La date de publication "officielle" est le 20 décembre 2014...
C'est donc aussi la date où les pré commandes seront honorées. Au tarif le moins cher, pour avoir un maximum de "clients lecteurs"...
Alors à vos tablettes !
en attendant les ultimes corrections à communiquer au plus tard le 9 décembre (elle seront en ligne, sauf la table des matières qui me pose problème en RTF), mais vous n'en aurez pas besoin.... ;)
Donc un petit extrait, le livre alterne des choses calmes et d'autres un peu moins....
Début.... (c) Scapa 2014
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(Il vient d'être alerté par ses alarmes)
Ludwig enfile un boxer, fonce. Ambre
s'éveille.
— Toi, dans le bureau, le placard
secret, tu fermes de l’intérieur, tu coupes la lumière, téléphone en mode
silence. Pas de bruit, tu écoutes si ça tourne mal. Mon groupe sanguin est B+.
Il l'embrasse.
— Je t'aime !
Et en boxer, avec son gilet pare éclat,
piles activées, se met à l'affût dans le salon. À genoux. Son arme est propre.
Une balle dans le canon. Sécurité off, en position de tir à 3 coups. Il visse
rapidement « un réducteur de son ». Active la charge de la visée
laser, mais ne l’allume pas pour le moment.
Il ne va pas lutter particulièrement
pour sa peau, mais pour celle d'Ambre.
Il estime qu’il a deux ou trois
minutes pour piéger ses assaillants.
Rapidement va vers son halogène et
l’oriente vers la porte d’entrée, il est éteint, mais pousse le curseur à fond.
Attrape la télécommande qui lui permet d’allumer des lampes à droite ou à
gauche sans se déplacer, et ce lampadaire en particulier.
Une diode s'allume le long de la
porte. Une seconde diode. Des gens s'approchent. Leur masse modifie la fréquence
d’un détecteur et au-delà d’un certain niveau, ce n’est plus un chien en
maraude, dans les 20 ou 30 kg, mais un humain de plus de 50 kg. C’est un de ses
systèmes d’alarmes, qu’il a imaginé.
Il rampe vers une armoire. Fouille et
trouve une couverture de survie, qui garde la chaleur pour les blessés sur la
route. Et donc retient l'émission thermique. S'emmitoufle dedans. Juste l'arme
et les yeux qui émergent.
Il devrait sembler invisible si les
autres ont des amplificateurs de brillance ou des lunettes à infrarouge.
C'est le cas.
La porte s'ouvre doucement, un homme
en cagoule avec des lunettes de vision nocturne, passe son arme puis la tête.
Balaye le salon des yeux. Ne voit pas Ludwig.
— Il n'y a personne, chambre à coucher
? Dans un murmure.
Il entre suivi par un coéquipier. Ils
se séparent à droite et à gauche.
Là, Ludwig presse le bouton qui allume
la lampe et éblouit totalement ses assaillants. Qui se couvrent les yeux de
douleur. Ils ont mis l’amplification sur Log2. 100 fois ce qui est utile. Lui,
utilise le pointeur laser.
Et avant qu’ils ne tirent au hasard, lève
son arme en direction du premier.
Ludwig, qui a consacré sa vie à sauver
ou accompagner des mourants, estime qu'il peut équilibrer les plateaux de la
balance. Il ajuste sa visée et tire une balle dans la bouche du premier.
Rabaisse le canon qui vient de remonter légèrement et une autre balle entre les
yeux du suivant. Il a tiré en moins de trois secondes.
Il éteint tout.
D'autres se pressent pour entrer.
Ludwig allume et tous entrés, il les élimine comme des lapins. Un des
assaillants essaye de tirer vers lui. Une seule balle chacun, dans la tête, désignée
par le laser.
Et chaque coup de feu fait un bruit de
bouchon de champagne qui saute.
Plus du tout de « méchants ».
Il attend un peu, mais tout est calme.
Il entend la détente de son arbalète à
poulie et un type qu’il n’avait pas vu se retrouve épinglé contre un mur, avec
une flèche de 30 centimètres qui lui sort du sternum. Il meurt en quelques
secondes.
Ambre a dégoté
son arbalète de compétition, encordée, tendue en silence, mit un carreau et était
prête à tuer le premier qui viendrait !
C’est donc Ambre arrivée pieds nus
avec l’arbalète qu’il stocke dans le placard secret. Comment a-t-elle armé cet
instrument, choisi la bonne flèche ? Souvenirs du bateau ? Ils en
parleront plus tard.
Mais manifestement, ce n’est pas la
peine de l’infantiliser ! Elle se débrouille très bien.
Il lui dit d'appeler la SCEI pour «nettoyage ».
Elle se jette dans ses bras, elle pleure. Elle a tué un être humain...
Elle se jette dans ses bras, elle pleure. Elle a tué un être humain...
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