu et qui est au fait de ce que trament les grandes puissances économiques qui prennent le peuple pour des poux, ou même pour des moutons... Et d'ailleurs, n'ont-ils pas raison quand on voit la connerie des humains qui ne demandent qu'à être bernés ?...
Il faut que je me décide à me fendre d'un commentaire pour enfin fermer leur clapet à tous ceux et celles qui pensent qu'un bon livre est avant tout une suite de phrases alignées avec emphase littéraire, les unes derrière les autres, sans pour autant raconter une bonne histoire. Moi, excuse-moi, Bernard Henry Levy me fait profondément ch... et Proust, devant lequel tous les intellectuels font la génuflexion, m'a plutôt donné envie de roupiller. Ce dernier, d'ailleurs, tout le monde dit, en se pâmant de béatitude, l'avoir lu, chacun énonçant le parfum d'une madeleine sans connaître le fond de l'histoire, peu de gens étant venus à bout de "À la recherche du temps perdu"...
Tiens, je préfère encore lire Musso, Levy, ou EL James, avec eux au moins ont prend du bon temps. Et le "peuple" ne s'y trompe pas : faut voir les chiffres des ventes !...
Bon courage pour ta documentation.
Bises.

--- C'est sympa ! ;) Merci L VM.

jeudi 6 août 2015

Les racines de l'Hôpital de Montjoie...

Bonsoir !

Je relis des tas de mails privés, et je note ceux qui me demande ce qui est autobiographique.

Je pourrais réponde : Rien, c'est une Fiction, ou Oui, un peu inspiré par ma vie.

En fait c'est un mix..
Oui c'est une fiction, basée sur des fait réels, surtout dans l'histoire de Ludwig ! Ou la mienne.
Alors, de manière fractale et/ou bordélique, oui j'ai été témoin de malversations des recueils d'informations sur la TMS. Je peux citer le ou les noms de ceux que j'ai surpris en train de modifier les réponses des patients… (T1).
Non je n'ai pas été témoin de prélèvement d'organes,  du moins tels que décrits dans le T1. Mais c'est "plausible". Car j'en ai été témoin en milieu hospitalier...

Je donne beaucoup de détails dans mes descriptions,  encouragé par Jean Philippe Touzeau… Dans un hangout.

Il a demandé quel temps j'avais pu passer pour donner des détails de cette précision.
Rien. Simplement des souvenirs….

Dans le Tome 2 : j'évoque l'hypothèse (pas farfelue) de communication entre deux cerveaux.
Ça a déjà été fait entre deux joueurs de "pacman" ou un jeu analogue..

L'un pensant à déplacer une raquette et l'autre sous TMS, cliquant sans le vouloir consciemment sur un bouton.
Cette expérience est reproductible.
Je ne la connaissais pas avant d'écrire les chapitres sur les rêves "augmentés". Genre Achéron (T2)…

Dans le tome 3, notre héros (Ludwig) revient chercher son amie (Ambre). Et l'emporte dans un voyage non plus onirique, mais physique, sur un petit bateau (Merci Patrick Letellier), du Havre aux Seychelles.
J'ai (bien sûr), fait du bateau, mais jamais sur un Arpège. Et je n'ai jamais fait cette trajectoire, MAIS les endroits décrits existent, les description sont exactes.
Même Big Ben de 4 m de haut, car j'y ai été dans ces îles merveilleuses, Ou à Tahiti, Bora-bora.  Ce que je décris est véridique !
De même que la lutte contre Ébola. Les US ont vraiment tentés d'interdire la pub pour les colloïdes d'argent… Lobby pharmaceutique. Big Pharma…

un lien entre d'autres...

Beaucoup d'autres choses viennent de mon imagination débridée ou de mes souvenirs..

Si vous avez envie d'avoir plus de détails, Google, google Earth ou m'écrire simplement…

La chaleur empêche mes 3 neurones de bien fonctionner, pourtant j'en ai des idées pour le T4…
Mais allez vous me suivre dans mes fictions romanesques ?

Bien à vous toutes et tous.

mercredi 5 août 2015

Jeu de Go...

Quel plaisir ce soir (18 h 15) d'entendre une émission sur le jeu de Go ! (France Info) La France a eu deux champions ces derniers jours...

Je connaissais les Échecs, depuis l'âge de 5 ans. Cessé d'y jouer quand j'ai commencé à battre mon père (Ha l'Œdipe ! )... vers 6 ans.
Bon j'étais différent....

J'ai découvert le GO vers 30 ans... J'en parle pas mal dans le tome 1 de la trilogie de Montjoie (partie entre Ludwig et Hugo vers la fin...)

Quand j'ai fais mon service "mirlitaire", il y avait un club d'Échec dans ma caserne. J'ai affronté les "meilleurs pousseurs de bois" et mon entraînement au GO me permettait (sans effort particulier) de les battre tous.
Quand j'en suis reparti, il y avait un Club de GO !

Donc, je vous conseille, pour vos petites têtes blondes ou brunes, de les initier à ce jeux, qui développe le sens spatial , tactique et même poétique...

Et jouez comme vous sentez...

Le jeu de GO....
A+


Les pages 99 !

Ah ah, vous ne savez pas ce que c'est ?

Ce sont les pages que lisent en premier les éditeurs (papier œuf corse) pour choisir si un titre sera bon ou pas.
La page 99 d'un livre, est une page "noble" qui commence sur le coté droit du livre. Souvent un chapitre, parfois une fin d'un chapitre antérieur.
Alors pour vous donner une vague idée de mon génial génie, je vous propose des pages 99 des tomes 1, 2 et 3 de la trilogie de Montjoie Kindle).
Vous avez le droit de m'insulter en message privé !


Tome 1 :
... Chapitre 30.


Yves a dans les quarante ou quarante-cinq ans. De corpulence moyenne, pas très grand, musclé, caucasien, peut-être des origines corses. Brun, il se rase la tête pour pouvoir porter des perruques, et ainsi changer rapidement d’apparence.
Un petit tatouage de morse ou de phoque sur la face interne du poignet gauche montre qu’il a appartenu aux Seals (troupes d’élite). Il parle plusieurs langues plus ou moins bien. L’arménien (sa langue natale, dira-t-il un jour), le français (accent ch'ti, marseillais, auvergnat, à sa guise), l’anglais, l’américain (avec divers accents, celui de la côte ouest ou est ou du Mississippi, au choix, peut causer Bostonien aussi). Notions de russe, de polonais, de grec. À l’aise en espagnol, en italien, moins en portugais.
Adepte du Krav Maga, technique de self-défense d’origine israélienne. S’entraîne dans un Dojo au sud de Paris.
N’aime absolument pas les armes à feu. Un combat contre un type qui lui a saisi son arme, l’a retournée contre lui, explique cette phobie. Il en a une trace à l’abdomen.
En dehors de son métier, la sécurité, il adore les ordinateurs, qui lui servent pour les techniques de surveillance, les intrusions discrètes dans les systèmes de sociétés qu’il a à l’œil. Il maîtrise bien aussi le monde bancaire. Il connaît tous les offshore fiscaux, du plus discret au plus puéril.
Il a monté quelques années auparavant, une boîte de sécurité industrielle (contre l’espionnage scientifique). Son associée a été assassinée violemment, sadiquement, lors d’une enquête sur une affaire de transfert de technologie, de blanchiment d’argent, impliquant des responsables politiques, financiers, français, allemands, russes, et suisses.
Une affaire étouffée au plus haut niveau. « On » lui a conseillé de la fermer. Proposé un grade supérieur. C’est pour cela qu’il a consulté Ludwig. Pour se comprendre.
Après la mort de son associée, il a beaucoup culpabilisé. Il l’aimait profondément. Il voulait se marier avec elle, bien qu’à plusieurs reprises il eût pensé lui demander sa main, mais renoncé à « se jeter à l’eau » tant il redoutait de la laisser veuve. Elle avait attendu patiemment. Elle connaissait ses sentiments, voulait, pour respecter son orgueil, qu’il fasse le premier pas. Maintenant, qu’il est trop tard, il s’en veut à mort.
*
C’est par le Rotary, dont il a été membre, que Ludwig l’a connu.
Il n’allait plus régulièrement à ce club, néanmoins, se faisait un point d’honneur d’assister aux anniversaires de la création du groupe. ...

Tome 2 :


  Chapitre 19.
Depuis une bonne heure, Amélie Flamel et Yves examinent sur un écran à très haute définition, une image satellite envoyée en temps réel. Il est un peu plus de 9 heures du matin là-bas. Un sous-officier, sur une console, à quelques pas, tente avec son joystick de compenser les différences de d’angles de vues, entre la caméra embarquée pointée sur leur cible et celle du satellite. On voit deux personnes, l’homme tenant contre sa poitrine un très jeune enfant…
Amélie se tourne vers Yves.
— Ça pourrait être eux?
Les individus marchent le long d’une plage, au bord du niveau des hautes eaux, la mer à leur gauche. Pas très loin du rivage, la carcasse d’un bateau, sans doute un porte-conteneurs échoué. Autour d’eux des complexes touristiques. La caméra du satellite fait ce qu’elle peut, les logiciels d’amélioration d’image aussi.
Yves avoue :
— Je ne l’ai jamais vu en vrai, juste en photo, des vieilles vidéos d’avant son accident, lors de certains congrès.
« La ressemblance est frappante, mon commandant. Même stature osseuse, sauf qu’il semble boiter un peu, même forme de crâne, de mâchoire, d’épaules, cependant avec ce matériel censé lire un journal à 40 km, je ne suis pas certain de moi.

Tome 3...

Il n’oublie pas quand même de regarder ses rétroviseurs… Avant de doubler un vieux camion ou une voiture bas de gamme. Bonjour la consommation d’essence…
Pense, en même temps, au carnet d’Yves. Les noms, les dates des versements, la compromission du PDG du labo dans la fabrication de drogue.
Il est certain que - comme ailleurs - le système américain est pourri de l’intérieur. Sauf un seul service : l’IRS, les Impôts. Ce sont eux qui ont fait tomber Al Capone ou Madoff, entre autres.
Aux USA on peut échapper à pas mal de choses, avec des relations ou de l’argent. Mais pas au Fisc si vous êtes “ coupable » à leurs yeux.
D’où la prolifération des paradis fiscaux.
Ludwig pense que c’est la seule voie d’approche permettant de faire tomber ce labo.
Sauf qu’il faut aussi soigner les victimes de l’épidémie.
Il a lu un mail, confidentiel, de Delagarde, qui lui dit, que sur deux cas (il n’a pas pu en traiter plus), il a eu deux guérisons ou rémissions. Qu’il pense que le labo en question, a dû importer des animaux infectés, pour en tirer du sang, avec anticorps et antigènes. Animaux tellement contagieux, qu’ils auraient dû être isolés en mode P4, puis déclarés.
Des singes, des chauves-souris. Il est évident que l’avion privé, de ce labo, a servi pour ces transferts. Yves n’a pas trouvé “le plan de vol”. En effet pour les avions personnels, il est souvent facultatif. Eux aussi ont traversé l’Atlantique pour s’approvisionner en animaux, en graissant les mains, sans doute les mêmes que celles que Hugo a huilées à son tour…
D’ailleurs une des ‘Personnel complémentaire de bord’, est morte de manière rapide, puis immédiatement incinérée.
Car ils n’avaient pas de combinaisons P4.
Cependant, cette épidémie ne fera pas que des malheureux. Ceux qui ont touché des billets verts.
Sur un plan concret, il se demande comment utiliser ces informations sans en donner la provenance, ni se retrouver illico dans une chambre d’isolement en psychiatrie.
et 
TOME 4 !  Exclusivité !
Ambre refuse le prix du trajet en taxi. Fait le tour de la voiture (une Renault Espace), examine tout, sort sa carte tricolore, venant de la SCEI, et demande au chauffeur ses papiers et son permis de conduire. Et sa licence!
— Oh, ma petite dame, faut pas vous énerver comme ça! Y a l’aller et le retour.
— Ça tombe bien, on n’a pas l’intention de revenir ici!
— Ben, on va voir.
Il s’écarte et appelle sa base.
— J’ai une fliquesse pas commode. Je les prends et quel tarif?
— Le tarif des transports intercommunaux! Débile, si ce sont des flics, pédale douce!
Revient vers les deux jeunes femmes, « Bon, ma direction me dit que dans votre cas, c’est 15 euros par personnes »!
Ça semble correct pour Ambre.
— Vous me ferez une fiche en arrivant. Et rien pour le fils de ma collègue. Il a moins de 4 ans. Ni pour les bagages. Ni le chien dans le coffre.
En arrivant à destination, Chang cherche dans ses notes, l’endroit qu’elle a consigné, la maison de Hugo. Elle a le double des clés.
Le taxi qui voit s’envoler une course à 300 ou 400 euros (tarif pour touristes) pour 15 ou 20 kilomètres fait la tronche.
Ambre impassible, lui réclame la facture. Et pas de pourboire! Pas de crédits pour cela, dit-elle.
Et avec Chang, elles ouvrent la maison de Hugo… En luttant contre les paquets de courrier ou de prospectus à terre. Les tampons de la poste montrent qu’il y a plus d’un an que le courrier n’a pas été relevé.
Louis dans son siège en alu, les regarde. Pattouche aussi, sagement assis sur son arrière-train.
Louis donne son biberon d’eau au chien qui tête avidement.
Explorer, trouver le compteur électrique, remettre l’eau en pression. Fermer les robinets de purge.
Tout ce qu’on fait quand on revient dans une maison inoccupée depuis des années!
Pourtant Hugo avait mandaté des amis pour venir s’en occuper, de cette baraque! Ils ont dû oublier…

Vous pouvez retrouver ces titres (sauf le 4) sur Amazon.fr (Sylvain scapa, Kindle...)
Bonnes vacances pour ceux qui sont au bureau et bonnes boules Quies pour ceux qui sont à la plage !  ;)

Vous reprendrez bien un peu de publicité ?

Eh oui, les jours passent...

Alors quelques liens vers la série 'Hôpital de Montjoie'...


Le tome 1, version papier

Mieux :
Le tome 2 papier !

et ceux qui attendaient :
 Le tome 3 (papier)


Pour ceux qui ont la chance d'avoir une tablette, une offre spéciale ... La trilogie !
Les trois livres en un clic.


Hélas, la lutte contre le déboisement des forêts.... nous impose de tarifs plus élevés en papier.

Alors, en bonnes citoyenne ou citoyen, sauf allergie aux textes dématérialisés, prenez la Trilogie !

Sans phosphates, ni discours politiques, respecte la couche d'ozone.