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mardi 27 juin 2017

Cave canem...

Bons baisers de Jakarta. Ou cave canem…

Après « Bons Baisers de Dubaï », vous êtes plongés dans un suite impressionnante de géopolitique, de violence, d’érotisme, le tout en Asie… 

Une aventure du duo de choc, Alan et Howard, des services secrets de Sa Majesté.

Nous avions perdu en route le camarade Presq Young, mais il revient dans la peau d’un savant fou et machiavélique, bien déterminé à prendre le pouvoir en Chine (pas à pied…)

L’ensemble du livre est complexe. Vos notions de politique planétaire (et je précise que la Terre n’a pas quatre coins) seront mises à mal dans cet ouvrage.

Où est la réalité? Où est la fiction possible et probable?

Ce livre est sans doute le meilleur de l’auteur, aux pseudonymes aussi variés qu’amusants… Du Taon à Sass, quelques lettres de différence, mais une même continuité dans cette description d’un univers, à la James Bond, 007, ou même d’Hubert Polisseur de…

Si vous voulez passer un bon moment de lecture, n’hésitez pas!

Prenez votre Kindle préférée (Calibre 8.9 conseillé) et chargez ce texte, qui va vous faire découvrir plein d’endroits, de restaurants, de jolies filles et plus si affinité… 

En attendant le suivant, qui viendra rapidement, souhaitons-le!


dimanche 18 juin 2017

Les lectures 18 juin 2017


Chers passagères et passagers de cet ouvrage, la Commandante de Bord, Marie-Thérèse CONTINANZA, et son équipage, Sophie et Éric, vous souhaitent la bienvenue dans ce livre. Il vous fera voyager dans le temps et l’espace.
Nous rappelons que les téléphones portables doivent être éteints pendant la lecture de ce livre et que fumer dans les toilettes en le lisant est interdit!
Bon voyage


Le Clos Margot

« Quand j’étais grand… »

C’est une bien belle et curieuse histoire, d’une femme et d’un homme qui s’aiment. Mais très fort!
Bien sûr, sans les difficultés qu’ils rencontrent, il n’y aurait pas d’histoire!

Au début, la description de Sophie, de son comportement, pourrait faire penser à des troubles bipolaires. Il n’en est rien!
Et son mari, Éric, ne comprend pas ses fugues, elle disparaît plusieurs semaines, sans donner de nouvelle. Lui se ronge les ongles, il ne reste plus rien. Sauf son travail.

Bon, notons quand même que Sophie est photographe (sans doute en free-lance) et Éric, décorateur d’intérieur. Même pas plombiers ou gardienne d’enfants d' un zoo dans la journée… 
On reste à un certain niveau social, quoi, zut alors!

Le texte n’est pas linéaire. On passe du temps présent au passé, le XVII ° siècle et retour dans le futur.
La vie quotidienne au moment du roi Louis  XIV… Pas d’Internet ni de micro-ondes. Au passage de belles descriptions des coutumes de l’époque.
Un certain sens du détail qui sonne juste. De bonnes descriptions…
Et retour à notre époque, puis on repart dans le temps… et on revient.

Un mélange des genres qui permet à l’auteure d’exposer ses opinions sur le concept de réincarnation, de karma, d’obligation d’être pur dans son cœur, pour réaliser son ascension vers le stade ultime, en passant de vie en vie.

La fin de ce texte, pas anodin, est dense. Une bien belle histoire d’amour qui (dans le passé) finit tragiquement.
Après une longue phase se passant au XVII °, retour au présent pour les explications qui hantent l’esprit du lecteur ou de la lectrice. Un certain Norberts’en occupe
Très vieille France. 

L’histoire se termine (vous saurez si c’est agréable ou pas en lisant le livre), nos amoureux sont débarrassés des fantômes du passé, tout baigne, et ils sont heureux. 
Attention à l’atterrissage, quelques turbulences…
La fin (réelle) n’est pas prévisible. Elle vous surprendra!
Content pour eux?

Vous pouvez lire ce texte! Disponible sur Amazon.fr/kindle


mardi 13 juin 2017

Mes lectures... 13 juin

Un beau mardi, sous le soleil…
Je continue mes notes de lecture!

D’abord, je ne parlerais pas de SPR (La Marque des porteurs). Hum, je ne suis pas certain de ma mémoire, mais j’avais fait une critique tellement négative que l’auteur s’est fendu de trois commentaires, se remplaçant les uns et les autres. Il n’a pas aimé que je descende son livre en flamme. Alors faute d’arguments pour le défendre, ses commentaires ont été des attaques ad hominem. 
Je n’avais pas démoli l’auteur. Je ne me permettrais pas. J’ai dégommé le texte. Pitoyable.
Dont acte, on passe.

Le bonheur de ces derniers jours : « La vie d’après » de Bruno MADELAINE.
Amazon, Kindle…

Alors là, ce n’est pas mon genre de lecture, MAIS… 
Au début, on observe un vieillard atteint de la maladie d’Alois Alzheimer…
Pour résumer cette notion, il devient sénile… Il est en maison de retraite spécialisée, étage des Marmottes. Sa fille vient le voir régulièrement et en rangeant la maison de sa mère, morte peu d’années avant, elle tombe sur une lettre qu’elle n’aurait pas dû lire.
Et ça dérape.
Une espèce d’enquête policière!
Et on se mélange dans les noms ou prénoms (je me dis que c’est voulu par l’auteur…), comme notre malade…
Ensuite, je ne le vous dirais pas…
Je souligne simplement la qualité littéraire, les descriptions psychologiques, de ce texte. Les alternances entre les personnages, la probabilité si faible que l’improbable survienne. 
L’enquête... Les poèmes...

Certains chapitres sont des morceaux d’anthologie psychiatrique, sur l’introspection. Et aussi le Bouddhisme. La méditation. Dépasser le vide. 
Des réflexions stupéfiantes, sur la compassion, l’amour, la fidélité, le temps qui passe.
Cela pourrait ne pas vous donner envie de consacrer deux ou trois jours de votre temps, et ce serait dommage.
Car la fin s’accélère. Les pièces du puzzle se mettent doucement en place. On va vers une découverte stupéfiante! Et je ne vous dis pas laquelle!
Il faut la mériter! Et quels bonheur, et surprise, à ce moment-là…

J'avoue avoir été complètement sidéré par la fin, et j'admire le plan qu'a dû faire l'auteur, avant de commencer à écrire....


Merci Bruno Madelaine, d’avoir écrit ce magnifique livre. 

vendredi 9 juin 2017

Petite lecture...



Chose promise...
Voilou !
Mon modeste commentaire sur l’œuvre d’ Ena Fitzbel (Sexy Disaster) que j’ai achevée il y a quelques heures.
http://amzn.eu/gLbgmXR sur Amazon !
Nos trois héros (oui, il y a Diane, Rédactrice en chef d’un journal féminin de bon niveau, William, guide en excursions diverses et variées, ex membre des commandos canadiens et Sylvie, qu’on va nommer Type E, comme la taille de ses bonnets de soutien-gorge).
Bon, les présentations étant faites, sachez que je n’aime pas du tout les livres de romance à l’eau de rose.
OK ?
Mais je venais de lire le Bonus (y avait pas de sex-toy dans la boite) et j’ai eu envie de lire plus de ce qui m’avait faire rire, malgré une grise de goutte (les gigots de Rhinoféroce à poils durs) et les Impôts à faire (après s’être inscrit sur le site gouvernemental).
Et j’ai aimé ce livre, très loin de l’étude du « concept onirique dans la vision sublogique du rédacteur en chef du Journal officiel.
Oui, en vérité je vous le dis !
Ce livre est marrant.
La narration alterne dès le début entre (chapitre par chapitre) la perception de Diane et William.
Il se passe plein de choses, et à chaque fois, l’autre comprend de travers l’événement.
Car, il y a une alchimie entre eux deux... Ils sont attirés l’un par l’autre. Et pas dans la dentelle. Au début, c’est une bluette, à la fin... Les descriptions ne sont pas pour les moins de 18 ans.
Je ne vous dévoile pas la fin, presque trop belle pour être vraie, mais à mon âge (Canonix) j’en ai déjà vu de toutes les couleurs (de peau)...
On commence dans la Jungle du Costa Rica (je croyais que c’était une marque de café). Et on continue par une vraie romance, pas comme lue dans Roméo et Juliette (ni les cigares).
Et de fil en anguille, la famille s’en mêle (à la fin...)
Trop fort ! Tellement véridique. Et même une des 4 sœurs, limite mauvais genre, s’en mêle...
C’est entre « Trois hommes dans un bateau » (Jérome K. Jérome) au début, puis le « Couvent des envies », cherchez l’auteur).
En tout cas, ça devient assez torride.
(Et c’est une passion qui va croissant, comme leur attirance.)
Je n’ose en dire plus...
C’est une romance pour adultes, avertis, et ce qui m’a le plus amusé, c’est cette évolution psychologique dans les rapports mentaux (pour ne dire que ça)
Si j’ai pris quelques minutes de mon précieux temps, pour vous l’écrire, noir sur blanc, c’est – sauf si vous êtes TRES coincés –, c’est que vous pouvez prendre ce livre.
Surtout pour échapper à ce matraquage pour les législatives.
Et au passage on apprend plein de choses sur la faune et la flore de la jungle... Et diverses positions que nos héros tentent, pour contrer l’influence dépassée du Kamassoutra...
Bonnes lectures...
Vous pouvez terminer par : https://youtu.be/rp7mamCpdcc?list=RD4PtPIEW3Dhs

jeudi 1 juin 2017

Lectures de la semaine...

La fin de la semaine commence.
Petit bilan des livres relus (papier).

D’abord un auteur qui peut parfois être sublime, et d’autres fois écrire comme un débutant…
Philip José Farmer.
Ceux qui aiment la SF de bon niveau reconnaissent son nom (comme Paul Janus Finegate dans certaines séries).
Il a commis des grandes séries, comme les Faiseurs d’Univers et ses déclinaisons… Ou les Dieux du Fleuve.
Là je viens de relire un texte de 1981 : Le Soleil Obscur. 
J’avoue que l’histoire de ces deux adolescents (une fille et un garçon) de tribus différentes, et à qui un vilain méchant a volé les « œufs d’âme », les empêchant de rester dans leurs tribus respectives, est assez amusante (au deuxième degré…). Bon et bien qu’ils soient de deux clans opposés, bien entendu, ils commencent à s’aimer. La suite se devine facilement. Je ne vais pas vous spoiler ce texte qui à son époque était pas mauvais.
Je peux vous citer aussi (du même auteur) « Les amants étrangers ». Histoire improbable entre un humain et une extra terrestre. Ce fut une révolution dans le monde de la SF! Quoi? Parler de Sexe dans des livres de fictions. Horreur! Mais quel régal! 
Pour moi, c’est la Saga du Monde du Fleuve, qui est son chef d’œuvre. J’en parlerais peut être un jour. J’ignore s’il est numérisé.
C’est du niveau de Dune (Frank Herbert.) pour vous dire.

On continue joyeusement…

Ernest Cline, pour « Player One ».
L’histoire dans un futur dominé par des majors des FAI (Fournisseurs d’accès à Internet).
Attention c’est un pavé de 613 pages (2015, récent donc).
Le créateur d’un monde virtuel (OASIS) vient de passer l’arme à gauche (antimilitariste?). Il lègue sa fortune (bof, à peine 250 milliards de dollars) à celle ou celui qui viendra à bout de trois énigmes inspirées des jeux vidéos.
Et là, nous avons des descriptions de toutes les consoles de jeux existants ( et ce n’est pas ennuyeux) et des jeux qui ont tourné sur ces bécanes…
Évidemment, il y a les bons (dont notre héros) et les super -hyper cradeaux : l’IOI, qui tente tout pour les empêcher de gagner (car d’un seul individu, ils sont passés à 5, dans leur groupe), cette compétition qui dure quand même entre 6 et 7 ans. Le tout sur un monde du style Blade Runner, sous la pluie, les déchets radioactifs, etc. 
À travers la description de cette guerre entre FAI, je n’ai pas pu m’empêcher de penser à Face de Book. Le gros vilain méchant. D’ailleurs, comme tout ce que nous publions sur FB devient ipso facto leur propriété, c’est pour cela que je dépose de mes petits doigts délicats ce texte sur un de mes blogs
Or donc, j’ai lu quelques conseils pour l’architecture d’un texte.
Ce qui touche le lecteur, ce sont plus les échecs que les réussites de nos héros… Ce livre respecte bien cette constatation.
Il n’empêche. Nous lecteurs, nous aimons quand même que nos héros, laissant la garde de leur progéniture à un vieux dragon, quand ils vont faire leurs courses chez Intermarché, trouvent le bonheur…
Ah! vous ignorez cette référence? Trouvez, dans votre quête un vieux texte : « Papillon ou Dragon ». Voilà un exemple du travail que nos héros devront accomplir.


Bonne lecture…