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mardi 15 mars 2016

Un livre géant !

Retour à la cité des Monstres...

Attention !
J’avais déjà lu des ouvrages de F. SOULIER, mais celui-là « Retour à la Cité des Monstres », vaut son pesant de moutarde arrosé de Cognac.

Un des polars noirs les plus incroyables lus depuis quelques années !

Un grand auteur, je le dis sincèrement, meilleur que moi (!), qui a chaque phrase vous attrape par les burnes et tord.
J’ai mis quatre jours à le lire (moi qui lit un livre en deux heures ordinairement).
Ce type est un géant…
(Je ne connais pas les autres en dehors du « Trou du ver… » déjà pas mal, mais ce livre est géant ! 

Je l’ai chargé lors d’une promo, et je ne regrette pas, merci, Frédéric. 
Tu dépoussières un genre trop convenu.
Tu fais acte de salubrité publique. 

Ce livre, l’histoire de la vengeance d’un type qui en a bavé, est fabuleux.

Je n’en dis pas plus, mais je coche les milliers de phrases que cet artiste nous a concoctées !
Et je compte bien en utiliser une ou deux, pour mes propres textes, car ce bouquin (Kindle) est incroyable.
Violence, méditations, vaudou, etc. Vous en aurez pour votre argent !
Prenez-le, ce texte est « pas mal »…

Merci de ces moments exceptionnels de détente, entrecoupés de crises de fou rire !
Bravo. Tu vas monter dans le top 100 et y rester longtemps je pense !

S.

samedi 12 mars 2016

Livre Tome 1 sur WattPad...

suivez ce lien...
Hôpital de Montjoie, Tome1

Pour ceux qui dégustent lentement mes textes...
Un site de lecture gratuite...

Cela vous évitera d'acheter la version kindle à 2,99 pétrobouzoufs...

Seule condition : vous y inscrire (gracieusement...)
Désolé pour la pub au bout de chaque "segment" (chapitre), c'est le moyen de gagner de quoi vivre un peu... (Pour ceux qui mettent Wattpad à votre disposition, gracieusement...)


jeudi 3 mars 2016

Interview...

Premier interview par Allisson, pour  son blog.

Interview

1) Bonjour, pouvez-vous vous présenter en quelques lignes ?

Bonjour ! Né en 1946. Commencé à travailler vers 5 ou 6 ans (oui, l’école est un travail !) Diverses études (longues) et exercice de la médecine (35 ou 40 ans), de l’informatique (depuis 1979), de la photographie et des voyages.
Quand aux livres je ne peux pas répondre, j’en ai un ou deux milliers. Techniques, médicaux, artistiques (Soulages par exemple, que je connais personnellement depuis 1992), Science Fiction, Histoire. Trop pour dire que j’aime un genre plus qu’un autre !

2) Comment est venue l’envie d’écrire et surtout l’envie de publier?

Devant cesser de travailler fin 2010, j’ai refusé de laisser s’atrophier mes 4 neurones.  J’avais envie d’écrire depuis des années (au passage, je racontais à mes enfants le soir, des petites histoires, et s’ils réagissaient bien, le lendemain je les notais). 
Mais je ne suis pas « un écrivain », juste un « conteur » d’histoires…
Jamais eu le temps de faire un roman, cependant je me suis mis devant mon clavier le 10 juin 2010… Vers 20 h du soir !
Et j’ai commencé une histoire, dont je savais que ce serait une enquête médicale et policière dans un hôpital de la région parisienne. Pas de plan. Juste une grande page, avec mes personnages (bons ou méchants), leur signe zodiacal, le contenu de leur frigo, leurs chats éventuels, leurs amours ou peines…
Puis révision avec une de mes collègues. Impression, recto verso, reliure et envoi à sept éditeurs. Sept refus…
Découverte d’Amazon, des Kindle et surtout lecture possible des premières pages de plusieurs livres.
La claque. 
Mon histoire tenait la route, mais était mal présentée, structurée. J’ai tout repris !

3) Où trouvez-vous l’inspiration?

Je dirais : dans mon lit ! La nuit quand j’ai une insomnie, je pense à ce que j’écris, à mes voyages dans les îles, à mon ancien métier et à l’informatique, Internet, la révolution numérique. Et vers 16 h du matin, je transcris mes cogitations… Avant de me recoucher.

4) Pourquoi avoir choisi de publier en auto-édition? Où peut-on trouver vos romans?

Pourquoi ? Parce que j’ai été rejeté par des Éditeurs (qu’une critique littéraire m’avait indiqué) ayant leur fonds de commerce sur le suspens, les thrillers, etc. Alors Amazon !
Et bien sûr, mes textes (numérique ou papier) sont disponibles chez Amazon (sans exclusivité genre KDP Select). Il suffit de chercher « Sylvain Scapa… »
Les versions papier viennent des USA (Create Space) ou de GB, Allemagne. Les versions numériques par la magie d’internet et du Wifi…

5) Est-ce qu’il vous arrive de discuter avec vos amis de vos ouvrages? Qu’en pensent-ils ?

Discuter ? Non. Même mes enfants n’ont pas lu mes textes. Sauf un, le premier tome.

En revanche via un réseau social bien connu… (humour) où j’ai une page (Hôpital de Montjoie), j’ai découvert que bon nombre de mes lecteurs viennent vers moi, et nous échangeons sur tout et rien. Même des recettes de cuisine. Elles ou ils deviennent souvent des amis, et parfois je les rencontre à Paris devant une bonne table !
Pour les discussions, sans se connaitre, les critiques sur Amazon sont ou impitoyables —souvent anonymes— , ou au contraire très bonnes… Cela m’aide à progresser.

6) Pouvez-vous me parler en quelques mots de chacun des livres que vous avez publiés

En quelques mots… Actuellement j’offre à la lecture quatre tomes de la saga « Hôpital de Montjoie ». Papier et numérique. Soit chaque tome du 1 au 3 (ils sont aussi condensé en une trilogie) et le 4 à part. Le 5 est en cours de rédaction. 

Le premier tome est la rencontre de mes deux héros, une enquête sur la mort suspecte d’un de leurs patients. Et découvertes d’un groupe de «méchants», des services secrets, et pleins de choses douteuses… Le tout dans le domaine médical.

Le second est une variation sur une nouvelle technologie de stimulation cérébrale employée dans le tome 1.

Le troisième est dédié à un voyage en bateau jusqu’aux Seychelles, et retour pour tenter d’aider dans la lutte contre l’Ebola, qui l’a déclenché et pour quels motifs !

Quant au dernier, le tome 4, réclamé à cors et à cris par mes premiers lecteurs ou lectrices, on trouve en vrac les paysages de la Drôme, un trésor, un kidnapping, le Vatican qui s’en mêle, et une fin assez surprenante sur le conditionnement de ceux qui ne sont pas des milliardaires ! 

7) Est-ce que l’emploi que vous occupez vous laisse du temps pour l’écriture ? Où est-ce que vous vous consacrez pleinement à l’écriture?

Je ne travaille plus, donc mes temps libres, en dehors de tailler mes rosiers ou de restaurer une vieille voiture de sport,  je m’occupe d’un pavillon que j’ai acheté il y a quelques années, c’est mon île déserte, pas de voisins, quelques chats qui viennent déjeuner…

Et j’écris, souvent très tôt le matin, puis quelques heures l’après-midi. J’essaye de faire entre 500 à 1000 mots par jour, sachant que ma collègue, amie et re lectrice en fera sauter au moins un tiers !
Je peux dire qu’en dehors de choses bassement triviales ou redondantes, comme faire des courses ou les repas, oui, je me consacre entièrement à l’écriture ou à déchiffrer de temps en temps des partions de piano.

8) Avez-vous des moments propices pour écrire ?

Non. Quand je n’écris pas (le matin et le soir) je note sur mon téléphone les idées qui passent. Et je lis beaucoup aussi, car « raconter des histoires », me fait modifier ce que j’écris. La lecture des autres (les bons) me montre ce que je dois améliorer. L’architecture d’une phrase, d’un paragraphe, d’un chapitre… Mais je ne veux pas tomber dans un dogmatisme pédant. En fait, j’écris presque toujours (trop) rapidement, en suivant mon instinct.

9) Êtes-vous sensible à la critique littéraire? Travaillez-vous avec des blogueurs?

Oui, je suis sensible aux critiques, surtout quand elles sont postées anonymement sur Amazon…
Je ne travaille pas avec des blogueurs (j’ai mon blog, un peu fourre tout), mais je ne suis pas assez connu pour être sollicité dans ce domaine. 

10) Qu’avez-vous pensé de cette interview ? 

C’est ma première interview… Un peu « intimidé », comme un entretien d’embauche ! J’espère avoir réussi à être le plus honnête possible et que la lectrice ou le lecteur le sentira !

Un commentaire d’une lectrice.. Marie LVM, sur la Trilogie !

Et surtout, il y a ce que j’appellerai le « style Scapa ». Un style efficace, des phrases courtes, dépouillées, allant à l’essentiel. Sylvain Scapa écrit comme on parle, sans chercher à donner dans les belles tournures si souvent employées par des écrivains qui n’ont rien à raconter et qui font se pâmer les adorateurs de belles lettres, quitte à s’endormir à la page deux. Avec lui, au moins, on ne s’ennuie pas. Son livre est proche du scénario de film. Chaque scène est découpée, présentée, dessinée comme si elle était prête à être filmée. Oui, on imagine bien ce que l’adaptation au cinéma pourrait donner.

Sans lecture, les êtres humains ne sont que des animaux. Et hélas, certains textes les poussent à se faire la guerre…

Je vous remercie de m’avoir consacré du temps pour répondre à cette interview. Je vous souhaite plein de bonnes choses dans le monde de la littérature. 

C’est moi qui vous remercie de m’avoir donné l’occasion de m’exprimer, un peu.
Sylvain Scapa, ce 3 mars 2016

(Références : Amazon.fr, Sylvain Scapa ou Google !)