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samedi 29 novembre 2014

C'est quand la Prochaine ?

Comme nous sommes un samedi de plus, et que j'ai trois minutes, quelques réflexions plus ou moins sarcastiques.
Mais au début je voulais "causer" de la prochaine.

Pourquoi ????

Ce volcan en Islande au nom imprononçable, en Avril 2010, m'a fait fouiller sur le Net, à la recherche d'images satellites, sur ce fameux nuage émanant de ce foutu volcan !
(Toute référence au film des Canons de Navaronne est fortuite...)

Selon Jung, il y aurait un inconscient collectif et nous baignons dedans. Sauf que l'homme ou la femme, ne sont pas sensibles aux signes précurseurs d'une éruption volcanique.

Les crapauds, eux le seraient. Suis-je un crapaud qui s'ignore ?

Mais je reviens au fondamental. J'ai cherché sur les images de l'espace de l'époque, les traces de ces fabuleux nuages, qui, pénétrés à 950 km/h, foutent en l'air les pales des turbo-réacteurs, dépolissent les vitres de l'avion etc.

Cherché, en lumière visible puis en infra rouge. Bien vu les courants aériens, mais rien de particulier sur la France. Images animées compressées dans le temps ensuite, (une image sat mets quelques minutes à être émise et reçue à Terre) c'est un balayage ligne par ligne mais une ligne par seconde environ (la TV c'est 25 lignes paires puis impaires par secondes, d'où images animées en temps réel).

Un de mes autres programmes, permet de suivre les avions en vols (indicatif, (destination) altitude, vitesse etc). Cherchez ' radar virtuel' sur Google. Ou Flghtradar24.com

Les premiers jours : la panique ! Désorganisation de toute l'aviation civile trans-européenne. Puis des doutes ont commencé à germer à droite et au centre. Les pilotes, les compagnies aériennes, ont commencées à émettre des sérieuses réserves sur la fiabilité des alertes. On a envoyé des avions explorer des "couloirs" aériens. Ils sont revenus intacts.

Je crois que ce volcan a bien pété. Mais si là-dessus s'était ajouté une bonne intoxication des services informatiques (la prochaine guerre ! ), qui s'en serait rendu compte ?

Il est archi probable que les intranets des grandes compagnies, sont trafiqués, piégés, infiltrés. Je n'en vois comme exemple que plus un système est complexe et diversifié (mondialement), plus il est simple de l'attaquer - force brute - ou d'infiltrer des informaticiens de bon niveau, qui ouvrent des back doors dans certains programmes, et peuvent ainsi faire mumuse.

Bilan des courses : il a été évoqué des pertes de 100 à 150 M€ par jour par Air France par exemple.

Pendant ce temps les autres compagnies (Asie, Australie, US intérieures) n'ont pas été touchées.

Nous avons vus (entendus) que la Grèce avait des foutus problèmes de trésorerie ... Et que l'Euro en prenait plein la gueule. Et si tout ça était une répétition informatique d'une attaque de plus grande ampleur ?

Je ne suis pas un spécialiste (auto-proclamé) de la polémologie informatique.
Mais pensez y ... Il y aura de moins en moins de combats "humains versus humains" mais de plus en plus de "drones", de virii, de back-doors etc.
Et les conséquences seront certainement plus méchantes que la bombe à neutron, qui tue les vivants en laissant intact les immeubles...

Pourquoi tout ce laïus ?

Il y aura 3 forme de guerres.
Physique, hommes contre autres (on parle pas des civils. 120 morts dans une mosquée hier. Mais pas trouvé les noms, alors que si en France un type est tué par un flic, militaire ou autre, ça fait la une... Avec les interviews des voisins etc.). Là, 120 personnes ont perdu leur enfance, leur première femme dans leur lit, et sont disparus d'un claquement de bombe.
Leur religion, peut importe. Leur couleur aussi.
C'était des humains, ils pouvaient avoir le même  système HLA que vous et pouvaient vous prêter un rein quelques mois.

Alors la 3ème guerre cf l'excellent livre de Stéphanie la 3e.
Elle sera financière, informatique...

La suite, ce sera cailloux contre machettes. Il n'y a plus d'humanité. Elle sera ultime. Les vaincus, comme le voulait le 3e Reich, d'un coté les Aryens, (ceux qui ont du fric, jaune, blancs ou verts) et les esclaves...
Bon dimanche.


vendredi 28 novembre 2014

Les clés USB !


Ludwig ayant prévenu l’équipe de la SCEI jubile !

Il se doutait que cette secrétaire, trop bien habillée pour son salaire, et célibataire, n’avait pas accepté ce poste « ingrat » dans le service de la TMS pour le plaisir... D’autant qu’il avait vu quelques collègues médecins chefs ou autres, la regarder avec l’appétit d’un chat affamé devant une souris.

Il rigole. Car peu de gens savent qu’une clé USB contient un peu d’électronique (pour gérer les échanges avec l’ordinateur sur laquelle on la branche) ! Et qu’on peut introduire un virus dans le hard (la partie électronique) de la clé.
Comme ce virus est dans la structure même du contrôleur de la clé, il est indétectable.  Et celui qu’il a mis au point, avec l’aide du groupe de le SCEI,  en se basant sur les trois systèmes d’exploitations les plus répandus, a fait qu’à la première lecture, le programme de l’ordinateur « hôte » a été infecté. Et d’une manière totalement invisible.
Et que maintenant, chaque fois que l’ordinateur de Monsieur C. est branché sur Internet, Ludwig peut y accéder en mode obscur.
Et il se délecte.
Car Monsieur C. vient de passer d’un site de rencontre à un autre, avec des jolies filles en petite tenues. Genre un collier et rien d’autre.
Pendant ce temps, Ludwig cherche les dossiers confidentiels. Il a même la surprise d’en trouver un sur lui !
Il y a aussi des membres travaillistes. Avec des scandales cachés mais prêts à éclater si besoin est, pour faire pression !
Et des photos de membres de  la famille royale, dans des poses explicites.
Son ordinateur charge silencieusement des mégas octets d’informations.
Il tombe même sur le dossier de John (ou Alan selon l’identité qu’il prend).
Le survole, pendant qu’il vidange l’ordinateur de Monsieur C.
École de guerre Sandhurst ou un nom comme ça. Sorti major de sa promotion. A travaillé quelques mois comme agent de change. A trouvé que finalement les opérations noires lui convenaient mieux.
A donc rempilé et s’est trouvé sur pas mal d’opérations externes, lire ses mémoires, un   Un taxi ou    Le camarade   ...
Bonne résistance à l’alcool. Aime les femmes difficiles. Plus c’est dur et mieux il apprécie !
Bon, il  lira la suite plus tard. Un verre de lait et retourne au lit, se love dans les bras d’Ambre et commence à rêver...


jeudi 27 novembre 2014

Oh, ce soir rien de bien à la TV ?

Mais c'est normal ! La TV c'est pour des dégénérés du bulbe. Ceux qui n'ont pas encore leur chauffeur pour les conduire de leur home (sweet home) à leur club extra privé....

Vous voulez une idée de ce que peut être la vie de quelqu'un qui n'a pas besoin de travailler sérieusement.
Ben non.
Je ne donne pas ces informations.
En revanche vous pouvez combler vos soirées en lisant :

Un taxi et que ça saute !

ou

Le camarade Pesk Yong

Voilà, cette soirée vous dormirez mieux, le MI6 vous protège.... Un peu.... ;)


Sylvain Scapa

mardi 25 novembre 2014

Le MI 6

 A lire d'abord ! Le MI 6...


Ludwig est alerté par son bipper. Intrusion dans les locaux de la TMS.

Ambre dort contre lui et profondément. Il se dégage en douceur de son corps voluptueux, pour aller dans sa pièce personnelle. Un kimono sur les épaules, la nuit, bien qu’il aime la chaleur, il se force à baisser le chauffage à un petit 18°.

Rapidement il active ses appareils, dont ceux qui protègent son bureau. Les caméras qu’il a fait poser avec l’aide du frère d’Yves fonctionnent parfaitement.

Leur nouvelle secrétaire est à terre. Respire. Que fout-elle à cette heure dans SON bureau. La porte de l’armoire blindée est ouverte, avec toutes ses clés USB en évidence.

Sauf que chacune est avec une double partition. Une visible, officielle on pourrait dire, l’autre secrète, un simple octet à modifier.

Il voit un homme en tenue de Ninja, même une cagoule, laser dans une main, taser ou analogue dans une autre. En plus il miroite, comme avec ces nouvelles combinaisons qui ré émettent ce qui est devant eux, pour les rendre presque invisible vu de dos. 

Ce dernier examine soigneusement les clés USB. En sort une et se retourne.

Il reconnaît les yeux. 

C’est un « adversaire ». Pas un ennemi, ni un ami, quoique ? 

Comme au Go on peut faire une partie, se battre virtuellement puis boire ensemble sans rancune entre celui qui a gagné ou perdu.

Il croit vraiment le reconnaître. La taille, la manière de se déplacer comme un chat sur ses gardes, ses bottes Galway. On a les moyens ou pas !

Il l’a croisé plusieurs fois quand il a accepté d’aller à des réunions au SIS MI 6, avec Monsieur C., mais chaque fois bien habillé sans doute Saville Road, où les rendez-vous se prennent 2 ou 3 ans à l’avance.

Il ne doit pas avoir plus de 35 ans. Pas de relation féminine stable connue, à l’inverse de son coéquipier, qui culbuterait une fille de ferme, simplement pour se détendre.

Ludwig continue à examiner les caméras. Il les a fait disposer en quadri stéréoscopie, et avec des lunettes de réalité virtuelle, en tournant la tête ou en bougeant, il est « dans » la pièce. 

Comme physiquement. Il peut tourner autour de l’intrus. Il s’approche même tellement qu’à un moment, réflexe idiot, il a peur que l’autre ne sente son haleine ! 

Car ce soir, ils ont fêté, Ambre et lui, au martini gin sa promotion au Master 1 à la SCEI..

Il tourne « virtuellement » autour de l’intrus. Oui c’est certainement Alan. Il en est sur à 90 % . Pour une fois il n’est pas dans la frime, avec cette combinaison de Ninja !

Il sait où il peut le retrouver. Et maintenant, il regarde les clés USB. Il en manque une, le trou est évident. Celui où il stocke des textes qu’il s’amuse à écrire. Une histoire, basée sur ses souvenirs. De psychiatre, d’informaticien, de bricoleur, de marin... Et l’arrivée d’Ambre dans sa vie...

Sauf que ....

La partition de la clé USB, celle qui est visible, il a codé (un simple XOR) le texte qu’il écrit, mais sur la seconde partition, formatée différemment, il y a tout le plan américain pour – à travers le Virus Ébola – mettre la main sur les trésors minéraux, géologiques, de Diamants, de Coltan, de Pétrole, de la région d’Afrique de l’Ouest, qu’ils ont inondés de ces saletés virales avant de leur proposer des traitements (qui ne marchent pas terrible).

Ludwig, est souvent considéré un peu comme parano par certains collègues...

Mais il vit seul (sauf quand Ambre vient dîner...) et compte sur ses alarmes pour protéger sa maison, et c’est efficace. 

Alors, il décroche son téléphone sécurisé, un coup de fil à la SCEI, pour signaler l’intrusion dans son bureau, adjacent au laboratoire de la TMS, celui où on traite les suspects...

Il passe les instructions. « Ne rien FAIRE ». 

Il y a des fois, où la meilleure solution devant un problème, c’est de ne pas bouger.

S’ils décryptent, facilement, ses textes, les Enquêtes, bien grand leur fasse. Ils ne pourront pas accéder au reste. Monsieur C. ne comprendra pas ce texte, qui est plus un polar...

A suivre dans le T3 !

samedi 22 novembre 2014

Encore un qui a de l'avance

Réveillez vous !
lisez ce blog : http://www.antosass.com/2014/11/avec-quatre-jours-davance-sur-le.html

Et réfléchissez...

D'autant que dans le Tome 3 commencé en juillet, j'évoquais (depuis la fin du Tome 2) la possibililité d'une épidémie en Afrique...

Ce pourrait-il, que "nous" auteurs (et donc grands lecteurs) nous "sentions" mieux que les autres ce qui va arriver...

Je vous laisse y penser...

Sylvain Scapa

jeudi 20 novembre 2014

Extrait ...

Le T3 est déjà en soumission devant Amazon...
La date de publication "officielle" est le 20 décembre 2014...
C'est donc aussi la date où les pré commandes seront honorées. Au tarif le moins cher, pour avoir un maximum de "clients lecteurs"...

Alors à vos tablettes !
en attendant les ultimes corrections à communiquer au plus tard le 9 décembre (elle seront en ligne, sauf la table des matières qui me pose problème en RTF), mais vous n'en aurez pas besoin.... ;)

Donc un petit extrait, le livre alterne des choses calmes et d'autres un peu moins....

Début.... (c) Scapa 2014
-----------------------------------------
(Il vient d'être alerté par ses alarmes)
Ludwig enfile un boxer, fonce. Ambre s'éveille.
— Toi, dans le bureau, le placard secret, tu fermes de l’intérieur, tu coupes la lumière, téléphone en mode silence. Pas de bruit, tu écoutes si ça tourne mal. Mon groupe sanguin est B+.
Il l'embrasse.
— Je t'aime !
Et en boxer, avec son gilet pare éclat, piles activées, se met à l'affût dans le salon. À genoux. Son arme est propre. Une balle dans le canon. Sécurité off, en position de tir à 3 coups. Il visse rapidement « un réducteur de son ». Active la charge de la visée laser, mais ne l’allume pas pour le moment.
Il ne va pas lutter particulièrement pour sa peau, mais pour celle d'Ambre.
Il estime qu’il a deux ou trois minutes pour piéger ses assaillants.
Rapidement va vers son halogène et l’oriente vers la porte d’entrée, il est éteint, mais pousse le curseur à fond. Attrape la télécommande qui lui permet d’allumer des lampes à droite ou à gauche sans se déplacer, et ce lampadaire en particulier.
Une diode s'allume le long de la porte. Une seconde diode. Des gens s'approchent. Leur masse modifie la fréquence d’un détecteur et au-delà d’un certain niveau, ce n’est plus un chien en maraude, dans les 20 ou 30 kg, mais un humain de plus de 50 kg. C’est un de ses systèmes d’alarmes, qu’il a imaginé.
Il rampe vers une armoire. Fouille et trouve une couverture de survie, qui garde la chaleur pour les blessés sur la route. Et donc retient l'émission thermique. S'emmitoufle dedans. Juste l'arme et les yeux qui émergent.
Il devrait sembler invisible si les autres ont des amplificateurs de brillance ou des lunettes à infrarouge.
C'est le cas.
La porte s'ouvre doucement, un homme en cagoule avec des lunettes de vision nocturne, passe son arme puis la tête. Balaye le salon des yeux. Ne voit pas Ludwig.
— Il n'y a personne, chambre à coucher ? Dans un murmure.
Il entre suivi par un coéquipier. Ils se séparent à droite et à gauche.
Là, Ludwig presse le bouton qui allume la lampe et éblouit totalement ses assaillants. Qui se couvrent les yeux de douleur. Ils ont mis l’amplification sur Log2. 100 fois ce qui est utile. Lui, utilise le pointeur laser.
Et avant qu’ils ne tirent au hasard, lève son arme en direction du premier.
Ludwig, qui a consacré sa vie à sauver ou accompagner des mourants, estime qu'il peut équilibrer les plateaux de la balance. Il ajuste sa visée et tire une balle dans la bouche du premier. Rabaisse le canon qui vient de remonter légèrement et une autre balle entre les yeux du suivant. Il a tiré en moins de trois secondes.
Il éteint tout.
D'autres se pressent pour entrer. Ludwig allume et tous entrés, il les élimine comme des lapins. Un des assaillants essaye de tirer vers lui. Une seule balle chacun, dans la tête, désignée par le laser.
Et chaque coup de feu fait un bruit de bouchon de champagne qui saute.
Plus du tout de « méchants ». Il attend un peu, mais tout est calme.
Il entend la détente de son arbalète à poulie et un type qu’il n’avait pas vu se retrouve épinglé contre un mur, avec une flèche de 30 centimètres qui lui sort du sternum. Il meurt en quelques secondes.
Ambre a dégoté son arbalète de compétition, encordée, tendue en silence, mit un carreau et était prête à tuer le premier qui viendrait !
C’est donc Ambre arrivée pieds nus avec l’arbalète qu’il stocke dans le placard secret. Comment a-t-elle armé cet instrument, choisi la bonne flèche ? Souvenirs du bateau ? Ils en parleront plus tard.
Mais manifestement, ce n’est pas la peine de l’infantiliser ! Elle se débrouille très bien.

Il lui dit d'appeler la SCEI pour «nettoyage ».
Elle se jette dans ses bras, elle pleure. Elle a tué un être humain... 

Les autres détails plus tard... 


lundi 3 novembre 2014

Correction II


Ah la là s'écriât-il en Portugais, langue qu'il maîtrisait parfaitement !
 
Comment écrire : 
Je suis au mouillage, à Aghios Nikolaos, en Crète, il y a un petit port de plaisance, à l'est de l'île. 
Et des hôtels en béton qui n'existaient pas il y a 20 ans...

Comment écrire n'existaient pas ?

L'antidote ne dit rien.. Le correcteur Petit Robert, non plus.
Or j'ai essayé : n'existait  et dans ce cas de figure, pas d'alerte !

Conclusion : ces programmes de correction ne regardent finalement que le dernier mot (Béton).
On pourrait faire remarquer que le terme "qui" est une liaison entre deux segments de phrases... Et donc que nos deux correcteurs se plantent l'un après l'autre.

Je vos dis tout cela car j'ai envoyé un petit cadeau (3 chapitres du Tome 3) à ceux qui se sont inscrit (de leur plein gré) pour avoir des nouvelles duT3...
Certains (pas tous heureusement, ont trouvé un faute : il faudrait écrire  n'existaient.
D'autres pour n'existait  pas, ne m'ont rien signalé.  
Alors je ne sais plus quoi panser ou penser, (car les poules du couvent couvent...) pour faire des textes ZEN.
Celui qui me signalera le plus de fautes (le premier), aura le T3 offert ! 
Sinon, s'il y a des alpha ou béta lecteurs (rapides merci) candidater sur la page face de book en MP.

Et je termine pas : Tant qu'il y a de la vie, il y a du désespoir ! ;)
A+
L'auteur, Sylvain SCAPA