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jeudi 24 novembre 2016

Un élément du Tome 4

Prémonitions ?

Voilà ce que j’écrivais en 2014 (avec ma co-auteure)…
Et il y a un jour ou deux, je tombe sur un article…

Cherchez la zone  ——  pour le lire (en bas)…

Elle propose, avant le coucher du soleil, de faire un petit tour à leur parc… 
Cannelle (sa fille) les accompagne, en tapant frénétiquement des SMS à ses copines.
Il marche lentement à grandes enjambées, et il lui semble que sa hanche va mieux. Un peu plus souple.
Au détour du chemin, ils tombent sur une petite bande de loubards.
Oh pas énorme : à peine cinq.
Ils se rangent sur le côté pour les laisser passer, mais ces derniers les entourent.
Pas le moindre promeneur visible.

La situation leur semble « délicate ». Surtout quand le chef du groupe demande à Cannelle de lui montrer son téléphone portable, il le trouve très beau !

Et les autres les entourent, deux, chacun.
Cannelle refuse.
Le « Chef » s’énerve. 
— File-moi ton portable, connasse !
— Va te faire voir taré.

Ambre est tétanisée. Elle connaît bien ces agressions, elle en a soigné des victimes, surtout sur le plan psychologique.
Alors Ludwig sort de sa fatigue.
— Lequel je laisse  survivre ? Pour que jamais, raclures de bidets, vous ne veniez plus jamais dans ce parc, sinon, je vous tuerais un par un !
Ils sont surpris, se regardent en souriant !
— T’as des couilles, papy. On va voir !
Et ils prennent une position d’encerclement, sortent des coups de poing américains, des lames de couteau.

Et Ambre et Cannelle découvrent un aspect méconnu de Ludwig.

Bien que sa hanche lui fasse mal, il tournoie sur le pied gauche, un solide coup de pied au visage de chacun, et se baisse lors des ripostes des autres. Il en étend deux puis trois au sol. Les deux autres reculent.

Ludwig ramasse une lame à terre. Un couteau à lancer. Regarde le plus vieux, le chef et lui envoie en plein thorax. Le manche sort de la plaie.
Il dit au plus jeune « Retourne à l’école ». 
Le trio part, mais avant, Ludwig prend les mains de chaque agresseur, écroulés au sol, pose leurs doigts sur sa botte de sécurité à gauche, et d’un appui de l’autre pied, les fait craquer, se retourner, à l’envers. Ils hurlent.
Ils auront du mal pour jouer du piano, après. S’ils savent en jouer...

Pour compléter, un bon coup de pied dans les côtes, là où ça fait le plus mal, de chaque côté. Au-dessus des côtes flottantes. 
Ils souffriront en toussant pendant quelques semaines…

Le craquement des os sidère Cannelle et Ambre, qui se recule quand Ludwig s’approche d’elle.
Elle a presque peur de lui.

— J’ignorais que tu puisses être si violent !

Il souffle, tremble un peu, l’adrénaline.
— Ils ne se seraient pas arrêtés aux téléphones. Nous étions en danger. C’est la dernière fois que je sors sans mon Glock.
— Mais où as-tu appris à te battre aussi sauvagement ?
— Mon petit Lapin… Je viens de subir hier et aujourd’hui l’entrainement des soldats des unités d’élite. Une demi-heure pour toi, moi dans le rêve, trois mois ou plus en perception subjective.
Je peux te parler maintenant en américain, sans fautes, te décrire des lieux que je ne connais pas, reconnaître des gens, des piliers de bar souvent, que je n’ai jamais croisés ! 

Et surtout, comment faire sauter une plateforme pétrolière !

Apprendre à nous défendre.
Aussi, savoir où chacun à sa cachette secrète, son argent amassé. Ses ex-petites amies et des dizaines de choses !

Je ne sais pas si je vais continuer sur les autres. Ceux déjà « traités » me donnent des pistes surprenantes.

———— Texte de 2016 par le Légionnaire.

Agressé à l'arme blanche par 5 racailles alors qu'il était avec sa femme et ses petites filles

Un militaire français attaqué par 5 racailles : c'est les familles des agresseurs qui déposent plainte !!!!

" La plainte vient des familles de mes « victimes » bien que je subodore qu’il y ait des associations derrière, mais je ne suis pas inquiet, car, après avoir fait reculer ma femme et mes filles, mon épouse a eu la bonne idée de filmer avec son smartphone. Nous avons ainsi un angle de vue supplémentaire, ET, c’est important, LE SON ! Face de craie, sale « céfran » et autres joyeusetés, MAIS, aucune insulte raciste de ma part."
"Bon, j’y suis peut-être allé un peu fort, mais je craignais pour mes filles"
Cinq agresseurs, un total de cinq bras cassés ou démis, quelques côtes enfoncées, des nez brisés, et j’ai pas pu compter les dents qu’ils ont perdues…..Mais j’ai appelé police et SAMU pour qu’on vienne les ramasser et les soigner, je ne suis pas du genre à fuir mes responsabilités et les flics ont été fort corrects avec moi.
Ils m’ont juste emmené au poste pour prendre mes déclarations, ce qui est logique, mais ils semblaient plutôt contents ( ils m’ont avoué avoir arrêté mes agresseurs très souvent).
D’après mes avocats, l’usage excessif de la force sera difficile à retenir, j’ai été formé à retourner les armes blanches contre ceux qui se risquent à en faire usage contre moi, je ne l’ai pas fait.
J’aurai pu tuer l’un ou plusieurs d’entre eux en leur brisant la nuque, je me suis abstenu ( et je fais facilement 30kg de plus que le plus lourd d’entre eux ) bref, j’aurai pu faire bien pire.
Mais mon but était seulement qu’ils ne puissent pas approcher de Graziella ou des petites, je suis donc resté calme.
Le hic, d’après l’un de mes avocats, c’est qu’on voit mon calme sur les vidéos, on remarque même que je rigole, c’est le seul truc qui pourrait m’être préjudiciable, car ça indique que j’aurai pu être moins violent…
Mais comme je lui ai fait remarquer, fallait que j’aille vite, que je les désarme et que je leur fasse tout de même assez mal pour leur passer l’envie de ramasser leurs couteaux et de revenir à « l’assaut ».
Maintenant, eux peuvent venir au tribunal avec leur casier sous le bras, là ou moi je peux venir en uniforme avec mes médailles et mes citations, je n’arrive même pas à imaginer qu’un juge puisse leur donner raison.
J’estime que j’ai au moins le droit de défendre ma famille et même ça on semble me le refuser, on marche sur la tête là !


C’est du sérieux, en 2016

dimanche 20 novembre 2016

Un autre blog qui fait chaud au cœur !

Eh oui, parfois une lectrice prend sa plume et cite son ressenti à la lecture du Tome 1.
(J'espère qu'elle lira les autres tomes !)

Son blog ! est ICI le coin de dominique

J'ai adoré.


mercredi 9 novembre 2016

Bonne fête la Trumpette.

Ben voilou...
Après des semaines d'attentes, non elle n'est pas enceinte.

En revanche le Dysney de service est nommé président.

Incroyable.
Et nous nous appuyons sur cet allié pour la défense de la baguette de pain, du gros rouge, (pas de la Vodka)...

Je sais pas pourquoi, je suis "angoissé" par l'avenir !

Même si la Clintoris avait les dents qui raclaient le sol, elle me semblait plus humanoïde que l'autre.
Je vais me remettre en mode marmotte !
La bise à toutes et pourquoi pas aux autres.

Attention en mai nous aurons aussi une "petite" érection.  Non Election je crois.
Faudra vachement bien penser avant de choisir... Si nous y arrivons ?

Bonnes Pâques.

jeudi 15 septembre 2016

La fête de l'Aïd (2)


Jeudi 15 septembre 2016

Je reprends le texte précédent, une amie m’ayant dit qu’il est trop court !

Je lis la presse internationale... Je me «cultive»... Et je cherche la signification de la fête de l’Aïd...

Mes réponses sont le résultat de mes réflexions. Et tant pis, je ne me ferais pas que des amis...

Résumons la fête : Ibrahim (Abraham chez les juifs) doit tuer son fils en signe d’allégeance à son Dieu...
Ce fils est déjà assez grand pour avoir trouvé la Foi... Il accepte d’être égorgé.

Ça c’est la légende ou le texte officiel...
Si ça vous convient, retourner à une activité saine.

Mais certains d’entre vous savent que j’ai quelques vagues notions de psychanalyse...
Dans la nuit de dimanche à lundi, je pensais à cette histoire !
Et si on la regardait sous un angle « d’interprétation analytique » ?
Un peu (modestement) comme l’analyse de la Gradiva de Jensen ?

Depuis Freud, ses successeurs ont bien étudié ce texte. Le concept de « textanalyse » repose sur l’idée qu’une production littéraire peut être revue sous l’angle d’un analyste…

Ah ! Là, on va réfléchir...

Vous savez tous (pour avoir lu la Trilogie de l’Hôpital de Montjoie (Kindle ou papier…)) que j’évoque l’Inconscient qui se moque joyeusement de la réalité. 
La « Négation » par exemple renverse les valeurs, fait prendre le blanc pour le noir, la « condensation » agrège deux ou trois histoires en une seule. Le déplacement permet de diriger une pulsion (par exemple) d’un certain but vers une autre. Ou un visage, un être humain, transfiguré en un autre… J’en parle longuement dans le Tome 2, dédié à un rêve sous TMS…

Et en laissant mes idées flotter, comme en écoutant les Rêves d’un patient, il me semble avoir trouvé, vu, plusieurs directions...

1) cette histoire d’Ibrahim, est un décalque de celle d’Abraham.
Là, on ne peut rien dire ! Un simple copié/collé ! Modulo les coutumes de ces époques…

2) que cette légende soit ancienne, recopiée plus ou moins in extenso, n’enlève rien à ma réflexion ! Ni au respect que j’ai pour mes amis ou relations, qui sont croyants.

3) Il y a un phénomène psychique humain nommé «Complexe» d’Œdipe... 

Vous savez, ce jeune bébé envoyé par son père, pour y mourir dans une montagne, pas loin de Thèbes... Car il y avait un présage à la naissance de cet enfant : ce roi serait tué par son fils... Sa mère obtint qu’il soit abandonné en pleine forêt, les chevilles percées pour l’accrocher à un arbre, et là (classique, me direz-vous) il fut sauvé, nourri, par des bergers (ou un couple royal, l’histoire n’est pas précise..), il grandit, voyage, devient «fort»... Le nom « Œdipe » veut d’ailleurs dire « pieds enflés ».

Or à l’époque, une vilaine méchante bête bouffait ceux qui passaient devant sa tanière…

Le Sphynx. 
Qui posait des questions au voyageur. Mais si celui-ci ne donnait pas la bonne réponse, il était croqué illico !
Désagréable, non...

Cette bestiole, outre de grignoter les voyageurs, dévastait les champs.

Le roi de Thèbes avait promis une belle récompense à celui qui tuerait ce Sphynx... 
Mais un jour, se promenant à cheval sur un chemin il tombe sur Œdipe, qui refuse de se prosterner et de se ranger sur le côté.
Grosse bagarre. Le fils tue le père en ignorant son identité.

Mais une fois défuncté, son frère offrit mieux :
La royauté et la main de la veuve du roi, à celui qui tuerait ce méchant Sphynx...

C’est ainsi que notre héros, ayant répondu aux questions du Sphynx («Qui marche à 4 pattes le matin, sur deux à midi, et avec trois le soir. »). La réponse est simple...

Donc notre Héros arrive à Thèbes avec la tête de la bestiole tenue par la main gauche. La droite restait libre pour utiliser son épée en cas de problèmes…

Il est acclamé comme il faut. Et apprends avec stupeur qu’il est nommé à la tête du royaume et épousera la veuve de l’inconnu qu’il a tué sur une route... Car les nouvelles vont vite.

Or il ignore sa filiation : la veuve «Jocaste» (encore appétissante, on se mariait de bonne heure à cette époque)... c’est sa mère !
Il a aussi une sœur plus jeune... Et a des enfants avec sa mère. 
Jusqu’au jour où une épidémie éclate à Thèbes…
Pour la soigner, Œdipe doit trouver celui qui a tué le roi Laïos (son prédécesseur dans le lit de Jocaste) et le punir…
Il découvre que c’est lui le parricide et qu’il couche avec sa mère !
Celle-ci apprend un jour, la vérité et se suicide en se pendant à une poutre de leur chambre à coucher (il y a d’autres versions)… Enceinte, le fœtus ballotant entre les jambes.
Bon c’est un peu glauque, mais à cette époque…

De désespoir Œdipe se crève les yeux, et avec Antigone, sa fille je crois... et part de Thèbes.

Longue introduction ! 

C’est pour mieux situer un des problèmes majeurs de l’humanité ! Le jeune humain désire sa mère, et pour l’obtenir, doit tuer son père... Le fameux problème œdipien...

Dans l’histoire, la légende, d’Ibrahim ou d’Abraham nous avons tous ces éléments, mais comme dit avant... Inversion, déplacement, condensation, un zeste de mystère, rien n’échappe à la puissance de l’inconscient.
Ici c’est le père qui doit (à la demande de Dieu), tuer son fils. Inversion de l’histoire.
Remplacé pile-poil par un agneau ou un bélier. La morale est sauve !

Il n’est plus question d’inceste (ouf) entre la mère et le fils (ouf).

Ce qui me surprend le plus, c’est que cette histoire est devenue un des piliers de plusieurs religions.
Mais l’analyse textuelle n’existait pas, il fallait faire passer un interdit par le biais d’un conte, devenu sacré.

J’espère ne pas avoir trop choqué mes amis croyants... Mais simplement qu’ils lisent ce petit texte et y réfléchissent...
Bonne journée !

PS  : pour ceux qui ne connaissent pas mes livres...  ?  La Trilogie


dimanche 17 juillet 2016

Neuro-Marketing...

Il m’arrive de me promener sur Face Book.

J’y ai découvert, il n’y a pas longtemps, un texte (c’est idiot, je n’ai pas noté les références) disant (je résume) que les scènes de violence à la TV, suivies par des publicités, montraient un taux de réceptivité plus importante pour ces publicités…
À méditer…
D’autant que les images (en boucles) sur les terribles morts du soir du 14 juillet 2016 sont un parfait support pour ce marketing…

Au lieu de me contenter de ces images, et de l’évolution des motivations du tueur au camion de 19 tonnes (à vide, je pense), j’ai regardé l’évolution de la présentation de ce crime.
Au début : un jeune franco-Tunisien, puis on bascule vers un Tunisien pur et simple.
Un paumé, vivant une situation délicate : séparation de son épouse, elle une authentique franco-Tunisienne. Lui un immigrant, avec juste un permis de séjour. Expiré d’ailleurs si j’en crois les images passées à la TV.

Bizarrement (très bizarre), ce citoyen de Tunisie devient au fil des jours, en quelques jours, un « converti » à un Islam de guerre, DAESH. Il se serait radicalisé. 
C’est le discours officiel de l’État français.
Pas un paumé, déséquilibré. Un « méchant ».
Je ne lui cherche pas d’excuses, ses actes sont inexcusables.
84 morts et combien de mutilés à vie ?
Physiquement ou mentalement  ? Ou combien de familles en deuil ?

Inexplicable. Alors déviation subtile du discours officiel : il s’était radicalisé. Et commis selon la doctrine de DAESH, un acte de terreur. Réussi, à mon sens.
Et prolongation de 3 mois de l’état d’urgence.

J’ai l’impression que tous ces discours que nous entendons actuellement sont du pipeau.
Il ne faut pas prendre les cons pour des gens… 
Or il me semble que tout le monde (autour de moi, et c’est pour cela que j’aime ma solitude), y croit.
Ce fou, oui, on peut sans doute utiliser ce terme, rend bien service (actuellement) au gouvernement… 
Un jour, une enquête parlementaire (ah ah) rétablira la vérité.

Ces réflexions (personnelles) vous choquent peut-être. Vous croyez comme parole d’Évangile à ce que diffusent TF1, BFM et d’autres TV. Mais cherchez sur Internet d’autres documents.
Les Merdias sont à la solde du gouvernement actuel. Car la publicité leur permet de survivre, et ce n’est qu’avec des choses horribles, qu’ils peuvent se financer par la publicité : le neuro-marketing…


À bientôt sur nos lignes, quand j’aurais moins de travail….

mercredi 11 mai 2016

Un livre utile pour comprendre ce qui nous arrive !

Bon j’ai quelques minutes de libres, alors je vous conseille un livre qui n’est pas mauvais…
Je donnerais le titre et le lien en bas de page…

C’est un livre que j’avais pris pour ma Kindle dès sa sortie… Le sujet me semblait intéressant ! 
Et je ne regrette pas. D’autant qu’après l’avoir lu, comme un simple lecteur, il y a deux ou trois ans, peut être plus longtemps, les divers mouvements sociaux en France et ailleurs, les migrants, les attentats, m’ont donné le désir de le reprendre !
Ce que j’ai fait.

Mais je ne l’ai pas lu comme un « lecteur ordinaire », mais comme le « conteur », l’apprenti écrivain que je suis. Et utiliser mon expérience professionnelle antérieure pour chercher ce qu’il y a derrière le contenu manifeste, autre chose… Le contenu « latent » ! Comme une image photographique qui ne se révèle qu’avec les produits chimiques qu’il faut (développement puis fixation de l’image).
Je ne vous donne pas le sujet, c’est un bon thriller, policier, espionnage, suspens…
Évidement il y a un héros, qui en ras le bol de son métier et veut changer.
Il changera aussi de perspective en pensant à son passé. Et en rencontrant d’anciens adversaires.
Cela devrait vous suffire pour attirer, comme une mini-jupe, votre attention, sans vous en dévoiler plus…

Mais la partie latente !

La tentative de mainmise de la haute finance, de ses gloutons, qui en veulent toujours plus, le contraire de l’anorexie de Gandhi, sur le peuple en dessous !

Évidemment, ça va faire des étincelles… <Humour>.

Je vous signale ce livre, l’ayant lu attentivement, presque mot à mot.
L’auteure, c’est une femme, nous montre une culture impressionnante dans des tas de domaines.
Espionnage, manipulations financières, expropriations de certains pays, de leurs richesses.
 Meurtres, on sent une patte professionnelle dans le texte, attentats divers et avariés ! Mais bien combinés… Un régal à lire. Quasiment du journalisme d’investigation de haut niveau.
Et une belle histoire d’amour, en filigrane…
Donc, laissez tomber votre collection de Spirou. Trouvez ce livre.
Lisez-le en vous disant qu’il a été écrit il y a au moins 3 ans. Regardez, découvrez la maitrise de cette auteure, ses « prémonitions », son sens des dialogues, de l’évolution psychique des protagonistes.
À la limite, on pourrait en faire un film !
Et je me demande combien de travail de recherche il lui aura fallu ! Car le texte est copieux. Je pense qu’il fait facilement 550 pages en petits caractères (sur Kindle). 
Ce livre est vraiment « prémonitoire »… Tant de choses qui sont arrivées depuis 3 ans sont déjà décrites dans ce texte. 
Mais lisez-le…

Voici un lien vers la version Kindle…

Bonne lecture !

lundi 25 avril 2016

Tome 5, le Nombre Pi...

Comme ça, mes 800 mots de l'après midi. Donc un extrait du Tome 5...
Il prend forme lentement...
Disons que certains points obscurs trouvent des explications dans ce Tome 5 !

L’octogone

Ambre est restée des heures à fouiller sur Internet.

Elle a froid. Même avec des chaussons et un bon pull qu’elle a emprunté à Ludwig.
Celui essaye de trier des papiers, certains datant de plus de trois ans. Il n’y arrive pas comme il voudrait.
Trop de relevés bancaires, de factures (payées), de papiers du Fisc. Il fait des tas sur le sol, empilés sur des chemises en carton, où il écrit l’année et le sujet.
Et malgré cette logique, il se sent submergé.
Il ne peut pas tout scanner, son disque dur, dans le Mac, ne pourrait pas avaler toute cette masse d’informations.
Il regarde Ambre. Sans mot.
Va à la cuisine et fait chauffer de l’eau au micro-ondes. Revient avec un thé au Jasmin, bouillant. 
Elle se renverse en arrière.
— Trop peu de données sur l’Octogone.
Mais j’ai déjà découvert qu’à l’origine c’est un symbole de transition entre le carré et le cercle. Découvert déjà au moins par les hindous. Transité vers les Grecs et sans doute le temple de la Pythie, à Delphes.
Passage discret chez les Romains, puis beaucoup plus tardivement récupéré par d’autres religions, les chrétiens, l’islam. Tient d’ailleurs, je n’ai rien trouvé sur les juifs !
C’est curieux, excuse-moi, mais d’un côté d’Athènes il y a une tour octogonale dédiée aux Dieux du vent. Surprenant, non ?
— Un symbole de transition ?
— Oui la quadrature du cercle ! 
Ambre a pas mal de notions de mathématiques, même si cela fait quelques années qu’elle ne les a pas utilisées.
— Oui, le nombre Pi, est irrationnel et on le considère comme infini. Et le carré est basé sur un nombre rationnel. L’un c’est 3,1415.., l’autre c’est n’importe quel nombre entier comme 1, 2, 3…
Passer du rationnel à l’irrationnel, à l’infini est un problème qui agite les mathématiciens depuis des siècles ou plus. L’octogone est une approche. Plus le dessin comporte de côtés, plus sa longueur approche de celle du cercle dans lequel il est dessiné.
— Et ?
— Quand il y a assez de côtés, le polygone devient plus ou moins un cercle. Mais pas parfaitement.
Ludwig ressert Ambre, qui prend sa tasse à deux mains, pour en absorber la chaleur.
— Et avec un ordinateur ?
— Oh, j’ai trouvé un mathématicien, japonais, je crois, qui offre le programme pour calculer le premier million de décimales de Pi. Et sur demande justifiée, permet à des chercheurs d’aller plus loin encore ! Des milliards de décimales.
Il utilise un programme en binaire, qui permet d’aller calculer sans fin à partir d’une position arbitraire. Et le nombre obtenu est toujours identique, à partir de cet endroit de la séquence.
On se sert de ce programme pour calculer la vitesse de calcul mathématique de son propre ordinateur.

Ludwig voit de quoi elle parle, il l’a utilisé !

Ludwig ne dit rien, mais pense à son idée, il y a quelques années, d’utiliser le nombre Pi pour coder des documents. 
Il n’avait pas dépassé le million de décimales. Il avait fait des tests pour chercher une structure cyclique, une redondance. Une distribution des chiffres. Un par un. La fréquence était d’un dixième. Sur deux chiffres, d’un centième.
Poussé jusqu’à 5 chiffres.
Toujours une fréquence aléatoire, distribuée équitablement. Il avait fait tourner une de ses machines les plus puissantes (pour un amateur, à son époque), pendant plusieurs jours, sans trouver de cohérence. Mais d’autres que lui avaient fait les mêmes essais. Trouver une cohérence dans la suite des chiffres de Pi serait le Graal des mathématiciens, et le prix Fields. Il n’y a pas de prix Nobel en mathématiques, car un des deux frères Nobel avait sa femme qui s’envoyait « en l’air » avec un mathématicien justement…

Il se retourne vers Ambre.
— Le rapport avec la religion, en général, et les chrétiens en particulier ?
— Je ne suis pas certaine, mais si un individu pouvait faire une démonstration de « la quadrature » du cercle, le passage du trivial, le rationnel, au sacré, l’irrationnel, cela pourrait ébranler pas mal de religions.
Ils gardent le silence un moment.
Ambre reprend.
— J’ai aussi trouvé des Mandalas, dessins d’origine asiatique, hindoue, mais pas uniquement. Des figures qui s’interpénètrent de plus en plus. Une image pour aider les yogis, les lamas et autre à se concentrer, à changer leur conscience. Atteindre un niveau incroyable de perception de l’Univers.

Certains Mandalas sont basés sur cet octogone. Mais je commence à fatiguer. Je suis un peu largué, ce n’est pas vraiment mon domaine de compétence.
— Tu voudrais manger quoi ce soir ?
Ambre médite.
— Des glucides. Pas ou peu de viande. Du chocolat. Pas de lait. Un peu de bordeaux !
Il se lève et va l’embrasser.
Remet un peu de bois dans la cheminée et va vers la cuisine.
— Faudra faire des courses !
— Et des trucs pour tes chats aussi, il n’y a presque plus rien ! Et les chiens, tu y penses ?

La suite plus tard...
Ou le début ?





mercredi 6 avril 2016

Petite erreur...

Dans mon "post" précédent j'évoquais les honoraires de 400 euros par vacation (de 13h30 à 18h30).

Un de mes z'hororables correspondants me signale que c'est 400 € par mois (4 vacations).
Vous ôtez 25 % de charges sociale (à votre charge donc), resterait 300 euros ! Wouiiii...

Ouf enfin quelque chose qui baisse...

75 euros par vacations de médecins, pour 5 heures de présence (et parfois de travail...) soit 15 euros de l'heure c'est plus que raisonnable pour ces nantis...

Après le reste, enfin un nivellement par le bas.

dimanche 3 avril 2016

Je jette une éponge !

Mon coup de gueule... Ou les dessous du tome 1 !

Oui.. J'ai été sollicité par un collègue, il y a deux jours pour re prendre des vacations à l'Uplu...
Des présences de 13h 30  à 18 h 30...

Il semble que ce soit payé (assez bien) dans les 290 ou 300 € (bruts).
Mais moins in fine, qu'une femme de ménage... En tarif horaire.. (Impots, cotisations sociales, 25 %) etc.

Mais à mon grade, au moment de ma mise à la retraite j'étais au dernier échelon des "Praticiens Hospitaliers" (le fameux 13 ème..) à un peu plus de 7 000 € par mois.

Oui, autant qu'un député non véreux.

Ou qu'un médecin gagnant dans les 21 000 € bruts avant cotisations, impôts etc.

Mais ces dernières nuits je me suis demandé s'il fallait reprendre le collier pour un salaire de merde (à mon niveau d'(in) compétence ou d'études) ou servir à boucher des trous que le gouvernement à contribué à creuser ! A pallier au manque de médecins.

Et puis de fil en anguille j'ai médité sur mes rapports parfois conflictuels, avec mon Hôpital de rattachement. Disons, Foucault, pour ceux qui connaissent mes livres...

En vrac : embaucher un Directeur des services (pas sévices) informatiques pour investir 200 millions d'Euros (je crois le chiffre exact), pour installer une salle de serveurs, avec une belle climatisation (qui a pété en bloc quand la température à dépassée un jour de juin les 37 °)...

Car les trois thermostats étaient sur la même "consigne" : 37°.  Moi j'aurais mis en progressant : 35, 36 et 37 pour que rien ne pète en bloc... Mais en cascade... Avec lancement des sauvegardes...

200 briques (pas des Légos)... Alors que devant les problèmes de mise à jour des ordinateurs j'avais proposé une architecture "décentralisée" : Chaque lieu de soin ayant son ordinateur (ou plus) relié à l'ordinateur de son secteur... Et travail en temps réel sur l'ordinateur du secteur. Au lieu de faire des mises à jours la nuit.

Tarif calculé à l'époque : dans les 200 000 euros (hypothèse super haute)  contre 200 000 000 pour ce qui a été retenu...

Mais je souligne ce point car en discutant avec des amis du Rotary (quand j'en faisait partie) j'ai appris que les marchés publics étaient légèrement "truqués", genre je dis 100, tu dis 150, j'emporte le marché et ensuite : oh problème ! Finalement (le chantier étant à moitié terminé), ce sera 160..  Vrai.

Et au niveau informatique, l'équipe de génie qui avait fait la centaine de tables pour enregistrer l'activité des services, avait codée l'année sur un octet (donc de 0 à 9). Bien de 2000 à 2009...
Mais problème ! Que faire en 2010, 2011.. etc.
Je me suis battu six mois pour modifier deux ou trois lignes d'instructions (passer de l'interprétation décimale à hexadécimale), soit de 2000 à 2015 ! On va rire cette année (car on est en 2016).
Donc de 0 à F (hexa).

En Hexa on va de 0 à 15. Je plains mes ex collègues informaticiens, et pourtant c'est simple de passer de 1 à 15 puis de 1 à 36 ! Oui : l'alphabet de A à Z !
Mais il y a des informaticiens myopes...

Pour revenir à mes moutons, oui, j'ai vu des subordonnés de Muraï, falsifier des données d'un programme commis pour mon service et des publications internationales qui sont fausses.

Alors ?

Ben non je ne vais pas reprendre du service pour cet hôpital de Merdre (Foucault)... Je regrette, j'aurais bien aimé retrouver mon ancienne équipe.
Mais je ne suis pas sur un registre sado-maso... D'autant que cet EPS, cet HP, me doit encore de l'argent.. Oh pas grand chose, dans les 1500 euros... Un plein d'essence de temps en temps...
Bonne semaine à tous et toutes...
Sylvain Scapa, Ex PH13...

mardi 15 mars 2016

Un livre géant !

Retour à la cité des Monstres...

Attention !
J’avais déjà lu des ouvrages de F. SOULIER, mais celui-là « Retour à la Cité des Monstres », vaut son pesant de moutarde arrosé de Cognac.

Un des polars noirs les plus incroyables lus depuis quelques années !

Un grand auteur, je le dis sincèrement, meilleur que moi (!), qui a chaque phrase vous attrape par les burnes et tord.
J’ai mis quatre jours à le lire (moi qui lit un livre en deux heures ordinairement).
Ce type est un géant…
(Je ne connais pas les autres en dehors du « Trou du ver… » déjà pas mal, mais ce livre est géant ! 

Je l’ai chargé lors d’une promo, et je ne regrette pas, merci, Frédéric. 
Tu dépoussières un genre trop convenu.
Tu fais acte de salubrité publique. 

Ce livre, l’histoire de la vengeance d’un type qui en a bavé, est fabuleux.

Je n’en dis pas plus, mais je coche les milliers de phrases que cet artiste nous a concoctées !
Et je compte bien en utiliser une ou deux, pour mes propres textes, car ce bouquin (Kindle) est incroyable.
Violence, méditations, vaudou, etc. Vous en aurez pour votre argent !
Prenez-le, ce texte est « pas mal »…

Merci de ces moments exceptionnels de détente, entrecoupés de crises de fou rire !
Bravo. Tu vas monter dans le top 100 et y rester longtemps je pense !

S.

samedi 12 mars 2016

Livre Tome 1 sur WattPad...

suivez ce lien...
Hôpital de Montjoie, Tome1

Pour ceux qui dégustent lentement mes textes...
Un site de lecture gratuite...

Cela vous évitera d'acheter la version kindle à 2,99 pétrobouzoufs...

Seule condition : vous y inscrire (gracieusement...)
Désolé pour la pub au bout de chaque "segment" (chapitre), c'est le moyen de gagner de quoi vivre un peu... (Pour ceux qui mettent Wattpad à votre disposition, gracieusement...)


jeudi 3 mars 2016

Interview...

Premier interview par Allisson, pour  son blog.

Interview

1) Bonjour, pouvez-vous vous présenter en quelques lignes ?

Bonjour ! Né en 1946. Commencé à travailler vers 5 ou 6 ans (oui, l’école est un travail !) Diverses études (longues) et exercice de la médecine (35 ou 40 ans), de l’informatique (depuis 1979), de la photographie et des voyages.
Quand aux livres je ne peux pas répondre, j’en ai un ou deux milliers. Techniques, médicaux, artistiques (Soulages par exemple, que je connais personnellement depuis 1992), Science Fiction, Histoire. Trop pour dire que j’aime un genre plus qu’un autre !

2) Comment est venue l’envie d’écrire et surtout l’envie de publier?

Devant cesser de travailler fin 2010, j’ai refusé de laisser s’atrophier mes 4 neurones.  J’avais envie d’écrire depuis des années (au passage, je racontais à mes enfants le soir, des petites histoires, et s’ils réagissaient bien, le lendemain je les notais). 
Mais je ne suis pas « un écrivain », juste un « conteur » d’histoires…
Jamais eu le temps de faire un roman, cependant je me suis mis devant mon clavier le 10 juin 2010… Vers 20 h du soir !
Et j’ai commencé une histoire, dont je savais que ce serait une enquête médicale et policière dans un hôpital de la région parisienne. Pas de plan. Juste une grande page, avec mes personnages (bons ou méchants), leur signe zodiacal, le contenu de leur frigo, leurs chats éventuels, leurs amours ou peines…
Puis révision avec une de mes collègues. Impression, recto verso, reliure et envoi à sept éditeurs. Sept refus…
Découverte d’Amazon, des Kindle et surtout lecture possible des premières pages de plusieurs livres.
La claque. 
Mon histoire tenait la route, mais était mal présentée, structurée. J’ai tout repris !

3) Où trouvez-vous l’inspiration?

Je dirais : dans mon lit ! La nuit quand j’ai une insomnie, je pense à ce que j’écris, à mes voyages dans les îles, à mon ancien métier et à l’informatique, Internet, la révolution numérique. Et vers 16 h du matin, je transcris mes cogitations… Avant de me recoucher.

4) Pourquoi avoir choisi de publier en auto-édition? Où peut-on trouver vos romans?

Pourquoi ? Parce que j’ai été rejeté par des Éditeurs (qu’une critique littéraire m’avait indiqué) ayant leur fonds de commerce sur le suspens, les thrillers, etc. Alors Amazon !
Et bien sûr, mes textes (numérique ou papier) sont disponibles chez Amazon (sans exclusivité genre KDP Select). Il suffit de chercher « Sylvain Scapa… »
Les versions papier viennent des USA (Create Space) ou de GB, Allemagne. Les versions numériques par la magie d’internet et du Wifi…

5) Est-ce qu’il vous arrive de discuter avec vos amis de vos ouvrages? Qu’en pensent-ils ?

Discuter ? Non. Même mes enfants n’ont pas lu mes textes. Sauf un, le premier tome.

En revanche via un réseau social bien connu… (humour) où j’ai une page (Hôpital de Montjoie), j’ai découvert que bon nombre de mes lecteurs viennent vers moi, et nous échangeons sur tout et rien. Même des recettes de cuisine. Elles ou ils deviennent souvent des amis, et parfois je les rencontre à Paris devant une bonne table !
Pour les discussions, sans se connaitre, les critiques sur Amazon sont ou impitoyables —souvent anonymes— , ou au contraire très bonnes… Cela m’aide à progresser.

6) Pouvez-vous me parler en quelques mots de chacun des livres que vous avez publiés

En quelques mots… Actuellement j’offre à la lecture quatre tomes de la saga « Hôpital de Montjoie ». Papier et numérique. Soit chaque tome du 1 au 3 (ils sont aussi condensé en une trilogie) et le 4 à part. Le 5 est en cours de rédaction. 

Le premier tome est la rencontre de mes deux héros, une enquête sur la mort suspecte d’un de leurs patients. Et découvertes d’un groupe de «méchants», des services secrets, et pleins de choses douteuses… Le tout dans le domaine médical.

Le second est une variation sur une nouvelle technologie de stimulation cérébrale employée dans le tome 1.

Le troisième est dédié à un voyage en bateau jusqu’aux Seychelles, et retour pour tenter d’aider dans la lutte contre l’Ebola, qui l’a déclenché et pour quels motifs !

Quant au dernier, le tome 4, réclamé à cors et à cris par mes premiers lecteurs ou lectrices, on trouve en vrac les paysages de la Drôme, un trésor, un kidnapping, le Vatican qui s’en mêle, et une fin assez surprenante sur le conditionnement de ceux qui ne sont pas des milliardaires ! 

7) Est-ce que l’emploi que vous occupez vous laisse du temps pour l’écriture ? Où est-ce que vous vous consacrez pleinement à l’écriture?

Je ne travaille plus, donc mes temps libres, en dehors de tailler mes rosiers ou de restaurer une vieille voiture de sport,  je m’occupe d’un pavillon que j’ai acheté il y a quelques années, c’est mon île déserte, pas de voisins, quelques chats qui viennent déjeuner…

Et j’écris, souvent très tôt le matin, puis quelques heures l’après-midi. J’essaye de faire entre 500 à 1000 mots par jour, sachant que ma collègue, amie et re lectrice en fera sauter au moins un tiers !
Je peux dire qu’en dehors de choses bassement triviales ou redondantes, comme faire des courses ou les repas, oui, je me consacre entièrement à l’écriture ou à déchiffrer de temps en temps des partions de piano.

8) Avez-vous des moments propices pour écrire ?

Non. Quand je n’écris pas (le matin et le soir) je note sur mon téléphone les idées qui passent. Et je lis beaucoup aussi, car « raconter des histoires », me fait modifier ce que j’écris. La lecture des autres (les bons) me montre ce que je dois améliorer. L’architecture d’une phrase, d’un paragraphe, d’un chapitre… Mais je ne veux pas tomber dans un dogmatisme pédant. En fait, j’écris presque toujours (trop) rapidement, en suivant mon instinct.

9) Êtes-vous sensible à la critique littéraire? Travaillez-vous avec des blogueurs?

Oui, je suis sensible aux critiques, surtout quand elles sont postées anonymement sur Amazon…
Je ne travaille pas avec des blogueurs (j’ai mon blog, un peu fourre tout), mais je ne suis pas assez connu pour être sollicité dans ce domaine. 

10) Qu’avez-vous pensé de cette interview ? 

C’est ma première interview… Un peu « intimidé », comme un entretien d’embauche ! J’espère avoir réussi à être le plus honnête possible et que la lectrice ou le lecteur le sentira !

Un commentaire d’une lectrice.. Marie LVM, sur la Trilogie !

Et surtout, il y a ce que j’appellerai le « style Scapa ». Un style efficace, des phrases courtes, dépouillées, allant à l’essentiel. Sylvain Scapa écrit comme on parle, sans chercher à donner dans les belles tournures si souvent employées par des écrivains qui n’ont rien à raconter et qui font se pâmer les adorateurs de belles lettres, quitte à s’endormir à la page deux. Avec lui, au moins, on ne s’ennuie pas. Son livre est proche du scénario de film. Chaque scène est découpée, présentée, dessinée comme si elle était prête à être filmée. Oui, on imagine bien ce que l’adaptation au cinéma pourrait donner.

Sans lecture, les êtres humains ne sont que des animaux. Et hélas, certains textes les poussent à se faire la guerre…

Je vous remercie de m’avoir consacré du temps pour répondre à cette interview. Je vous souhaite plein de bonnes choses dans le monde de la littérature. 

C’est moi qui vous remercie de m’avoir donné l’occasion de m’exprimer, un peu.
Sylvain Scapa, ce 3 mars 2016

(Références : Amazon.fr, Sylvain Scapa ou Google !)


mercredi 24 février 2016

Les Mutantes....

Les mutants du mardi. Ou mutantes.

Or donc, chaque lundi (quand j’y pense) j’informe l’honorable assistance publique qui me lit en noir et blanc sur mon blog : « Demain, pas de mutantes ! »
On (au moins une personne) me demande ce que cela veut dire…

Alors, il était une fois (once upon a time..) !

Il y a 35 ou 40 ans, une jeune médecin faisait son internat dans un des plus vieux hôpitaux psychiatriques de France. 
Un asile.
Je ne vous décris pas l’ambiance lugubre de ce vieux couvent, devenu l’Hôpital de Navarre, mais certaines parties étaient condamnée et ce jeune médecin, avait heureusement, dans son trousseau de clés, le fabuleux « passe » qui ouvre toutes les portes, sauf de la Trésorerie générale et du bureau du Directeur…
Sachez quand même que ce cloitre était entouré par des bâtiments « en dur », dont la moitié était fermée à clé. 
Un dimanche, de garde, il décida d’explorer ces zones interdites, tant aux malades (de psychiatrie) qu’aux soignants.
L’horreur.
Nous étions pourtant en juin, beau temps à l’extérieur. Chaud même. (C’était avant la COP 21.)

Il déverrouille une porte, la coince avec une pierre, car pas de possibilité de sortir de l’intérieur… même avec le passe. Porte à sens unique.
Un immense couloir. Glacial. Et de chaque côté, ce qui devait être des cellules pour moines ou autres membres du clergé.
Rien à voir avec le « Château » où était logé le Directeur ou les bureaux administratifs…
L’étage des internes était le plus élevé. Heureusement, il y avait un ascenseur…
Une cuisine, et une demi-douzaine de chambres, attribuée en fonction de l’ancienneté dans l’établissement.

(Pendant que j’écris, une chatte vient de s’écraser mollement contre le rebord d’une fenêtre, signe qu’elle a faim, et « que ça saute », alors je viens d’aller la nourrir…)

… Un retour sur ce couloir, presque pas éclairé, entre les cellules, les lames de parquet disjointes par l’humidité. Du solide. Sans doute du chêne. 
 Des cellules (je me répète), avec des portes aux quelles on avait mis des serrures extérieures. Du solide, du massif. Des chambres de deux à trois mètres de long sur deux de larges. Des bas flancs. 
Même pas de bruits de rats. 
Certaines avaient 4 « couchettes ». Toutes pourries, par l’humidité et la vieillesse.
J’ai calculé que cette aile du couvent devait pouvoir abriter au moins une centaine de « pensionnaires »…

Mais revenons à notre jeune médecin.
Sa garde de dimanche terminée, il apprend que son remplaçant du lundi ne viendra pas. 

Malade. Oh, un médecin malade ? Pas normal…

Donc obligé d’enchaîner sur le lundi. De se faire la cuisine. (La cuisinière ne venant pas le dimanche, ni le lundi, ni le soir).
Heureusement, il y avait un vieux frigo, fermant à clé, où étaient stockées quelques provisions de bouche.

Le lundi, ce médecin prévient son CMP qu’il ne pourra pas venir, et passe sa journée à mettre à jour ses dossiers.

Le soir, les alcooliques habituels du lundi soir, une surprise vers 22 h, un jeune malade qui venait de se tirer une balle de .22 long rifle, entre les deux yeux, et passé ensuite aux urgences de l’hôpital général, projectile n’ayant (heureusement) pas touché le croisement des nerfs optiques (le chiasma), donc pas devenu aveugle !

Juste sonné par sa tentative de suicide. Et impossible de retirer la balle. Donc, direction hôpital psychiatrique…
Reçu, sédaté, au lit, dans une « chambre normale »…
Et notre jeune médecin retourne dans sa chambre de garde…
Grande chambre, dans les 20 mètres carrés. Une douche dans un local commun. Pas de TV (ouf), mais son poste de radio, pour écouter du jazz. Le téléphone est bien branché, il prévient la loge qu’il est « dans ses appartements » (sourire).
Car l’hôpital est grand. Et chaque fois qu’il va, la nuit, d’un pavillon à un autre, il prévient la loge de l’endroit où il est, en cas d’urgence… Pas de radio ou de bip.

Et vers 1 heure du matin, coup de fil. Une « urgence ». 

Il va dans le pavillon où sera le patient, s’installe dans le bureau de consultation, plein de vieilles bibliothèques, de vieux livres, des classeurs pour les dossiers (l’informatique était balbutiante et certainement pas pour des médecins).

Deux infirmiers (musclés) font entrer un jeune homme, terrorisé, se débattant, et acceptant quand même de prendre place dans le fauteuil face à son bureau.
Il transpire, regarde autour de lui avec inquiétude, bredouille et demande à entrer chez lui.
— Pourquoi cette angoisse ?
— Parce qu’ils vont venir égorger ma famille !
— Qui ça ?
— Les mutants ! Ils sortent de terre et égorge, sucent le sang, arrachent le cœur de leurs victimes !
— Oh oui certainement. Mais c’est tous les jours ?
— Oui, tous les jours, sauf le mardi. Je ne sais pas pourquoi !
—Hum… Et nous sommes quel jour ?
— Lundi, je crois !
— Quelle heure ?
Il regarde sa montre. Il est une heure et demie.
Ce jeune médecin lui montre le calendrier mural :
— Alors, nous sommes mardi ? 
Il n’y a JAMAIS de mutantes ou de mutants le mardi !

Le tout avec une force, une conviction et une certitude qui ébranlent le patient.

Le jeune regarde sa montre, la date, et convient :
— Oui, nous sommes mardi. Ouf !
— Bon dans ce cas, pas d’inquiétude pour cette nuit. Je vous mets dans une chambre, un petit sédatif pour faire un bon dodo, et l’on en reparle demain après le petit déjeuner. D’accord ?
— Oui, Docteur… Merci, vous me sauvez la vie.

Voilà pourquoi, parfois je dis : « Pas de mutants demain »…

Bonne journée…

vendredi 12 février 2016

Un blog à voir...

Bon, ce jour, il pleut, mes palmes sont fendues, ras le bol.
Alors je fouille et farfouille sur le net, les auteurs que je connais un peu...

Je ne vous propose pas le premier SAS (à Instanbul) mais pour votre culture, un lien vers un Blog, que je trouve "potable"...

Celui de Stéphanie... La page 8 en particulier, mais vous pouvez tout lire !

Pour être complet :
La vidéo de son livre...
Un jour elle sera célèbre !
Voilà, j'ai accompli mon devoir d'entraide !
Bon week-end...

jeudi 11 février 2016

Reverse engeenering ? (Compréhension d'un programme..)

Bonsoir… Toutes et tous…

Je me pose des questions sur la diffusion de mes textes. Kindle ou Create Space..
Il y a eu une période surprenante, entre mai et septembre 2015, 550 ou 600 lecteurs !
Oui !
Je ne suis pas un « conteur orthodoxe », vous le savez !
Beaucoup de souvenirs de voyages ou d’exercices de voltige entre « médecine » (pas mes deux seins), photographie ou informatique. Ou  autres…

Alors devant l’effondrement de mes diffusions depuis cette période je me pose deux questions :
— Il n’y aurait que 600 lectrices ou lecteurs à aimer ma prose ?
— Pourquoi mes textes n’ont-ils pas plus d’audience envers vous ?

Je sais que je décline des « vérités » actuelles (les labos par exemple !) qui peuvent vous inciter à fermer le livre ou la Kindle.
Je crois que le lecteur/lectrice n’aime peut-être pas ce que je dévoile…

Avant de changer de registre (passer à l’érotisme par exemple, ou des guides, comment utiliser tel ou telle solution informatique ou des recettes de cuisine), et de passer à faire « des livres à succès », je me suis questionné.
(Oui ça m’arrive, les années bissextiles…)
D’où la conclusion : qu’est-ce qui fait le succès d’un livre ? (Aux 50 nuances d’orthographe) ?
J’ai décidé de prendre le problème à l’envers.
Faire du reverse engineering ( à partir de ce qu’on lit, souvent minable), comprendre ce qui attire la lectrice/lecteur vers quelque que chose qui l’interpelle !
Comme en informatique, où à mes débuts je copiais les programmes des autres, pour les améliorer. Y mettre ma patte, le nombre d’Or etc. ;)
Alors ce soir j’ai décidé de reprendre quelques livres (incité aussi par ma coauteur), à faire du Reverse Engineering sur des bouquins que j’aime beaucoup. 
Pas du Tolstoï, ni le Quatuor de Durell. Ou Dublin. (Joyce). Simplement : Là je vous donne une piste !
Cocher (de haut en bas) en rouge (par exemple) les descriptions, en Noir les dialogues, et en vert ce qui est du remplissage servant de liaison entre deux parties…
Faites-le sur un livre (papier ou numérique).
Et merci de ne pas me dépasser dans le classement Amazon…
À plus tard dans mes réflexions !

Un lien ?   Me connaitre un peu plus !
S

mardi 9 février 2016

Tome 5... Petit extrait !

Chapitre 7

Il n’y a pas eu de déception de part et d’autre. Elle dort en suçotant un coin de drap.
Il se sent détendu, retrouvé en lui-même.

En plongeant dans le sommeil, il se souvient d’un passage en Guyane. 
Un des hauts responsables de la SEP (Société européenne de propulsion), lui dit que les moteurs d’Ariane 1 explosaient sans prévenir. Effet Pogo : mise en vibration aléatoire de tout le système d’alimentation en comburant et carburant. Ludwig avait évoqué la possibilité d’ajouter de limaille d’aluminium, dans le comburant, de taille différente, pour casser ces vibrations… Ce directeur de la SEP, basé à Vernon, l’avait regardé en méditant… Rien exprimé. Mais un mois après il l’avait invité avec son amie de l’époque pour les faire dîner chez lui, leur présenter sa femme, et l’air de rien avait interrogé Ludwig sur son parcours. Ses connaissances en technologie. Sa mémoire.
L’examen a été favorable, car au moment du dessert il a déclaré, en lui donnant une pochette d’Air France, « voici vos billets aller/retour » jusqu’à Cayenne, une de mes secrétaires vous attendra à l’aéroport, et vous emmènera à ma maison qui sera libre pendant deux semaines pour les vacances de Noël. Cela vous tente ? La voiture sera à votre disposition et l’essence, vous aurez une carte Total, ainsi que les repas à domicile. 
OK ?
Ludwig avait regardé sa compagne de l’époque, un signe d’approbation.
La Guyane. Pays mythique pour lui. Un peu plus loin que la Grèce ou l’Espagne !
Il avait demandé : Pourquoi ?
— Le Pogo. Idée simple, résultat au-delà de nos espérances. Nous avons aussi prévu pour vous une visite VIP du centre de lancement à Kourou. Vous verrez, c’est peu ordinaire. Mais vous le méritez.
Et c’est ainsi que Ludwig avec son amie, se sont retrouvés dans un beau pavillon, dans le « quartier des missionnaires », avec à 18 h le camion pour pulvériser du DTT, contre les moustiques et la malaria, pendant deux semaines.
C’est là que Ludwig découvre les brochettes de queue de caïman, marinées au vin blanc avec des aromates. Un goût entre les cuisses de grenouilles et le poulet. Passé la première révulsion, il se rend compte que ce n’est pas mauvais !

Et des excursions.

Dont une remonté de fleuve (ou de rivière), la Conté, jusqu’aux premières cataractes. 48 h de bateau à fond plat.
En le chargeant avec le pilote et propriétaire, il apprend qu’ils ne seront que six. Eux deux et quatre journalistes.
Ils chargent des caisses de nourriture et des bouteilles de rhum !
Ludwig demande quels en sont les destinataires.
L’autre, le pilote, lui dit vous allez comprendre.

Et une découverte incroyable. Un petit fleuve ou une grande rivière, grise de boue, comme l’Amazone, des arbres gris aussi. Feuillage verdâtre. Des racines découvertes, plongeant dans l’eau. Des palétuviers. Le bateau ne va pas très rapidement, mais au bout de la journée ils auront fait entre trente et quarante kilomètres.

Et de temps en temps une tache bleue, au loin, un Morpho, papillon assez grand, aux ailes bleues métallisées, visible à 500 m.

La première nuit, ils l’ont passée dans une tente à quatre places, sur la seule île avant les cataractes, les autres dormants dans le bateau.
Ludwig a un début d’angine, mais elle passera dans la journée du lendemain.
Le lendemain, halte et découverte d’un campement de Hmong. Toute une portion de la jungle a été offerte à ces réfugiés Laotiens, du temps de Chirac, pour qu’ils s’y établissement. 
Et le résultat est magnifique. L’avenue principale est « La Rue de la Paix ».
Des maisons bien construites. Un petit bout de Normandie en pleine jungle.
Le terrain est défriché, des pelouses plantées, une école avec une « détachée » de l’éducation nationale (de Lille) pour trois ans, qui apprend le français à trois classes, les petits au milieu, les moyens à droite, les grands à gauche.
Et la prof leur apprend le français, eux lui apprennent le Laotien. Au tableau noir !
Ludwig fait des photos, hélas, en argentique. 
Et le rhum ?
C’est pour les touristes.
Vrai. Ils vident chaque jour une bouteille de « Ti Punch », ils ne ressentent pas les effets de l’alcool, la transpiration leur fait éliminer très rapidement ce toxique. Mais les moustiques, se risquant à prendre un peu de leur sueur, boivent et titubent avant de tomber à terre.

Ils reviennent à la base de départ, reprennent leur voiture, direction leur « maison ». Grandes douches, et dodo.


A suivre !

vendredi 5 février 2016

Du grand ART ?

Hôpital de Montjoie !

Présenter ce travail est un sacré défi. (Auto dérision de l'auteur parlant de lui à la troisième personne).

Sylvain Scapa se positionne comme « Conteur », refuse le terme d’écrivain, et pourtant la lecture de ses quatre tomes, nous montre la richesse de son talent pour « mettre en scène » des situations, nous décrire des lieux ou faire des dialogues. 

Associer des êtres différents : un médecin, psychiatre, grand amateur d’informatique et de jolies filles, et une belle femme, justement, portant le doux nom d’Ambre, qui commence à travailler avec lui au début du tome un, et progressivement l’histoire s’enrichit de nouveaux personnages, des pas beaux, des méchants, des gentils aussi… Mais celui qui est dans le camp opposé peut aussi se retrouver dans le camp des bons.

Et ce n’est pas n’importe quoi ! 

Si l’histoire dans le tome «Un» démarre doucement par la mort d’un des patients du Docteur Ludwig Jellicoe, elle serpente, puis passe de plus en plus rapidement vers une fin incroyable, avec la finesse d’analyse d’Ambre, sa cadre infirmière. 
Chaque tome, suivant le premier, passe par ces moments de tensions puis de relaxation.
Et ce qui interpelle les lecteurs ou lectrices, ce sont ces moments calmes, décrits presque avec volupté, lentement, et brusquement l’action vous arrive en plein visage, des phrases courtes, des situations parfois d’une grande violence, vous laissant pantois ! 

Cette alternance est assez géniale. Pas de longues descriptions glauques des situations « dangereuses ».  Une fine observation des réactions de protagonistes, des portraits laissant la place à votre imagination !
Et ces moments de calmes, parfois des lieux, ou de la vie quotidienne.

N’oublions pas l’érotisme.

Car ces textes, pour ceux qui savent lire entre les lignes, est un hymne à l’amour.
D’un côté comme de l’autre, chez les bons comme chez les méchants…

Vous retrouvez, dans tous ces textes, les concepts de la Programmation Neuro Linguiste, l’acronyme VAMOS : Visuel, Auditif, Moteur, Oralité et Sexualité.
Et quelques pincées de psychiatrie, de psychanalyse, dans un langage abordable pour le néophyte et parfait scientifiquement pour «  l’Honnête Homme » !

Une série à lire, pour son côté scientifique, thriller dans des hôpitaux, extension à des recherches de trésors ou des enquêtes sur des manipulations dont vous ne vous rendez peut-être pas encore compte !

Et pardonnez-lui son côté « sadique » : lancer une piste, puis la laisser, pour la reprendre 50 pages plus loin, ou dans le tome suivant, ou une piste amorcée bien avant, mais que vous avez oublié.

Du grand ART ! 

Le dernier est en ligne ! Tome 4 

Bon week-end sous la couette...

lundi 18 janvier 2016

Quelques explication sur l'Hôpital de Montjoie !


A la demande unanime d'une personne, je dévoile quelques pistes pour comprendre l'Hôpital de Montjoie !


Bref résumé des Tomes précédent le 4.
Certains me reprochent de ne pas comprendre la logique des mes histoires. 

J’en suis ravi.

Comprenez-vous la logique de votre propre histoire, de vos parents, grands-parents et encore plus loin ?
Donc ce qui était au début un « exercice de style » (le Tome Un) est devenu une saga, au sens « nordique du terme » ou de Babyloniens (cf Gilgamesh et Enkidu, en Mésopotamie)…

Mais je ne dévoile pas tout !

Tome Un.
Un de nos héros principaux, le docteur Ludwig Jellicoe, pratique son travail de « psychiatre » et « d’informaticien » dans divers hôpitaux.
C’est là qu’il fait la connaissance d’Ambre Sadaki, alors qu’elle postule pour un poste de cadre infirmière dans son unité.
Il a d’abord hésité, mais lui donne finalement sa chance.

La mort d’un de leurs patients, le pousse à rechercher l’origine de ce décès.
Une nouvelle technologie est employée dans le service dont il est membre.

S’ensuit une enquête complexe, avec l’aide de l’un des ses anciens patients, longue et difficile, pour découvrir que cette mort n’est pas anodine.

En effet le chef du service où travaille Jellicoe fait faire des examens biologiques poussés sur les « candidats sains », dans le but d’éventuellement les utiliser comme donneurs d’organes.
La fin de ce Tome Un est assez violente.
Jellicoe est blessé par son chef de service, par arme à feu.
Il sera sauvé par un chirurgien qui va lui extraire une balle « unique » mais lourde de conséquences dans sa relation avec sa « Cadre », Ambre Sadaki.

Tome Deux.
Le matériel utilisé par l’ancien chef de service de Jellicoe, matériel basé sur l’utilisation des champs magnétiques, sera reconverti pour explorer les pensées des sujets et au bout d’un certain moment, partager à deux des rêves. 
S’ensuit une plongée dans le monde d’Achéron (nom du programme) pour nos deux héros. 

Notre héros part dans ce rêve, sans souvenir de son identité.

Ils se découvrent l’un et l’autre. Dans le rêve, le temps n’a pas d’importance. Ils passent ainsi quelques semaines ensemble, et ce n’est qu’à la fin que Jellicoe retrouve sa mémoire en remontant "à la surface"...

Par la suite, il est nommé « chef de service par intérim ». 

Un patient lui apporte, dans un étui à cigarettes, une lettre datant de la Seconde Guerre mondiale. Il y découvre la piste d’un trésor et part à sa recherche.

Tome Trois.
Devant les difficultés d’Ambre Sadaki pour partir avec lui, il achète un bateau et va seul vers la Crête. Mais l’appel au secours, en rêve, de sa "cadre" le fait revenir en France. Il n’en repartira qu’avec elle. 
Et c’est une belle histoire de navigation du Havre jusqu’aux Seychelles. Puis le retour en France.

Entretemps, il apprend que l’un de ses adversaires n’est autre que son fils. Ils ont sympathisé, Jellicoe ignorant leur filiation.

Une épidémie du virus Ebola lui a permis de devenir très proche de ce fils débarqué dans sa vie, sans prévenir.

Tome Quatre 

Cette suite nous fait découvrir un aspect méconnu de Jellicoe.
Ambre et lui découvrent les charmes de la Drôme profonde où Jellicoe possède une maison. Son fils, sa belle-fille viennent les voir avec leur enfant.

Des événements curieux arrivent arrivent alors, qui laissent soupçonner une implication du Vatican. 

Ensemble, ils continuent leurs travaux de recherche sur les trésors des Templiers. Et aussi sur des sabotages dans une plateforme pétrolière dont la France détient une part importante, au large de l’Afrique.
La fin est assez violente.
Il n’est pas mauvais pour se défendre si on lui cherche noise.  

Mais il faut lire les trois tomes ou la trilogie, pour apprécier complètement ce Tome Quatre. 

A vos tablettes !

dimanche 17 janvier 2016

Les idées sont contagieuses ?

Les idées sont contagieuses…

Certaines sont mortelles. D’autres, bénéfiques…
Mortelles, voir les guerres actuelles au nom de la religion…

Bénéfiques (peut être ?)
J’écris cela, après la dernière mise à jour du Tome 4 de l’Hôpital de Montjoie.
(Papier et Kindle).
Vous le savez, si vous me suivez un peu ! Car je n’ai pas trouvé le moyen de connaître qui lit mes textes (je suis sur Blogger, pas assez doué pour passer sous Wordpress) et je m’en fiche. 
Je ne souhaite pas une « mise en page qui vous fasse monter au plafond ». 
Simplement, exprimer à un certain moment quelque chose. C’est donc forcément décousu, fractal et quantique.
Mais j’ai quand même reçu depuis une semaine trois commentaires qui me disent de continuer avec mon style si particulier. Le style SCAPA.
Merci.

Dans le Tome 4 (oui j’ai découvert ça dans un autre blog) qu’il faut parler de la genèse de son histoire, du pourquoi du comment, du car parce qu’etc.
Foutaises ?
Peut être pas…
Vous êtes un certain nombre (important et dépassant mes espérances !) à avoir chargé la Trilogie.

Le Tome 4 est très intimiste au début ! Cela ne convient pas à tous ceux qui veulent de l’action. Il faut la mériter ! Le début est assez fort quand même !
Car la fin devient vraiment de l’action. Forte.

La dernière page en particulier…

Une lectrice me dit que c’est potable !
(Dans le sens qu’elle a failli se noyer dans son bain, tant la fin est improbable et si vraie).

Alors si vous avez une tablette pour lire les .mobi (Format des Kindle),  vous pouvez tenter votre chance et si ça ne vous plaît pas, je reverserais votre achat à des nécessiteux ou à mes œuvres…. 
Le lien Kindle est en dessous !
Et puisqu’on y  est, essayez de grouper tous vos achats sur le même jour ! Demain, si vous y pensez (lundi 18).
Cela me permettra peut être de franchir la barre de TOP 50 du suspens, etc. Ras-le-bol d’être uniquement dans le top 100.
La bise aux filles, salutations aux autres ! 
S


Le lien vers le Tome 4 (Kindle)! 
   Lien

vendredi 15 janvier 2016

La trilogie "papier"

Et un commentaire agréable de plus...
Merci Ana ! (et nous ne connaissons pas dans The Real Life, on peut le prendre donc comme réel !), pas du copinage !

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Commentaires client les plus utiles

Par Ana Steel le 15 janvier 2016
Format: Broché Achat vérifié
Je viens de terminer la lecture de cette magnifique trilogie et je n'ai qu'un mot à dire :
Whaouuuu!!!

Le lecteur suivra les aventures du Dr. Ludwig Jellicoe et de son assistante, Ambre Sadaki.
Des professionnels de la santé, nos deux héros se muteront en véritables enquêteurs. 
Tous les ingrédients qui marquent le succès d'un livre sont au rendez-vous :
des intrigues extrêmement bien ficelées, des personnalités sensibles mais fermes,
des valeurs universelles, des meurtres, des manipulations, de la romance...

L'auteur a su parfaitement transporter le lecteur dans un univers percutant de réalisme. 

Plusieurs personnages graviteront autour de nos deux héros. 
Certains très attachant et possédant des compétences dans des domaines que l'auteur maîtrise
parfaitement. 
Le lecteur découvrira des choses très intéressantes sur un milieu fermé qui se veut très élitiste
 et arrogant. 
Trois histoires qui se lisent facilement avec la boule au ventre car le suspens est insoutenable. 
J'ai voulu savoir et j'ai dévoré les trois tomes en quelques jours. 
Merci à l'auteur et à sa plume légère, empreinte de sérieux et d'un humour indéniable. 
Merci de m'avoir fait découvrir le style "Scapa" que je conseille à tout amateur d'histoires profondes 
à vous couper le souffle. Inutile d'ajouter que j'attends impatiemment le tome 4 qui est en préparation!

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Merci encore. Je sais que cette publication va encore déchaîner des critiques, alors un texte agréable 
(combien de mes lectrices ou lecteurs prennent leur clavier cinq minutes pour me dire leur ressenti ?)

Et le Tome 4 est déjà en ligne (Kindle) ou déjà dispo sur Create Space. 
La propagation sur Amazon.fr dépendra du sens du vent et du prix du baril de pétrole...

Bonnes lectures...

dimanche 10 janvier 2016

De l'écriture à la lecture...

De l’écriture à la lecture !

Depuis mes débuts (2010 !) en écriture, j’ai passé pas mal d’heures sur mon clavier.
Et soyons réalistes, la première version du Tome 1 était mal faite ! Trop linéaire selon une de mes lectrices.
Non que l’idée, le cheminement entre le début et la fin, soit illogique, mais les éléments saillants ne ressortaient pas bien du reste.
Alors refonte complète après les refus (sans doute justifiés) de sept éditeurs différents.

Le bilan que je fais aujourd’hui :
Laissons de côté les qualités ou défauts de mes textes ! Ce que je remarque en ce moment c’est que mon travail a changé ma manière de lire les textes des autres !

Je précise que je suis « un serial lecteur », en moyenne deux à trois livres par semaines, rarement moins, sauf petit chef-d’œuvre (ça existe).

En 2010, j’ai décidé de reprendre un de mes rêves : écrire.
Déjà j’avais commencé longtemps avant, d’une manière curieuse… 
Le soir, quand mes enfants étaient couchés, je leur inventais des histoires et si je trouvais qu’elles avaient été « potables » je le retranscrivais du mieux que possible, sur mon ordinateur, le lendemain.

Je remercie donc mes enfants !

L’écriture.

En ce mois de janvier 2016, j’aurais commis 4 volumes de la série Hôpital de Montjoie. Je remercie au passage une amie fidèle, écrivant peu (mais bien), qui relit mes textes et fait le ménage : sabrer les redondances, l’orthographe, les phrases inutiles, vérifier la chronologie, et ce depuis 2010.

J’ai eu quelques commentaires sur Amazon. Car devant les échecs des publications traditionnelles (largement mérités), je me suis lancé vers le numérique (Amazon, KDP) pour plusieurs raisons :
— Facilité pour publier un texte,
— Gratuité,
— Royalties pouvant aller jusqu’à 70 % du prix de vente, que je choisis.
— Possibilité au fil du temps, de ré envoyer un texte épuré de ses scories…

Et certains commentaires nous sont allés droit au cœur… Il paraît qu’il y a un « Style Scapa »… et que nous serons copiés à plus ou moins brève échéance. 
Pour revenir à ma coauteure et la chronologie j’avoue travailler à l’inverse de beaucoup d’autres auteurs…

Je ne fais pas de PLAN !
Comme les textes pour mes enfants, pas de « il était une fois »… « et ils se marient etc. »
Comme les Aborigènes, qui partent d’un point A pour aller au point B, et construisent leur route en avançant.

Je fais ça en écrivant. Je sais où je commence (parfois je modifie) et j’écris dans la foulée (là aussi, parfois ça change), et mes personnages suivent leur vie.
La seule chose préalable, c’est que je fais des fiches, très détaillées, sur mes héros. Je n’utilise pas tout de ces fiches, mais je peux vous dire ce qu’il y a dans leur frigo, s’ils (ou elles) regardent la TV etc.
Ces fiches (numériques) me permettent d’écrire sans me soucier de la cohérence interne de mes « sujets »… Car en cas de besoin, j’ouvre la fiche et je me remémore qu’un tel n’aime pas les autoroutes ou le poisson cuit etc.

Donc je commence un texte, sans savoir le chemin que je vais emprunter ! Et je ne veux pas le savoir.
Je sais simplement que je veux arriver à tel endroit ! Et encore, le Tome 4 vient contredire tout ce que j’ai exposé. La fin du T4 m’est arrivée en pleine nuit (je dors par périodes de deux heures), et a remplacé ce que j’avais envisagé. Et elle n’est pas trop mauvaise, je pense.
Mais vous ne le saurez qu’en lisant ce T4 et les autres tomes pour le comprendre !

Donc, faire un plan… Non ! Pour moi c’est refuser la spontanéité de notre inconscient, c’est se mouler dans un carcan scolastique, ne pas sortir des clous, et finalement ne pas sortir de la masse.

Et nous arrivons à :
De l’écriture à la lecture…

De l’écriture à la lecture !

Oui. Écrire m’apprend à lire.
Je reprends des livres datant de quelques années ou dizaines d’années. Je les ai gardés, car je les avais trouvés « bons ».
Et maintenant, après m’être bagarré pour exprimer une idée, faire un paragraphe, une page ou deux, je pense avoir réalisé à quel point c’est difficile parfois.
Alors la relecture d’ouvrages m’ayant « enchanté » ne peut plus se faire simplement ! 
Je reste sensible, bien sûr, à l’histoire (le contenu patent, visible), mais en même temps je cherche ce qui est latent (invisible).
Les ressorts psychologiques des uns et des autres, le décor, les détails, que mangent-t-ils, leurs hobbies, leur PNL (Programmation Neuro linguistique), tous ces « petits » riens, qui donne une dimension à ce que je tente de mettre en numérique ou sur le papier.

Et c’est régulièrement une certaine déception.

Je passe sur les erreurs géographiques de certains auteurs (le Soleil qui se lève le matin à l’ouest…), l’incohérence de certains profils psychologiques, les mauvaises descriptions de lieux… 
Je suis obligé de reconnaître qu’il n’y a pas (en ce moment) de grands auteurs (surtout en numérique) disponibles.
C’est peut-être un reproche ou un compliment !

Reproche, car pour passer l’étape vers une publication, l’ouvrage sera revu par un correcteur (humain) qui se permettra de changer telle ou telle phrase, car son prononcé ne lui plaira pas. Exemple le terme « Potable » que j’utilise parfois. Il a un sens pour moi ! Mais pas le même pour la correctrice avec son éducation stricte…

Compliment ? L’ère du numérique permet à des quantités surprenantes d’auteurs de se faire connaître. Alors, sélection naturelle, certains livres, bien propulsés par leur réseau relationnel monteront dans les sondages et vendront beaucoup.
D’autres, moins connus, resteront dans les profondeurs des classements, de la notoriété.

Enfin… il y a des textes qui resteront oubliés, car trop complexes pour celui ou celle, gavés de TV ou de journaux de coiffeurs, ne feront pas l’effort de lire pour comprendre. Ou apprendre.

Et c’est pour cela que je dis : de l’Écriture à la Lecture, ou si vous préférez, de la Pratique à la Théorie…
Inversion du paradigme…


Bonnes écritures…

Un lien...