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mardi 3 octobre 2023

 Début de mon étude sur 554 messages de femme de tTchat. 3 oct 23.


Etude non soumise à l'approbations de pairs, ni randomisée.

La suite est secrète pour le moment...

lundi 3 août 2020

Oh, un article de Juin 2008 .

Tapuscrit dit de " Nouilly sur Marne "



Attention c’est du LOURD. J'ai repris une de mes machines pour avoir Word... Je trouve cela..


3 (11) 1 (01) Augst 133 (10000101).
Ce texte est Reconstitué/écrit (ainsi que les notes) en old-french, pour que les chercheurs actuels puissent avoir un original non /transcrit/ traduit (avec les inévitables imperfections) en Néo-Glish-Slave.
Ceci est un tapuscrit ( tiré du mot manuscrit), découvert sur une clé USB de 16 GIO ( ! ),  trouvée lors de fouilles de la zone "Connurb 72" ex Paris Zone Libre. [Conurb ou Connurb ?]
Cette Connurb étant sécurisée (Niveau P4 dans les Archives du CKS), nous n'avons pas pu connaître le nom du dernier détendeur.
 Nous avons cherché à retrouver l'identité de son possesseur (ou sa ?) en vain, mais diverses "signatures" alphabétique indique un certain "sylvain point ?????point fr"
Nous avons retrouvé des traces d'un ou deux "sylvain scapa" - entre 1850 et 2010 d'avant la Chute - mais pas de mention du point ou at.
Le texte semblant avoir été écrit par un sujet de sexe masculin, nous disons "son possesseur" (sylvain scapa ?) car une image (en 2 D !!!) montre un sujet masculin, droitier, avec des cheveux roux (teinture des membres de l'élite ?) écrivant avec un stylet sur du PAPIER !!! Il est vêtu d'un haut de chausse en fibres et d'une espèce de blouson en Denime.
Le coude gauche repose sur un dossier papier assez important (plus de 30 feuilles !), le calame ou stylet est blanc (ivoire ?). Ecriture électronique ou avec un liquide pigmenté ?
Pas d'implant dans la nuque mais la prise de vue ne permet pas de le voir.
Pas de code barre sur le front (du moins ce qu'on voit).
Pas de décorations, de fibules dans l'oreille Gauche, ni de tatouage tribal.
Sa tenue vestimentaire contraste avec la notre, mais autres moeurs...
------------------
A cette époque, les unités élémentaires des phrases étaient fait de lettres (élément atomique en quelque sorte, qui peut être modulé par des signes dits "diacritiques" ce qui donne pour une même lettre des variations comme : a,à,ã,ä,â etc)  mises les unes à coté des autres pour constituer des mots, assemblés entre eux, pour faire des phrases ! 
Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? 
Notre système actuel : 1 mot = 1 symbole  sur 1024^3 (environ 1 073 741 824 "mots")  est beaucoup plus concis. Nous espérons que le lecteur apprécie nos efforts pour écrire avec des lettres, des mots etc pour faire des phrases dont chaque mot est codé - en moyenne statistique - sur  2 octets... 
Ce texte est écrit en respectant les anciens systèmes où une lettre est codée sur un octet !
Exemple : un mot long est codé sur autant d'octets qu'il contient de lettres ! Alors qu'actuellement, quelque soit la longueur du "mot", il est représenté par un seul symbole (2 à 3 octets).
Pour ce travail :
Il a été assez dur de trouver des appareils de l'époque (circa 2010 du calendrier Essenien) capable de lire ces vieux supports de stockage de l'information (nous n'évoquons même pas les cartes perforées ! -)  nous sommes loin des hyper-cubes polycristallins à enregistrement holographiques  de 5 Gogol Bits  et nous ne sommes pas certains d'avoir bien interprétés/récupérés ( codé sur seulement 256 bits au lieu de 1024^3 actuels !) le texte d'origine en old-french. Rappel pour les étudiants de 1er cycle : 1 gogol = 10100 
Depuis le flop commercial de Vis-ta Seventy et le déclin d'Intel, la prédominance d'Apple - 99% de parts de marché et 1 % pour Minux - trouver un "PEECEE" sous OuinDoobe, a du nous contraindre à faire appel à des conservateurs de musées d'informatique. 
Nous remercions en particulier le Conservateur de Nouméa, Son Excellence A. Bilify,  (Nouvelle-New-Calédonia) pour son aide pour "reconstruire" un modèle de bas de gamme :
Processeur : AMD 3800 + (Dual Core ! au lieu de 64 coeurs actuels !), Disques [SATA] de moins d'un Terra Octet, affichage limité à 1920 x 1024, pas de lunettes virtuelles/rétiniennes ou de reconnaissance vocale et/ou encéphalique etc. 
Véridique ! 
Contrôle au clavier (tactile : il fallait presser des boutons avec des symboles pour communiquer avec l'unité centrale) et avec un "mulot" ou "musaraîgnée" (pas sûr du nom).
Nous le remercions d'autant plus que cet appareil fonctionnait en 220 volts (biphasé 50 Hz) !!!! (Au lieu des 3.5 volts autorisés  actuels) Et dégageait 1200 grammes/heure de CO². 
L'Organisation Mondiale de la Santé, doit être aussi remerciée, pour avoir autorisée la "reconstruction"  d'un appareil de ce type. 
L'appareil est actuellement au Musée des Vieilles Technologies et Croyances, au Vatican, S.A.R.L
  Ce texte est donc à prendre au "conditionnel" d'autant que l'auteur en parle comme d'une base pour un livre. 
Livre électronique ? Nous ne savons pas.
La Législation Française de la France Zone Libre (qui semble pouvoir s'appliquer à ce tapuscrit malgré son ancienneté), accumule les contraintes les unes sur les autres, au lieu d'éliminer les plus anciennes, (cf Notion du Droit d'Auteur, Notion de Diffamation, Notion d'Injure etc.)  et peut nous paraître obsolètes à notre époque.  Mais nous tenons à la respecter.
Nous présentons donc cela comme une oeuvre de fiction. Nous avons essayé de retrouver dans les archives de l'époques (sur supports informatiques) les divers protagonistes évoqués.
Il est probable que le birecteur ( l'ancien nom était [di]recteur ?) de l'Asileum de Nouille sur Marne était une personnalité multiple.
D'autres personnes sont évoqués. En particulier la Grande Prêtresse du DÎME (Clergé ? *) qu'il fallait nourir régulièrement en données. Il semble que l'auteur en ait fait partie (du Clergé de l'époque, pas des données !)
* Nous avon cru y trouver une correspondance avec Hergé (Série des Tintin et Milou) mais rien n'est moins sûr.
Ces incertitudes sont liées à notre travail de reconstruction du passé. 
Cf les Manuscrits de Quram ! 
Ou plus simplement, avant la Chute, l'Histoire des Guerres Coloniales de l'Empire Français, dont un certain nombre de détails ne sont pas encore connus.
Ceci posé, nous vous souhaitons une bonne lecture. Une exgése de ce texte est disponible sur YesWhoPedia.
Notes de l'Archonte qui a supervisé cette édition.
Pour des raisons de clarté nous avons mis en BLEU nos commentaires. 
Ceci pour que le lecteur puisse faire la part entre le texte original et les interpretations que nous avons déduites/supposées.
Les parties du texte interprétes sont entre crochets comme [cela]
Nous sollicitons donc l'indulgence du lecteur/étudiant.
Ce texte a été transcrit en old-french par M. le Pr S.Olian (et Coll.) avec l'aide de M. Z. Yprexa éthno-paléontologue de la période circa OuinDoobe dite "Grandeur et Fin de la Civilisation Occidentale"
Nota Bene. Les principales branches pointent vers des éléments jointifs. Nous pensons qu'il s'agit donc d'un document unique divisé en pages.
Mais la partie sans doute la plus complexe mais la plus pertinente sur les moeurs de l'époque est dans "Fragments Isolés".

1. Palimpseste
Le palimpseste (du grec ancien / palímpsêstos, « gratté de nouveau ») désigne un manuscrit écrit sur un parchemin préalablement utilisé ... 
Nous avons trouvé sur cette clé USB des fragments de texte car un fichier - avec la structure des enregistrements par blocs de 4096 caractères, pouvait laisser des zones - à la fin du fichier - non exploitées et contenant des résidus d'autres documents effacés.
Nous sommes en train de travailler sur ce sujet.
Nous avons retrouvé des indications fragmentaires sur la Dîme (ou le Dim ?). C'est un peu comme les Evangiles (pas les 4) trouvées dans la Mer Morte... Des fragments isolés que nous essayons de remettre ensemble.
Le Her Professor Henrich Aldol a accepté avec la collaboration de l'Institut sur la survie des civilisations anciennes (pré Chute) de nous aider, mais sa charge de travail est telle que nous n'espérons pas de résultats avant le fin du mois prochain.

1.1 Comprendre la clé
Avant d'aller plus loin dans notre étude de cette clé, il faut expliquer comment les "dossiers" ou les "fichiers" étaient rangés sur l'espace mémoire de cette " clé ".
Nous avons retrouvé, en bon état - sauf la modification des bits (par les rayons cosmiques ? ) qui sont des éléments unitaires d'information, valant 0 ou 1, à l'époque, versus les 1/2 bits (nommés Koolles ou [Kouilles] valant  -1, -1/2 ou +1/2, +1, ce qui donne deux Koolles pour un bit. 
Il faut -actuellement 4 demi-Koolles  pour donner un bit - mesure ancienne donc - soit : 2 1/2 Koolles  moins = 0.  2 1/2 Koolles positives = 1 .
Les deux autres configurations sont utilisée par la partie quantique de nos ordinateurs actuels. 
Ce rappel pour les étudiants du Premier cycle (de 6 à 10 ans donc) fait, passons à la suite.
A cette époque les systèmes de fichiers se basaient sur une table dite FAT (File Allocation Table) qui possédait un certain nombre de pointeurs - début du bloc utilisé, bloc suivant, bloc de fin - chaque bloc faisant 4096 octets de 8 bits ou 16 demi-Koolles.
Mais à l'époque on utilisait uniquement les bits. Donc 8 bits = 1 octet.
Nous avons essayé d'analyser la FAT - il y en avait deux en fait : une au début de l'espace mémoire, l'autre à la fin. Nous avons trouvé des "dossiers" qui pointaient sur les sous-dossier puis vers ou directement vers des fichiers.
La partie dite "Tapuscrit" est relativement cohérente. 
Les blocs se suivent régulièrement. (Les pointeurs de fin vont vers un autre secteur de début qui lui même pointe vers un autre secteur.)
Cependant il semble qu'il y ait eu deux auteurs au moins, le "ton" change au texte 8.
Mais d'autres blocs ont été " éffacés" ou réécrits (d'où le terme Palimpsete).
En cas d'effacement pur, (remise à zéro de la table FAT des pointeurs) nous avons pu reprendre le contenu "intact" des blocs, intact car non réécrits. Mais nous ne connaissons pas leur noms ni le N° des blocs qui les suivent.
En revanche, parfois certains blocs ont été écrasés par d'autres écritures et à ce moment seulement le pointeur désigne la fin du fichier "légal" et cette partie jusqu’à la position 4096 peut contenir des informations.
Les dites informations peuvent être d'origine ou être une superposition (temporelle) de plusieurs fin de blocs.
Ainsi dans la Clé dite " de Nouilly sur Marne" on trouve dans une fin de secteur la ligne "[recteur est un gros colonoscop][isé]".
La ligne se termine là. Le "recteur" désigne peut être le bi-recteur, et "colonoscop" une pratique dégoutante consistant à introduire (physiquement) (colonoscopie non virtuelle) un objet pour examiner le rectum et le gros colon du "recteur". Comme nous ne savons pas quel est le bloc suivant - et il a pu être effacé ou réécrit - nous n'en connaissons pas la suite.
Dans d'autres fins de blocs, il est souvent marqué "Cher Président de la CM[?]" (CMU ?) puis des blancs. Le ? désigne un octet qui a pu être modifié (rayon cosmique, radioactivité ambiante etc).
Cela pour dire que nous avons trouvé, sous forme de fragments, pas faciles à associer les uns aux autres, des morceaux de texte, que nous ne donnons pas aux étudiant actuellement.
Il y a aussi des fichiers avec une "extension" (un point plus 3 ou 4 lettres) du nom de ".mp3" ou ".porn".
Nous avons essayé de les décoder, mais nous avons perdus les  moyens d'y arriver. Un en particulier, plusieurs dizaine de kilo-octets, est marqué : "Discussion et pétage de plomb de D.mp3".
Le [.mp3] semble une ancienne technique de stockage vidéo ou sensoriel de l'époque.
La puissance actuelle de nos ordinateurs de poignet est telle qu'un transcodage est inutile, tout étant stocké sur les serveurs de grande capacité et l’accès à un fichier donné, se fait immédiatement, grâce à notre code-barre, et le Wrist-Computer (plus communément connu sous le sigle WC [ou Chiottes] ) ne sert que de terminal pour accéder à l'information.
Une autre extension (.jpg) montre des images en 2D d'individus de l'époque dans des positions sexuellement imp/explicites (Remises de médailles, Inaugurations de batiments hospitaliers etc). 
Les Us et Koutumes de l'époque étaient beaucoup plus rigides que maintenant, et le langage Korporel ou facial (petite moustache) donnent une idée du refoulement (au sens de Saint Sigmund) des individus de l'époque.
Nous continuerons cette analyse des Palimpestes ultérierement.


1.2 Programmmes
Nous avons bien sûr utilisé un programme pour comprendre certaines fins de bloc !
Notre thesaurus de la langue (old-french) contient environ 360 000 termes.
Ils ont été classés par ordre alphabétique, dans la colonne 1. Dans la 2 nous avons mis le nombre de lettres le composant, et dans la 3 (au delà d'une lettre), le classement des lettres dans l'ordre alphabétique.
Ainsi le mot oiseau donne : oiseau | 6 (lettres) | aeiosu  
Cela permet aussi de trouver des mots qui ont les mêmes lettres mais organisées différement.
Voici un exemple de la requête et de la table employée :
SELECT DISTINCTROW Anagrammes.ALPHA, Anagrammes.MOTS FROM Anagrammes
WHERE (((Anagrammes.ALPHA) In (SELECT [ALPHA] FROM [Anagrammes] As Tmp GROUP BY [ALPHA] HAVING Count(*)>4 )))
ORDER BY Anagrammes.ALPHA;
ce qui pour 5 lettres donne ( un exemple) :
ALPHA
MOTS
acenr
caner
acenr
crane
acenr
cerna
acenr
ancre
acenr
carne
acenr
rance
acenr
nacre

En plus, devant un mot dont il manque une lettre (ou plus) nous pouvons faire une recherche rapide.
Quand nous connaissons la longueur du mot, mais que quelques caractères ont été effacés - rayons cosmiques ? - nous donnons au programme la longueur du mot et les lettres connues à leur place connues et nous regardons les résultats...
Exemple :

Ce genre de programme est trés utile pour le déchiffrage des textes anciens.
Nous avons limité la longueur des mots à 21, il n'y en a que très peu que dépassent ce nombre, et ils sont connus dés le cycle 0.
1.3 Recteur ?
RECTEUR ?
Le terme [di]recteur revient plusieurs fois. Nous avons émis l’hypothèse d'un rayon gamma ayant modifié des bits dans l'octet codant la première lettre, ce qui peut donner :
di recteur
bi recteur 
voire même bi rectum ?
Ce point mis à part, nous avons essayé de comprendre comment  un "hôpital" pouvait avoir besoin d'un membre de l'administration à sa tête - autre qu'un commissaire politique, chargé de faire appliquer le Plan - au lieu d'un Médecin.
Nous avons compris en croisant certaines informations que l'Hôpital -ou Asileum- de Nouilly sur Marne - ou Morne ? - était géré par un Président du Conseil d'administration, un Président de la CM [U ou E], mais nous ne comprenons pas le rôle technique ou organisationnel d'un recteur dans la structure.
Si on se réfère aux divers modèles économiques que nous utilisons pour comprendre cette époque circa la Chute, nous pouvons essayer de lire s'il existe un schéma des flux dans la structure.
Il est clair que l'Asileum a pour vocation de "soigner" des "malades". 
Il faut donc des "Malades". Sans "Malades" pas besoin d'Asileum. Ni d'hôtelerie, de Service des travaux, de Frais de Séjour etc.
Les soignants sont de plusieurs type hiérarchiques. ( Il semble en outre que certains agents, en fonction de leur lieu de naissance aient droit à des jours supplémentaires de vacances (ce terme est évoqué plus loin) ce qui peut faire penser qu'ils sont supérieurs aux autres - Guadeloupe, etc -).
Au dessus des malades, il y aurait (?) les infirmiers, les médecins, puis le personnel administratif, puis les membres de la Dîme.
Sans entrer dans des détails inutiles, il semblerait que dans la chaîne "écologique/économique" entre les "malades" et les "médecins +/- infirmiers", donc dans la chaîne du transfert d'une valeur ajoutée, la place des administratifs soit réduite. 
Or nous pensons que c'est le contraire qui s'est passé !!! (cf Thése de M. Nicolas (dit le Petit)  Ozinan).
Il y aurait un "Recteur" - et pas Rectum comme certains collègues le traduisent - qui bien que NON médecin, Ni Infirmier, Ni malade, et Non fumeur, soit au dessus du groupe constitué des "Soignants".
Faut-il avouer notre perplexité devant ce schéma ?
Sans malades, pas besoin de soignants !
Mais est énoncé le besoin d'administratifs pour superviser les malades et/ou les soignants ? 
C'est un peu (nous savons l'analogie est osée) comme si  on demandait à un joueur de rocket-ball de donner son opinion sur le conflit entre le Néo-Tibet et l'ex Chine Capitaliste.
Car sans soignants, pas besoin d'administratifs ni de la Dîme !
Comme dans d'autres civilisations éteintes (cf les Aborigènes, les Romains circa l'essenien), quand un système sécrète une hiérarchie et qu'un clergé la supervise, le déclin de cette civilisation n'est pas loin.

2. Introduction
NOTE IMPORTANTE : Ces fragments d'une mémoire de stockage ne sont pas forcément dans un bon ordre. Il se peut que la chronologie ne soit pas respectée. Le New-British Museum Of Mahé donne donc les textes qui suivent en l'état. Les commentaires en bleu sont des suppositions.
Contrairement aux apparences, ce texte n'est pas spécialement dirigé contre le DIM - quoique certains points en soient épinglés - ni contre notre chef de service.
Ce texte est un ras le bol devant la connerie monumentale des Sinistres Individus du Sinistère de la Manté dans leur élaboration du RIMPSY  !
Ayant remarqué que mes publications sur le Web avaient parfois des effets positifs (reprise d'ancienneté des Ex Vacataires départementaux de la Seine St Denis par exemple cf branche annexe), j'espère qu'avec ces notes, un jour, un, deux, beaucoup de collègues diront : STOP la connerie.
S.

Avertissement - sans frais - de l'auteur : ceci est une base pour la rédaction d'un livre. Toute ressemblance avec des personnages hystériques  historiques ou autres serait une pure coïncidence, de même que les descriptions des lieux ou situations.
(c) S. Scapa Von Shadock, Nom déposé 1492-2008.
Note : l'historique (reconstitué) de la Famille Scapa ou Eskapa, Von (ou Vanne de ) Shadock remonte à 1492, le 3 août. Nous n'avons pas d'autres précisions. La date : 2008 semble indiquer 7 ans après la Chute.
Les opinions exprimées ici risquent de choquer des lecteurs n'ayant pas dépassé le stade de Spirou ou du Journal  "L'Equipe", ou qui se gavent d’émissions TV (Loft Story etc).
Si vous vous reconnaissez dans cette description quittez ces pages. Vous risquez, au pire, de réfléchir.
Pas d'information sur Spirou.
Ce texte est écrit un lundi soir, retour de vacances, reprise du boulot. Il est repris ponctuellement.
Vacances ? Ce concept n'est pas bien connu à notre époque. Il semble les gens travaillaient plus de 40 heures par semaine ! Et donc partaient en "vacances" (stase temporelle ?) pour se reposer.
Pas le temps de vérifier mon orthographe (désolé je suis plus à l'aise avec le langage C ou le Visual Basic qu'avec le français) ou mes fautes de frappe (clavier sensible).
Ce texte, je le drop sur mon site, pour prendre date. (Cette première édition date du 20 VIII 2007 de l'ère du Christ  mais elle sera régulièrement augmentée avant qu'on me foute à la porte de mon établissement ! ). Exemple - pas encore en ligne - le coût des ambulances entre l'Hôpital de St Denis et notre Hôpital Psy de l'autre coté de la rue séparant les deux hôpitaux (50 m). Facturés 150 à 200 euros...
L'Euro ou pétro-bouzoff était un système d'échange avec des objets en métal ronds ou des morceaux de papier ayant une "valeur" de transaction représentant une force de travail.
Tout cela pour dire, que même si ce site est effacé, il restera dans la mémoire de GOOGLE.
A + sur cette page.
M'écrire ? (sylvain(point) scapa (at) ?????)com(point)fr  (remplacez les points par . et le at par @, mesure anti-spam)
Dr Sylvain SCAPA 
L'adresse multinet alphabétique, de type IPV4 ou IPV6, était manifestement "ancienne". Donc rien à voir avec nos adresses définies à vie par nos barres-codes.
[Edit du 7/10/2007]
 Praticien Hospitalier, (théoriquement )  au dernier échelon depuis le mois de septembre 2007.
??????
Petit lexique avant la suite.
DIM : Département d'Information Médicale. 
Une autre orthographe est Dîme
En MCO (Médecine, Chirurgie, Obstétrique) le DIM a permis de mettre au point des "profils" de dépenses. Par exemple (ces chiffres peuvent dater un peu), un accouchement, par les voies basses était coté 1000 points. Un greffe de coeur environ 18.000 points.
Ce sont les DIMs qui ont permis de "collationner", "récupérer", toutes les données concernant tel ou tel type d'intervention et de leur donner un "poids", donc calculer leur prix relatif. Ils notent de manière informatique l'essentiel des actes (hospitalisations, consultations, groupes, travail en dehors du patient etc).
(La base 1.000 (accouchement normal, sans complications) est une chose qui arrive à environ la moitié des Hommes (50 % des Hommes sont des Femmes) et date de quelques millénaires).
Avec ces données, un hôpital qui dépense plus que la moyenne nationale est rappelé à l'ordre et son budget diminué.
Inversement un hôpital qui dépense moins, n'est pas félicité mais ses chiffres servent à réduire les budgets alloués aux autres hôpitaux.
RIM-P : on peut le traduire par Recueil informatique médical de l'activité en Psychiatrie (comme la VAP : Valorisation de l'activité en Psychiatrie).
En gros le Sinistère de la Manté tente de faire une grille comme en MCO pour évaluer le poids des pathologies mentales.
Actuellement le seul critère pertinent est le N° FINESS de l'établissement ! 
Impossible d'établir un "profil" de dépenses pour un (une) hystérique, un suicidant, une démence sénile, une schizophrénie...
J'ai été à une formation avec un collègue (le Dr F. Kafka) et nous vous mettons nos notes à la fin de ce texte. Cela vous permettra de mieux comprendre les enjeux qui se présentent en Santé Mentale.
Pourquoi finalement ce texte que peu d'entre-vous liront en entier ?
La (les) maladie(s) mentale(s) sont du ressort le plus intime de l'être humain.
Il arrive que le patient ait conscience d'avoir des problèmes, et de souhaiter de l'aide.
Mais trop souvent, de la même manière qu'on ne peut pas voir son dos, il faut une aide extérieure (un miroir) pour voir ses anomalies (problèmes). Certains d'ailleurs ne sont pas capables de se rendre compte de leurs troubles.
C'est là que le Médecin, - qui a dû (aurait) recevoir une formation spécifique, pour tenir compte de ses propres problèmes et donc les voir chez autrui - est dans une position très délicate : aider, soigner, protéger, tout en respectant l'autre (ne pas l'abrutir de médicaments, d'électrochocs et autres).
Cet exercice est difficile. A mon humble avis, la psy (chiatrie, analyse, chologie)  est la branche ultime de la médecine. Aux confins de l'organique et du sacré, du religieux....  
Lourde responsabilité.
Moyens insuffisants (il est plus simple d'enfermer les fous ou de leur mettre des camisoles chimiques, ou de les traiter avec des hormones et leur poser un bracelet GPS). 
La frontière entre l'humanisme et le nazisme devient très fine.
Les divers gouvernants de divers pays, ont divers moyens d'y répondre.
Nier le problème. Pas de problème, pas de solution.(Négation)
Le reconnaître et en rejetter la faute sur l'autre (Déplacement).
Le reconnaître et tenter de le gérer. (Condensation)
Mais gérer la Santé mentale est plus couteux qu'il n'y paraît et diverses pressions "politiques" - le principe "pas de vagues" - fait que certains problèmes, certaines causes de maladies, sont totalement occultées.
Actuellement le gouvernement de la France Républicaine, qui a survécu aux touristes allemands des années 1940, aux divers vacanciers venant du sud de Marseille ou de l'est de Lyon, ne peut plus faire face aux dépenses de santé.
Il doit donc trouver des moyens de réduire les dépenses, sinon il sera fiché à la Banque de France et sera interdit de chéquier. Et c'est urgent !
Et comme les individus qui sont au Sinistère de la Manté sont incapables ( intellectuellement ils peuvent ne pas remplir leur feuille d'impôts, mais pour le reste..) de comprendre l'ampleur du problème, ils se défaussent sur les DIMs des EPS (Etablissements Publics de Santé, nom pudique pour dire Asiles ( vous changer le nom d'un concept et miracle le concept change)) pour trouver une ou des solutions.
A titre d'exemple, je "surveille" une "cohorte" (grand groupe de malades) atteint de schizophrénie.
Au moins 10 % de ces pathologies, ont, entre 2000 et 2007  dans mon étude - été déclenchées par la prise de Canabis. (Herbe, Shit, Ganja, Delta 9 etc). Or un des crédos officiels est : Le Canabis n'est pas plus nocif que la cigarette !
Vous avez vu beaucoup de gens pêter les plombs après un paquet de clopes ???? Un lien ? 
Bonne lecture ...
Ce préambule est la partie la plus facile à comprendre du Tapuscrit.
                                                                                      
Sans doute une image 2 D (et sans le son) du tapuscripteur.
2.1 Annexe
A ce sujet, Grâce à Machto et divers actions - dont pour une action modeste de ma part -, nous avons récupéré un peu de notre ancienneté !
Soit - dans mon cas - l'Hénaurme somme de 11 000 euros.  Soit environ 90 € par mois sur 10 ans (je ne compte pas les intérêts de retard !).
Et je viens juste de recenvoir mon avis d'imposition, sur l'année où j'ai percu cette somme.
Bilan : 9 900 euros d'impôts en plus !
L'Etat donne d'une main et reprend "plus" de l'autre.
Et on voudrait que je me défonce pour le RIMPSY ????  ha ha ha !

3. 1 - Antécédents ...
1. Antécédents...
Les opinions exprimées ici n'engagent que moi, et pas le DIM ni l'administration de l'EPS de Ville Evrard, ni la CME, ni les gens qui travaillent autour de moi.
Pourquoi ce texte ????
Le DIM actuel a été recrée en 1997.  (Avant la Chute des Deux Tours)
J'ai souhaité en faire partie, tant comme médecin que comme passionné d'informatique.
A ce sujet - toute modestie mise à part, vous me connaissez... - je suis tombé dans les microprocesseurs en 1979, j'ai acheté un Pet Commodore qui m'a rendu autiste pendant un an, puis - via la rencontre avec un collègue médecin, - j 'ai exploré "l'ordinateur" pour voir s'il pouvait aider un médecin dans son travail.
A l'époque j'écrivais des articles de "vulgarisation" à l'informatique et je soutenais que "face à la sécu et ses ordinateurs" le médecin (libéral) devait s'informatiser, pour pouvoir contester les chiffres de la dite sécu.
Toujours aussi modeste, un de mes programmes (LOCAME LOgiciel de CAbinet MEdical) fut le premier prix du MEDEC 1981, puis j'ai obtenu deux premiers prix (dont le total m'avait permis d'acheter une R20) dans les catégories "Meilleure base de données" et "Meilleur programme personnel" du concours organisé par la fédération AMII-MICROTEL.
J'ai commis d'autres déviances : Catalogue raisonné de Pierre Soulages ou de Pignon, informatisation de pas mal de Galeries d'Art contemporain (dont un dérivé fut mon (le) premier CD-ROM  français, dédié à l'art Contemporain à Paris, en 1995).
Pierre Soulages a été un des grands peintres Français, comme De Gaulle, Albert Camus, et le dessinateur Moebius.
Au passage à la demande d'Albert ABRAHAM, mon chef de service du G03, en 92, j'avais écris (commis ?) un système de gestion des patients, ancêtre du SIM.
Pas de références sur Abraham en dehors du Sacrifice, où il offre à une divinité de l'époque, un de ses assistants, mais cela lui est refusé.
Le ver était dans le fruit, et quand il m'a été donné la possibilité d'entrer au DIM (1997) puis de passer PH Temps Plein (2000)  je n'ai pas hésité à fermer la consultation que j'avais ouverte en 1995.
NB la datation est toujours calquée sur le calendrier de l'Essenien. Nous ne reviendrons plus sur ce point.
Au début, je n'ai rien regretté. D'ailleurs actuellement je ne peux pas dire que je regrette ce choix. Ma motivation initiale était d'écrire des programmes informatiques - plonger mes mains dans le cambouis des octets, donner à ceux qui le désiraient, des outils, pour mieux travailler.
Quelle naïveté !
Je passe sur les problèmes liés aux divers interlocuteurs - délai de réaction quand on leur demande quelque chose, délais de l'administration, délais de certains collègues etc.-.
J'ai quand même fait un certain travail (récupération des bases de Hash Mush, Mise au point de Stat+ (et ses dérivés) tiré d'un de mes programmes sous Progress (1992), du programme d'archivage etc.). Chacun se doute bien que ce ne sont pas mes créations "propres" car à chaque fois il fallait tenir compte des exigences - souvent contradictoires dans le temps - des utilisateurs ou de la responsable en titre du DIM.
Mais peu importe !
J'ai à la demande de divers collègue, écris des requêtes, pour savoir qui faisait quoi, quand, comment par exemple....
C'était amusant.
D'autant que certains collègues m'exprimaient leur inquiétude sur les dérives que cela pouvait entraîner.
Je n'ai pas écouté. D'ailleurs l'eusse-je fait, le résultat serait le même.
J'ai aussi commis des requêtes sur par exemple, les patients au long cours. Je n'ai jamais été crédité des résultats que je donnais. D'autres s'en sont servis pour diverses publications et les honneurs afférents. De même le programme de TCI pour l'unité de recherche du G03 (que j'ai l'intention de mettre dans le domaine public ou de communiquer à ceux qui me le demanderont avec justification...).
On a les honneurs qu'on mérite.
Honneurs ????

4. 2- Le Cheval de Troie
TIMEO DANAOS ET DONA FERENTES

Je crains les Grecs, même quand ils font des présents (VIRGILE, Énéide, liv. II, v. 49).

Nous sommes en 2007  .  2008 ! 
Je suis au DIM depuis 1997 (environ 11 ans). Je n'ai pas vu le temps passer.
Nous avons collectivement ou individuellement, bossés beaucoup.
Le challenge était de faire tourner en différé environ 250  350  450 machines reliées à un serveur central, pour envoyer et recevoir des données régulièrement après leur traitement dans le serveur.
???
Une architecture complexe, qui nous a mis souvent sur les dents (de devant). Au début nous étions à 50% en modem 56 k puis enfin nous sommes passé à l'ADSL - évidement chez France Télécom avec ses tarifs défiant toute concurrence -.
Je suis surpris que notre organisation ait réussi à gérer tout cela ( pannes de réseau, pannes des sauvegardes, changement de versions de C-PAGES sans que nous soyons avertis, etc. ) de manière transparente pour les utilisateurs.
Le Cheval dans la ville de Troie
Nous sommes confrontés depuis quelques années aux exigences de nos gouvernants. En effet, la Sécu est dans le rouge.
Nous croyons que le terme "Sécu" s'applique à un régime d'assurance vie et pas aux systèmes de Police qui nous protégent.
Je ne suis pas un grand spécialiste des divers régimes de retraites (certains partent avec un taux plein à 45 ans...), ni d'économie (il paraît que le pouvoir d'achat y est lié), mais il n'empêche que le dit gouvernement (actuel, comme les précédents et les suivants) est dans la merde.
Grosso Mordo, la santé coûte de l'argent. Et ce ne sont ni les chômeurs ni les titulaires de la CMU qui y contribuent (* page suivante CMU et Suicide)
Pas 36 solutions : on commence par réduire les dépenses hospitalières.
Et pour les réduire, il faut savoir d'où viennent les fuites... 
D'où l'idée subtile, de demander aux DIMs de France et de Navarre, de faire un état des lieux (en psychiatrie) comme il y a quelques siécles en MCO.
Et c'est pour cela que j'évoque l'artisanat Achiléen : nous avons reçu du fric pour étudier l'adéquation de notre système informatique avec les objectifs du gouvernement...
Et comme le fric devient rare, nous l'avons sollicité et reçu. Je ne sais pas à quel poste il a été affecté (péréquation...)
Fric ???
Et c'est là que je trouve qu'à l'insu de notre plein gré, nous avons trahi notre serment. Nous sommes des collecteurs d'informations que nous devons envoyer chaque semestre à nos autorités de tutelle.  
Nous sommes devenus, comme les policiers au bord de la route avec leurs radars, pour foutre des PV, ce qui les transforment en agents de recouvrement du fric pour l'état...
Comprenez : nous devons soigner comme avant, nos pauvres patients, mais nous devons coûter moins cher. D'où le plan Hôpital 2007, la VAP etc.
D'où les séquences de soins...  etc.
Vous ne savez pas ce qu'est le RIM-P ?
Un Aspegic 1000 et allez sur http://www.atih.sante.fr/?id=0000A00012FF 
Un autre ? http://arimpl.free.fr/modules/news/article.php?storyid=23
Bonjour les dégâts.
La solution d'utiliser des Médecins à diplômes étrangers est arrivée au bout de la corde. Elle va casser. Nos collègues partiront dans des pays où ils seront mieux payés.
Il faut "casser" du toubib actuel. Tant pis si notre longue expérience va partir à la poubelle quand sonnera l'age de la retraite...
Plus ils sont vieux (13 ème et dernier échelon pour  moi, + de 60  62 ans au compteur), plus ils sont inutiles car à travail égal ils coûtent plus cher. 
Moi je touche environ 260 euros par jour net et avant impôts. Hors Réquisitions.... Dans le privé (informatique) c'était mon tarif horaire (TVA incluse ...)
Impôts : survivance du système d'avant "la Chute" où ceux qui ne travaillaient pas ne payaient pas de taxes ou ceux qui étaient très riches n'en payaient pas non plus (histoire incompréhensible d'avoirs fiscaux ??)
On se fout totalement du patient. C'est l'ère de molécules miracles. Elles coûtent un peu de fric mais elles réduisent la DMS. (Durée moyenne de séjour).
Au début de "ma" psychiatrie (1974), nous avions dans le service où je travaille, 100 ou 120 lits, les patients restaient parfois deux ou trois mois. Puis, nous les suivions en CMP avec un taux de rechute très bas.
Actuellement, nous avons 19 lits.
Pour une population ayant augmentée de 20 à 50 %. 
Le chiffre exact est invérifiable (clandestins utilisant l'identité d'un frère ou d'un cousin).
La DMS est tombée à 8 - 10 jours (chiffres de mon programme STAT +).
Nous les suivons au CMP. Plein de rechutes. Actuellement je donne des rendez-vous à trois mois, parfois six (je suis débordé) ! C'est de la psychiatrie ou de la médecine vétérinaire ?
Nous sommes passés dans un style "appareil bon marché, que nous jetons quand il est en panne". Les patients : on les gardes 8 jours et dehors (de préférence avant un week-end !)
Et nous les membres du DIM sommes en train de donner à ceux qui dispensent l'argent, les moyens d'être encore plus répressifs....
Nous, les DIMs, sommes les instruments de cette politique.
Le terme DIMs (dans son contexte), fait penser que c'était une sorte de Police Politique Hospitalière ou de Clergé, mais nous n'avons pas d'autre détails, la notion d'hôpitaux (psychiatriques) ayant disparue avec les progrès de l'eugénisme et de la normalisation des déviances (euthanasie ou ablation in-utéro)

5. 3 - CMU et SUICIDE
* Page suivante ..
Je parlais de la CMU.
Pourquoi ?
Travaillant un peu (!) au SAU de St Denis (Urgences psychiatrique dans l'hôpital général), j'ai été confronté il y a peu à une patiente Zaïroise, ayant avalée de l'eau de Javel dans un but pseudo auto lytique.
C'était sa première TS. (A un niveau inconscient, l'Eau de Javel blanchit...)
Je lui ai fait remarquer que son geste allait coûter dans les 1000 euros (réanimations etc.). Elle m'a rétorquée qu'elle avait la CMU !
Cela m'a plongé dans une abîme de réflexions existentialistes...
Si on a la CMU, on peut se suicider comme on veut, peut importe ce que cela coûte ! Et autant de fois qu'on veut ! Les toubibs sont là pour vous récupérer...
Or j'avais déjà noté ce genre de réflexions chez d'autres patientes.
Le Tilt ( choc en grand breton). 
Nous sommes submergés par des injonctions de soins, émanant de magistrats n'ayant aucune compétence médicale (exercice illégal de la médecine ?).
J'aimerais que tout suicidant soit soumis à une injonction de prise en charge psychiatrique sous peine de perde ses droits à la CMU ou à la Sécu.
Si elle (90%) ou il, ne va pas chez un psy et ne peut pas attester de sa prise en charge, retrait de la CMU, refus des soins ou facturation !
C'est totalement incorrect politiquement etc., mais j'exprime mon opinion de psychiatre de terrain.
Les gens actuellement ne fonctionnent que dans un mode d’assistanat. 
Si on menace de leur supprimer leurs allocations familiales, la CMU, ils arrêteront peut être de faire les cons.
Le sigle TS pourrait signifier : Tentative de suicide (ce qui est strictement interdit à notre époque sous peine d'euthanasie)

6. 4 - Séminaire de formation au RIM-P
Je vous livre ces notes en vrac et in-extenso !
Nous ne donnons pas de notules pour ce passage et les suivants.
Rapport synthétique sur ma participation à la journée dédiée au RIM-P dans le cadre de la VAP, du 21 juin 2007 à l’ARHIF
Nb Les abréviations sont expliquées par l’ACS, en fin de document.
Ce rapport est basé sur les notes prises pendant la journée. Il est donc involontairement « morcelé » pour mieux refléter les divers points abordés.
Animateurs : Gaétan W. (DIM d’Etampes),  Eric C. (DIM de St Anne, Paris). Tous les deux sont utilisateurs de CORTEX (Toulouse).
Dans ce texte je désignerais W. et C. sous le sigle W & C..
W. envisage d’implanter Cortex sur 50 postes dans toute l’Essonne, 
C., lui, gère un parc de 1000 machines dont la moitié est sous Cortex.
Ils notent tous deux, que ce produit est « fragile » car crée et commercialisé par une structure familiale.  Mais ils apprécient le coté « bi-directionnel » (avec CPAGE) du produit. 
W. cherche désespérément un bon logiciel et ne prend Cortex que par défaut !
Je ne détaille pas l’aspect de la VAP.
Il y a 4 grands compartiments, dont un peut être un piège subtil : le groupe des Missions d’Intérêt Général (MIG). 
W & C conseillent d’ailleurs, pour chaque secteur, de créer un patient fictif, pour lui attribuer toute l’activité « interstitielle » qui ne peut pas être rapportée à un patient déterminé, ce qui sera ensuite attribué au MIG. Utile pour les pédo-psy.
Les dotations dans l’enveloppe MIG seront probablement faites à la tête du client. Donc bien penser à nourrir ce bloc.

Passons au RIM-P :
En résumé : pour le RIM-P, 1 patient = 1 acte et 1 acte est attribué à 1 seul patient.
Ensuite chaînage et envoi par serveur sécurisé, de l’activité, trimestre par trimestres, de manière cumulative (T1, T1+T2,T1+T2+T3, T1+T2+T3+T4).
Des logiciels spécifiques pour le chaînage, l’anonymisation etc. seront fournis par la plate-forme e-PMSI de l’ATIH.
Merci de votre attention pour ce rapport. (NB. Lire les annexes)
Dr S. SCAPA
---------------------------------------------------------------------------------------   Annexes -------------------------------------------------------------------------
Historiquement, les tentatives de quantifier le poids de la psychiatrie dans les dépenses de santé, ont toutes été des échecs.
La seule variable pertinente, dans toutes les études de coût des soins, a été le N° FINESS …
Il faut comprendre le rôle du RIM-P. 
Il est sur les rails pour une seule et unique raison : permettre de réduire le trou financier de la Sécurité Sociale.
Actuellement, via le RIM-P, nous allons faire remonter vers le ministère de la Santé des tas d’informations plus ou moins utiles, avec l’idée clairement exprimée que ce recueil de données permettra de mettre au point l’outil de saisie de ces mêmes données.
Pour ceux qui sont mal-comprenants, c’est l’histoire de l’œuf et la poule (+ le coq).
Actuellement il n’y a que 18 centres hospitaliers qui ont envoyé des données en temps utile sur 300 ou 400 Etablissement Publics Spécialisés (les Asiles)  Publics ou participants au Service Publique (Cliniques).
Un objectif est sous tendu : inciter les hôpitaux à s’informatiser, pour pouvoir sortir des tas de données, pour bien différencier, par exemple, le profil psychologique et la trajectoire de soins du loubard de banlieue versus le retraité qui habite la campagne.
Et donc, déterminer qui coûte le plus.
Lors des diverses explications – sur le système de codage etc. - j’ai eu l’impression d’avoir affaire à des « savants fous » (les technocrates de Ministère) qui voudraient prétendre faire des prévisions météo à deux ans, pour le lundi 22 juin 2009, entre 10h et 17h pour la commune d’Epinay sur Seine et plus particulièrement la rue de L’Avenir devant le CMP Tagore.
En MCO, où on soigne des « organes », le PMSI donne l’illusion de maîtriser les dépenses.
En psychiatrie, on ne soigne pas un organe malade, mais l’âme, la psyché, le ka, l’environnement, le social etc.
C’est totalement inqualifiable
Inutile de dire que certain(e)s dans la salle, eux aussi, ont exprimé à divers moments leur incrédulité sur ces non-sens (codages) appliqués à la psychiatrie.
Leur duo est bien rodé, et de temps en temps, ils parlent « OFF micro » - et le soulignent - pour nous donner l’impression que nous ne sommes pas des moutons, mais des vrais acteurs de la santé, et le bien fondé de telle ou telle chose.
Le Calendrier.
Le RIM-P et sa déclinaison dans le calcul de la VAP, sera opérationnel au plus tard fin 2009 (dixit le Ministère).
Mais les diverses modifications des textes de loi, arrêtés, décrets etc. imposent une veille « législative » que les Dims ne peuvent pas faire, d’où l’intérêt d’aller sur les fora qui traitent de ces questions, pour le partage des ignorances.
Exemple : savoir que les textes ont évolués entre le 7/7/2006 et le 15/1/2007 puis ont été actualisés le 15/3/2007. 
Utile quand on développe un programme sur une trame donnée.
Revenons à nos poules.
Nous devons créer des RPS et des RAA ! 
RPS : résumé par séquence (temps complets ou partiels)
Cela nous permettra de recevoir une dotation basée sur le nombre d’actes.
RAA : relevé par acte pour l’ambulatoire.
Je ne détaille pas les règles de production de ces items, je signale seulement que la durée des actes (RAA) n’est pas demandée, mais il nous est fortement conseillé (W & C) de la noter (cette durée) car il est prévisible  qu’un jour ou l’autre, ces actes seront tarifés, et il faudra pouvoir négocier le montant alloué.
Par exemple, la pédopsychiatrie aura 100 % de RAA et 0 % de RPS. Inacceptable.
Avant de coder, il sera utile de vérifier que chaque UF est bien dédiée à une activité et une seule.
Il sera important de contrôler aussi que CPAGE dans notre cas, note bien les entrées-sorties en concordance avec les données du RIM-P et du Dim.
Plus les problèmes d’identité !
A titre d’exemple C.a 16.000 doublons (mais il y a une activité MCO sur St Anne) entre les données DIM et celles de CPAGE.
Une intervenante (DIM), elle signalait 60.000 doublons dans son hôpital.
Il faut aussi dans certains cas bien dissocier le code des communes et celui des codes postaux.
EDGAR ne garder qu’une lettre. Mais au niveau local, garder les détails.
Le codage AVQ devrait se faire en début de prise en charge, et à l’inverse ne porter le diagnostic CIM10 qu’à la fin.
Attention : en MCO des contrôleurs de la sécurité sociable sont venus dans certains services pour examiner des dossiers – repérés par eux – pour voir si le codage Cim10 était bien le reflet du dossier, et ont condamné des unités à rembourser certains actes.
Pour les cotations, elles peuvent très bien être faites par les infirmiers, et si hésitation, prendre l’item le plus défavorable.
W & C insistent sur un point : il faut « telle » information dans « telle » case. 
Mais peut importe que ça soit un PC ou un Mac, Excel ou Access qui range l’info au bon endroit, du moment qu’elle y est.
Ils ont aussi évoqué le « Règlement du DIM ». 
Exemple, un sous-directeur a voulu connaître l’activité exacte d’un médecin. Le Dim (W) a refusé et lui a demandé de faire une requête écrite à soumettre en CME. Le sous-directeur n’a pas donné suite.
Cela pose le problème de la visibilité de l’information.
Suite et fin :
Les informations (bien) codées, sont chaînées avec une clé soi-disant irréversible (*) puis il y a une anonymisation des résultats et envoi vers un serveur sécurisé.
Le retour sur information est instantané, car calculé dans le poste de travail du DIM.
Les bases de données régionales et nationales seront consolidées puis transmises au Ministère et aux tutelles des établissements. Des comparatifs pourront (et seront)  être fait. 
(*) je ne connais pas d’exemple de sécurité irréversible indéfiniment.
Conclusion personnelle.
La psychiatrie est dans les VAP.
Après bien des tentatives (avortées), comme le PMSI en psychiatrie, le Ministère de la Santé, via la VAP et le RIM-P, essaye de trouver un ou des moyens, pour réduire les dépenses de la Sécu, au lieu de se demander pourquoi les individus sont « malades », pourquoi la France est championne du monde de consommation de tranquillisants, et comment faire pour que les gens aillent mieux, travaillent, soient productifs ET heureux ou le contraire, etc.
Rien ne nous permet de penser que ce RIM-P ne sera pas rangé dans un tiroir (dans moins de 5 ans ?), le temps de montrer son inadéquation et d’en chercher un énième successeur.
S.
Explication des divers sigles.
L’ACS (Association contre les sigles) n’a pas pu nous donner les traductions, nous sollicitons donc l’indulgence du lecteur.


7. 5 - Dr Kafka
A Propos du RIM-P.
Analyse proposée par F. KAFKA
Note : Le Dr Kafka semble un contemporain de l'auteur du Tapuscrit, mais nous n'avons pas trouvé de correspondance (lettres Snail Mail) entre les deux.
J’ai attentivement lu les textes associés à la VAP et au RIM-P.
Je ne vais pas réfléchir sur la problématique du traitement informatique.
Ce qui me gêne le plus dans ce concept d’accumulation d’informations, de séquences,  de parallélisme  ou non des soins, de l’ouverture ou de la fermeture des séquences en fonction du calendrier (fin de trimestre) ou de la nature de l’acte etc., c’est que je pense que nous aurions de bien meilleurs résultats en nous postant au bord d’une autoroute.
Au bord de l’autoroute, nous créons une séquence chaque fois q’une Renault passe devant nous, et nous lui donnons un N° de Séjour si la somme des chiffres de la plaque d’immatriculation est paire.
Si cette somme est impaire et est un nombre premier, nous garderons le N° de séjour précédent.
Si elle est blanche, ce sera un temps complet, si elle est jaune ou verte un temps partiel, sinon un ambulatoire. Si c’est une décapotable nous compterons un temps Complet + un temps partiel avec l’indicateur P.
Pour la fermeture d’une séquence, il faut :
soit qu’une autre Renault  du même modèle passe, 
soit qu’une Citroën d’une autre couleur passe, avec entre la première voiture et celle de fin de séquence, au moins une voiture étrangère.
Les voitures : Peugeot, Fiat, Alfa-Roméo ne doivent pas être mises dans les séquences MAIS il vaut mieux les compter, car un jour le Ministère de la santé nous demandera quelle activité (Actions Ambulatoires non rattachante à une Renault) nous avons eu.
Pour avoir une vision exhaustive de l’activité réalisée, nous devrons compter – précisément – les voitures passant dans l’autre sens et les soustraire de celles qui passent devant nous, en ne comptant pas les voitures rouges.
En cas de problèmes, nous utiliserons la grille EDGAR :
E = Embouteillage
D = Dépassement par la droite
G = Gêne à la circulation sur la bande d’arrêt d’urgence
A = Ambulance, prioritaire, clôt les séjours arbitrairement comme en fin de trimestre.
R = Refus de se laisser doubler.
Pour bien traiter ce RIM-P, les observateurs devront se poster sur des morceaux d’autoroutes distinctes, sachant qu’un même véhicule pourra être compté plusieurs fois s’il passe d’une portion d’autoroute à une autre.



8. 6 - Les deniers publics...
Dans notre hôpital, la direction régulièrement se plaint de ne pas avoir assez d'argent pour donner les moyens nécessaires aux diverses équipes sur le terrain.
Notre Directeur, par exemple, nous informe qu'il nous paye sans avoir les crédits afférents.  Comme je ne suis pas certain qu'il sorte l'argent de sa propre poche, je me dis qu'il y a des ressources cachées. 
Le terme DI recteur est ambigu. BI recteur ?
Puisque nous sommes dans une page dédiée à la véracité, en analysant les tableaux Excel des fournitures informatiques de notre établissement, je suis tombé (de haut) sur une ligne curieuse...
Achat d'ordinateurs DELL pour la somme de 1200 euros pièces....
Certaines études (R. Isperdal et coll) associent cette somme (de représentation de travail) à un minimum garanti par La Société pour faire survivre les futurs donneurs d'organes.
Immédiatement j'ai été sur le Site de Dell, vente aux entreprises, et j'ai découvert que LEUR bas de gamme (supérieur à ce que nous utilisons) était vendu : 299 euros HT, soit grosso modo 360 euros TTC (notre hôpital ne récupère pas la TVA).
TVA ????
J'interpelle (courtoisement, vous me connaissez ...) le responsable informatique - à qui j'avais fait un Email à ce sujet, Email resté sans réponse - et il me confirme que notre institution, DOIT passer par des appels d'offre et qu'il n'y a qu'une société ayant l'agrément pour ce genre de marché. 
Et il m'explique que nous avons le système d'exploitation, la suite Office (97 car tous nos programmes sont basés sur Access 97) etc etc..
Bon, moi je veux bien qu'il y ait une sur-côte de quelques euros. Ce qui mettrait le mathos à disons, 600 euros TTC. Nous le payons le double, et dans ce double il n'y a pas la mastérisation du matériel ni sa maintenance.
Alors je me pose la question qui tue. Et qui devrait interpeller pas mal de journalistes : pourquoi payer 1200 euros ce que nous pourrions avoir à 600 euros environ ????
Où va ce surplus ???
La cour des comptes n'ayant jamais été alertée sur ce thème, je me demande si lors d'une de mes bouffées de rage aiguë, je ne vais pas leur écrire. 
"La question qui tue" montre que l'auteur de ces lignes est un adepte d'au moins 7 ème niveau pour connaître les techniques du Verbe.
Cet ensemble de pages avait été mis en ligne à la suite de mon ras-le-bol devant les tentatives des divers ministères pour réduire le coût des dépenses de santé.
Avant de casser notre outil de production, il faudrait peut être éviter les gâchis. 
Car je n'ai pas dis le meilleur. 
Les chiffres de Dell (améliorés) ne concernent pas UNE machine, mais un bloc de 250 machines...
250 x 600 = 150 000 euros. Une goutte d'eau dans notre tuyauterie (qui fuit, on considère qu'il y a 30 %  de pertes de flotte entre les pavillons, car les tuyaux sont trop vieux, il y a des boucles dans les circuits, et la Legionellose est endémique).
Flotte ?
Si nous commencions - toujours dans mon hôpital adoré depuis 1974 - par faire des photocopies doubles faces ???? 
Actuellement quand nous avons une Commission Médicale d'Etablissement (une CME), nous sommes entre 80 et 100 à recevoir des pavés de 300 à 400 pages, imprimés d'un seul coté.  Cela chaque mois !
Merci pour l'Amazonie.
(Pays disparu devant la Conurb de New-Cayenne.)
J'irais presque jusqu'à dire, qu'il faudrait nous doter de lecteurs de livres électroniques (style E'Book), sur lesquels nous pourrions charger tous les textes utiles à nos débats..
Mais cela n'arrivera qu'après ma retraite. Je sais : j'ai toujours 3 à 5 ans d'avance sur les autres, d'où parfois une certaine incompréhension.
A suivre, plus tard, quand j'aurais d'autres choses marrante à dire. 
9. 7 - Suite de juin 2008
Comme le temps passe !
PS : les images ( à colorier) sont en bas de cette page. Elle est plus longue que ma moyenne. Désolé.
J'avais commencé ce texte, on va dire " à usage personnel " (pour me défouler) et pour quelques amis qui s'inquiétaient de me voir dépérir et devenir de plus en plus amer devant l'orientation prise par notre système de santé.
Je reprend mon (vieux) clavier, à la suite d'un texte reçu par E'mail (Compte rendu des DIM d'IDF), dans lequel j'apprend avec stupeur "que j'ai crée" un site Web sur le Dim pour communiquer sur ces sujets.
Je suis désolé de contredire  l'honorable personne qui profère cette affirmation.
D'abord, ce site Web (www.scapa.com.fr) existe depuis bientôt 10 ans et n'est pas dédié au DIM (c'est une branche accessoire), mais à mes ami(e)s relations, pour échanger des idées dans des domaines aussi divers qu'avariés, comme la culture hydroponique, la fabrication de programmes de gestion de points GPS, là où la notion de contractuelle ou d'antibiotiques est un mythe, le partage de quelques souvenirs de voyages dans des Îles lointaines, la photo numérique, des programmes de cryptages de données avec des clés de 1 méga octets (le max actuellement c'est 256 octets) etc.
Plus éventuellement la possibilité d'offrir des espaces de stockages pour des périodes limitées, permettant au sujet A de mettre à disposition de B,C et F, un programme, un fichier musical etc, le tout sans passer par des serveurs aux capacités limitées (taille et/ou débit). Inutile de dire que dans ce domaine, je ne donne des clés qu'à des personnes que je connais dans la vraie vie.
Et que je change le trousseau après usage. Sinon j'utilise un de mes propres serveurs, sur ma ligne ADSL.
Pourquoi alors mettre "le Dim" en évidence ?
Simplement, devant le vol de certaines idées ou photographies - retrouvées à l'identique sur des catalogues de Tours Opérateurs - j'ai verrouillé l'accès au site. Mais ne voulant pas laisser ma page de garde "vide", j'ai mis dans le domaine public certaines réflexions (sans mot de passe). 
Je suis bien sûr toujours Dim dans mon établissement, ce n'est pas ça qui me pose problème.
Il y a une incompréhension : l'auteur travaille au DIM et est DIM. Clergé ? Membre d'un réseau neuronal ?
Mais deux choses me grattent :
1) Où va la médecine publique ?
2) Pourquoi certains d'entres nous veulent-ils être DIM (je ne parle pas de moi, la réponse est évidente: ma passion pour l'informatique et mon travail de médecin).
3) je n'en parlerais pas, sauf pour dire, pourquoi mon travail est toujours signé par ma supérieure qui me demande de faire telle ou telle recherche puis s'en attribue le mérite. Alors qu'elle reconnait être nulle en informatique (sauf pour le copier/coller) .... 
Supérieure : cela ressemble aux ordres religieux.
Je commencerais par le 2 : 
Être DIM, ce serait pour moi, chercher des corrélations ou des anomalies, qui - dans la masse des cas que nous avons dans nos ordinateurs - permettraient (peut-être ?) de faire une rupture épistémologique avec notre praxis et de trouver des idées originales pour mieux soigner nos patients. Mais je constate (avec amertume ) que nous produisons des chiffres (par exemple le taux de première bouffée délirante sous THC), qui ne servent à rien. 
C'est très beau, grand, noble, de savoir que 20 % des primo-consommateurs de Canabis (je ne sais pas l'orthographe exacet : certains écrivent cannabis, d'autres canabis) vont basculer dans la schizophrénie.
Et ça donne quoi ?
Rien. 
Au contraire, il y a une banalisation de la prise de drogue ( évidement, vendue sans ordonnance et non remboursée par la Sécurité Sociale), mais ça calme les "désarrois des élèves ...".
A la limite, tout le monde le sait et s'en fout.
Je constate que nous ne trouvons que ce que nous cherchons.
un exemple : " Le Dr Chapireau signale qu’il n’a pas trouvé beaucoup d’échos à sa proposition d’une étude centré sur les adolescents.". Cf  fin de page.
Je vais le rassurer. Depuis deux semaines, je travaille (à la demande de Vé, Grande Prétresse du service du DIM de Ville Evrard) sur les 3 intersecteurs de notre département, et sur les périodes Septembre - Septembre 2004/2005/2006/2007.
Pas de traces dans nos archives de "Vé", Supérieure du Couvent du DIM ?
Première grosse surprise : les consultations sont très élevées en début d'année scolaire (septembre) puis à la fin de chaque trimestre.
Ce qui est encore plus étonnant, c'est l'effondrement des consultations entre juin et septembre. 
Surprenant, non ?
 Une hypothèse est que la période estivale (pas d'école) diminue les troubles des enfants et donc leur taux de consultation. En toute logique, la suppression de l'école "obligatoire" permettrait de diminuer de manière importante le recours à la pédo-psychiatrie ... (et donc leurs crédits).
En revanche la corrélation des foyers de pathologies mentales avec la cartographie (cherchez Philcarto sur Google) montre que la majorité des problèmes se retrouve dans des citées (dites défavorisées) et beaucoup moins dans les "beaux quartiers". Encore une fois, la logique voudrait que tous les gosses à problèmes soient relogés dans des "beaux quartiers".
Tout ce que je viens d'écrire est logique mais ne tient pas compte de la réalité. En effet, l'été, les gosses partent (parfois) en vacances et les psychiatres (souvent) aussi.
De l'art de présenter de manière logique quelque chose de totalement idiot.
Qui a dit - au fond - c'est exactement ce que le Sinistère de la Manté fait ???
La logique .... Elle nous renvoie vers le point 1 de ma réflexion matutinale.
Où va la Médecine ( française ) ?
D'un coté, des points positifs : nouvelles molécules atypiques, nouveaux modes de diagnostics, nouveaux traitements, tableaux croisés Excel montrant la supériorité de tel produit versus tel autre (de préférence ancien mais qui sert de référence).
D'un autre, je note (par exemple) une augmentation significative de certains points.
Par exemple, les Injonctions de Soins. Il y a 30 ans nous n'en avions pas. Depuis 10 à 5 ans, elles augmentent de plus en plus. Or, mon expérience le montre, ceux qui viennent nous voir sur la demande d'un Juge, ne viennent que pour avoir l'attestation de passage, et ne se posent pas la question de comprendre ce qui les amènent chez nous. Et en plus c'est gratuit.
C'est gratuit ! (Cf la page sur la CMU). Mais cela a un coût.
Dans le Mail reçu hier, j'y ai plus lu les mots "comptabilité, anonymisation, rationalisation des soins etc" que "souffrance, dialogue singulier, prise en charge, bien être etc".
Nous sommes dans une impasse.
D'un coté des usagers de plus en plus exigeants, d'un autre des soins de plus en plus performants, entre les deux, des immondes questions monétaires. 
J'ai le souvenir, qu'il y a peut être 20/30 ans, au Japon, pays que j'aime et respecte profondément, une fracture du col du fémur, passé 60 ans n'était pas opérée. 
On survivait ou pas. 
Une certaine forme de sélection, que seuls les plus riches pouvaient ignorer.
Rupture épistémologique : il y a trop de patients et ils coûtent trop cher. Que faire ? Diminuer le nombre de patients ? Diminuer leur prix de revient ? Mais l'idée sous jacente est qu'ils sont tous égaux et doivent avoir tous les mêmes soins.... Un proverbe du Bénin dit : les doigts d'une main n'ont pas tous la même longueur.
Si quelqu'un a une idée (autre que comptable), qu'il m'écrive.  Moi je suis de plus en plus désemparé de voir que nous les DIMS sommes là pour trouver une réponse à une question qui est peut être mal posée.
Et on boucle sur "pourquoi vouloir être DIM ? ". Le prestige, les honneurs ? Le fait d'être médecin ne nous donne-t-il pas déjà tout ça ? A moins qu'être médecin soit devenu tellement dévalorisant ?
Pour mon estimé collègue, un graphique, Nombre d’actes (Garçons)  de septembre 2004 à fin août 2005 sur un de nos inter secteurs.  Vachement parlant non ?
Eh bien c’est le genre de choses qu’on me demande de produire. On va en faire plein de joles diapositives sous power point etc. On remarque ce que je notais : pendant les vacances, les gosses vont mieux.


Encore plus fort : Nombre de patients entre 12 et 18 ans pour 2006/2007 sur l’interckesseur E ... (Programme (c) Philcarto.
C'est beau !  
M'écrire ? Quelle idée, mais si vous y tenez  !     sylvain point scapa  ??? com point fr - mettre (décalage temporel) une date en 2008.
10. 8 - Prime Multisite et position du Sinistère.
Je continue ...
Bizarrement je suis en conflit avec la Direction de l'Hôpital où je travaille (dans le même secteur) depuis 1974.  (BiRection ?)
J'ai gravi péniblement tous les échelons pour arriver au dernier (Merci à Paul Machto pour son combat incessant, pour que les ex-vacataires de la Seine St Denis soient reconnus dans leur ancienneté).
Donc je gagne un peu plus de monnaie (en médecine) qu'il y a dix ans.
La question qui tue.
(c'est sans doute un Initié du 7ème niveau) !)
Il paraît qu'il existe une prime multisite pour ceux qui exercent des activités sur plusieurs lieux (même séparés par 50 m).
C'est mon cas :
Je suis PH temps plein, 50 % sur mon secteur (G03) et 50 % sur le DIM.
dans le G03 je passe 3 demi-journées en CMP et 2 en SAU/Urgences
Le reste (50%) est dédié Dim. Les textes de loi demandent que les DIMS gardent une activité clinique d'au moins 50 %.
Cela disqualifie immédiatement mes deux autres collégues (La responsable du DIM et mon collègue chargé de la base centrale).
Je suis le seul à ne pas bénéficier ce cette prime (je ne parle pas des collègues du DIM qqui ne la touchent pas) car mon activité de DIM n'est pas considérée comme "Clinique".
Mais en lisant les textes, j'estime (je peux me tromper...) qu'elle ressort du SROS (Schema Régionnal d'Organisation des Soins).
Et que mon activité de DIM me permettrait de percevoir cette prime ( pas grand chose, mais c'est un principe, comme : un génocide c'est quoi  : 100.000 morts ou 99.999 ou 1 ?)
A vous de répondre :
Vous êtes DIM.
Vous avez (normalement) une activité clinique. Certains ont des fonctions dans des établissements autres que celui "légal" dont vous relevez.
Touchez vous cette prime ?
Si oui, pourquoi ?
si non, pourquoi  ?
Pensez vous qu'une grève intelligente puisse faire bouger les choses ???
Edition du 19/8/2008...
Ça devient gaguesque. Il y a quelques mois j'avais demandé la prime multisite. "On" m'avait répondu que je ne remplissait pas les condtions car mon activité principale était DIM ( 5/2 journées par semaines contre 5/2 pour le CMP + le SAU).
Bon, j'avais envoyé un recommandé disant qu'ils avaient tout faux, et que mon activité principale était sur le Secteur.
Bingo, après plein de coups de fils au Sinistère, à la DHOS etc, j'apprend que si on est DIM, on peut le définir comme activité principale et les activités annexes ouvrent bien le droit à la multi site. Mais mon recommandé soutient le contraire et donc je me suis piégé moi-même et à l'insu de mon plein gré.
Braisé ? Vous avez dit que je me suis fait braisé avec plein de sable et sans vaseline ???  Ben je crois que oui. 
Je crois qu'on peut en tirer cette leçon :
Si vous déclarez votre activité DIM comme principale "on" vous dira qu'elle ne vous ouvre aucun droit.
Donc logiquement vous soutenez ensuite le contraire. Et vous tombez dans mon cas de figure...
Et réciproquement. 
Dans tous les cas, vous aurez un ou deux interlocuteurs qui vont se renvoyer la balle pour vous piéger.
Et si par cas vous êtes éligibles à cette prime, vous risquez d'avoir cette réponse :"Oui vous aurez bien la prime mais on ne peut pas vous la payer faute de crédits". (Véridique, c'est ce qui se passe dans notre Hosto..)


11. 9- Réincarnation
Je suis Perplexe !!!
Le directeur (actuel, car j'ai entendu dire qu'il n'allait pas rester longtemps chez nous), doit être à sa 10 ème ou 15 ème Réincarnation !
On voit l'influence bouddhiste dans la structure religieuse de " l'hôpital".
En effet, réussir à se foutre à dos toute la communauté médicale, avec sa structure rétensive (obsessionnelle) vis à vis de l'argent, montre qu'il n'a pas pu devenir aussi bête en une seule vie.
Pour devenir aussi Kongre, il faut se réincarner plusieurs fois.
Qu'en pensez vous ?
PS je renomme le lien DIM en Mémoires de Nouilly sur Marne, car je me rend compte que ce glob, pardon log, sorry Golf Blog finalement commencé sur certains problèmes du DIM va beaucoup plus loin. Donc c'est tout VE qui est dans mon collimateur (et pas colis pour le mateur).
Pas colis pour le mateur : sens inconnu?
So long.
12. 10 Corruption de la Grande Prêtresse
Or donc en ce temps là ... Nous venions de "recevoir" le Grand Prêtre du Système-Info.
Il porte le nom d'une plaquette de beurre si je me souviens bien.
Il est à noter que l'informatique de notre Asile est clivée (normal pour des gens qui soignent des personnalités multiples).
D'un coté le Soft (la Dîme ou DIM) qui s'occupe des programmes et traite les données,
de l'autre le Hard (rien avoir avec les spectacles érotiques), qui s'occupe du matériel (vous savez celui qui coûte 250 Euros hors TVA, et que l'hôpital paye 1200 euros) et des tuyaux qui conduisent les offrandes du bas clergé (les secrétaires, infirmières, médecins etc) vers les ordinateurs de la Dîme.
Donc le Grand prêtre du Service-inox passe nous voir pour nous informer des sa décision de changer (et ça commence dans 15 jours) une partie du matériel !
Intention louable, si en plus elle avait été accompagnée d'une concertation, nous en aurions été heureux.
Comment ? Vous n'êtes pas contents ?  
Si, oeuf corse, mais le passage sous Hasta la Vista, va demander des machines assez puissantes non ?
Je demande - toujours courtoisement - le prix que l'hôpital va payer... Là, ça coince. M. PdB (Plaquette de Beurre) esquive, virevolte et ne nous donne que cette information : "Nous aurons les réductions données au Sinistère".  Leur montant reste un secret d'Etat et si nous avons le matériel à un bon prix pourquoi ne pas l'avoir eu plus tôt ?
Pourquoi eusse-je souhaité un peu de "concertation" ?
Les programmes que nous utilisons sont écris avec la version 97 d'Access.
Sous Hasta la Vista, il est probable qu'un jour ou l'autre, nous ne puissions plus utiliser Access 97 et que nous soyons obligés de passer sour Acess 2007.
Or des tas de machines vont continuer, un certain temps à fonctionner en 97 et d'autres en 2007. Il va falloir recomposr l'ensemble de nos programmes ! Et surtout faire de la maintenance sur deux systèmes différents.
La migration ne sera pas simple ....
Notre Grande Prêtresse, au passage, demande un "portable" pour la Dîme. 
Oeuf Corse, répond le Grand Prêtre, mais il ajoute, le votre (l'actuel) vous l'utiliserez pour la Dîme, et je vous fait parvenir un HP avec clé 3G+ (et l'abonnement qui va avec).
"Comme ça vous pourrez vous connecter de chez vous ou de n'importe où, et être relié à l'hôpital."
C'est une offre alléchante. J'eusse été surpris que notre Grande Prêtresse refusa. Elle ne refusa pas.
Il paraît que les petits cadeaux (disons, un truc à 1000 euros + abonnement 3G - j'ose pas vous en donner le montant ! -) ne se refusent pas. 
Ce sont des marques d'amitié et les rejetter, forcerait le donateur (sur les deniers de l'Hôpital), à s’euthanasier.

13. 11 Les fragments isolés
Maintenant les restes, dans le désordre, de divers fichiers retrouvés sur la clé.
13.1 La sainte Trinité
Un fragment évoque :
".. nouvelle chef[fe] de service à la Sainte Trinité ( traduction de G03). Dernière réunion : elle veut transformer le CMP en [Bunker], Sas avec bouton d'entrée des [malades], magnétoscope [?] pour filmer (souriez, vous êtes filmés), car elle  a une grande trouille des malades et demande souvents aux membres [Virils ?] [masculins?] de rester dans le CMP quand elle doit voir un [patient] qui pourraît être violen[t].
Un [médecin] évoque le problème d'un [atient] qu'il ne faut absolument pas hospitaliser, la chef[fe] déclare que ce problème est du ressort des médecins et ne doit donc pas être évoqué en réunion multi dis[ciplinaire] - infirmier, [AS], secrétaires. Bel exemp[le] de communication dans une équipe [...]
C'est la même qui pense que la Stimulation Magnétique transcranienne peut soigner la dépression ou la schizophrénie. Pourquoi pas des boucles d'oreilles aimantées ? [????]
13.2 La Dîme et le RIMP
Autre fragment.
Le développeur [S] a convaincu [...] qu'il fallait faire un jeu de tests pour vérifier que [....]programme de Koding Machisme [Machine ?] était adapté aux [e]xigences du RIMP. Coût : 25.000 Euros [Pétro-bouzoufs ?]
Pour tester les patients fictifs, S a développé en 4 après midi un programme d'analyse des jeux de tests. Le problème est que l'équipe de Koding a passé déjà 3 mois sur ce travail. [on] lui a demandé de stopper son programme d'analyse car à terme [on] n'aurait plus besoin de Kod[ing] car le programme aurait té réalisé en inter[ne] 
13.3 Les joyaux de la Couronne
Il est arrivé ce que nous craignons tous.
La grande Prétresse ayant acceptée - sans savoir comment s'en servir - le portable avec la clé 3G+, elle n'a pas hésitée à confier le code source de nos programmes à une société étrangère à L'EPS.
Un de mes confrères et néanmoins collègue n'y a pas vu d'inconvénient majeur. "Ce n'est que du code".
Certes. Mais celui qui a inventé des concepts (non brevetables hélas) dans le traitement de l'information, se sent un peu spolié.
C'est pour cela que je n'ai pas communiqué les sources (les plans) du moteur qui fait l'orgueil du DIM. J'ai juste donné les "requêtes" qui  - ayant été construite DANS l'hôpital - peuvent être considérées comme sa propriété. Bien qu'aucun contrat de rétrocession intellectuelle n'ai été évoqué. 
Mais le moteur, et son pendant, le programme de recherche en logique floue - restent ma propriété. Et sauf si je meurs avant mon heure, ils ne l'auront pas sauf s'ils le payent.

14. Et le secteur 3 ?
Nouvelles Fraiches !
Notre nouvelle Cheffe de Sevices a tété désignée en Commission Médicale d'Establishment.
Oh Sainte Genevieve, Salutations Vespérales.
Dans la lignée de Barak Oobama, nous avons nous aussi une métisse !
Que celui qui me parle de discrimination négative envers les Black et les Dekers, se lève.
Et se couche.
Après avoir essayé d'imposer le port de boucles d'oreilles magnétiques (MST ou TMS ?), elle veut réintroduire dans notre service, les ELECTRO-CHOCS !!!
Véridique.
Et en plus, elle veut me refuser les 3 semaines de Ouacances en Ouallonie - alors que je pourrais en prendre 5 de suite ! - au pretexte que c'est trop long.
Je suis flatté d'apprendre que ma présence est indispensable - surtout quand nous avons un patient potentiellement dangereux, qu'elle me demande de rester dans le CMP ayant la trouille qu'il lui casse la gueule.
J'aimerais bien !
Je crois que je vais lui envoyer toutes les injonctions (de soins) que je reçois ...


MERCI de vos commentaires, ou désabonnez vous... S


mardi 12 mai 2020

Un très bon polar pour vous changer des confinis.

Un livre de Florence Jouniaux..  Attention les neurones..

Poupée blonde.
+ 5 pour l’originalité de la mise en forme de l’histoire !
Chloé est enlevée par un psychopathe. Un adulte dont le cerveau ne s’est pas développé à un rythme habituel.
 Un fétichiste des cheveux blonds et des yeux bleus..

Mais il a déjà commis ce genre de choses, et la police le cherche (mollement).
Et débarque dans ce thriller une « enseignante ingénue », Claire… Belle femme, assez libérée…
Décidant d’aller vivre à Lyon (je vous conseille les adresses citées par Florence, sa créatrice).. Quelques bons restaurants.
Retrouve des amis, dont un couple  entré dans la police, qui patauge sur ce dossier…

Là, Claire va leur donner un coup de main. Une bonne mémoire des livres qu’elle a lus. (Elle a trouvé un job de bibliothécaire)..
Je ne veux pas spoiler ce texte, mais il est dégustable !..
Après moult et moultes aventures, Claire, ses amis, vont aider la police à trouver, non pas un mais deux sérials tueurs. 
Le jackpot.

Que dire de plus qui puisse vous donner envie de ire ce texte ? 
C’est bien écrit, c’est fluide, pas de fautes, intrigue subtile, qui mélange 3 couples d’amis, manque un raton laveur.
Donc je stoppe ce dithyrambe, car j’ai été scotché (pas l’alcool, je vous le jure) par ce texte. Je pense que Florence Jouniaux, (si elle continue sur les thrillers) va remplacer pas mal d’écrivains ventripotents et redondants.
Bonne lecture !

Amazon !